Bonjour aux quelques-uns qui passeraient par ici.
Je viens raconter rapidement les quelques jours qui viennent de passer.
La nuit dernière m'a presque entièrement été détruite tellement que, m'étant levé à 10h, je me suis recouché vers 15h pour refaire surface vers 21h. La destruction suit toujours le même protocole, vous êtes averti que la nuit va mal se passer avec la présence du bourdonnement sourd que l'on entend mieux avec les boules Quiès ou le casque de chantier (dans ma chambre depuis presque deux ans, ce n'est plus le silence), chacun de vos plongeons sont interceptés par un mouvement brusque et incontrôlé d'un de vos membres (tête, jambe, bras...), par une sensation de chute d'une partie de votre torse, par des coups de rayons dans le c½ur (pincements), dans vos muscles (contractions), par une relance de votre palpitant déconnectée de toute raison extérieure ou intérieure "ex et téra, ex et téra, ex et téra", de la lourdeur on ne s'en sort pas.
Cela arrive entre le 10/07/2012 et le 11/07/2012. On a la somme des chiffres du 10 qui donnent 13, le 11 qui est mon jour de naissance et le 7 qui correspondait au fait de faire me faire avoir des sursauts pour détruire mon coeur et mes glandes surrénales mais dont il a visiblement été décidé qu'il devait désigner toute survenue de la destruction d'une nuit ou d'un moment de sommeil. Quand on a le sommeil détruit, nos journées sont considérablement plus courtes (en moyenne 10 à 12h allongé par jour tout en étant en mode zombie) et on n'arrive pas à faire grand-chose du temps qu'il nous reste en éveil.
Aussi, la femme du couple de personnes âgées d'à côté qui leur a servi à me faire du mal, que ce soit de manière consciente ou inconsciente, est décédée. Ils en profitent donc aussi pour me montrer, car j'aurais pu croire qu'avec cet évènement j'allais être plus tranquille, que son décès n'a aucun effet sur la destruction de mes nuits. Cette mort, qui ne doit clairement rien au hasard, pensez-en ce que vous en voulez, peut avoir été orchestrée pour créer des tensions entre la famille d'à côté et moi, vu nos relations depuis le début de la guerre du 13/10/2010. Sa famille pourrait attribuer sa mort "prématurée" (la 80aine tout de même) à nos tensions et donc vouloir chercher à me faire du mal ou des sales coups.
Est-ce encore utile de préciser le reste : pas de boulot ou très peu, pas de petite amie, santé dégondée, sollicitations amicales des plus rares ?...
Je viens raconter rapidement les quelques jours qui viennent de passer.
La nuit dernière m'a presque entièrement été détruite tellement que, m'étant levé à 10h, je me suis recouché vers 15h pour refaire surface vers 21h. La destruction suit toujours le même protocole, vous êtes averti que la nuit va mal se passer avec la présence du bourdonnement sourd que l'on entend mieux avec les boules Quiès ou le casque de chantier (dans ma chambre depuis presque deux ans, ce n'est plus le silence), chacun de vos plongeons sont interceptés par un mouvement brusque et incontrôlé d'un de vos membres (tête, jambe, bras...), par une sensation de chute d'une partie de votre torse, par des coups de rayons dans le c½ur (pincements), dans vos muscles (contractions), par une relance de votre palpitant déconnectée de toute raison extérieure ou intérieure "ex et téra, ex et téra, ex et téra", de la lourdeur on ne s'en sort pas.
Cela arrive entre le 10/07/2012 et le 11/07/2012. On a la somme des chiffres du 10 qui donnent 13, le 11 qui est mon jour de naissance et le 7 qui correspondait au fait de faire me faire avoir des sursauts pour détruire mon coeur et mes glandes surrénales mais dont il a visiblement été décidé qu'il devait désigner toute survenue de la destruction d'une nuit ou d'un moment de sommeil. Quand on a le sommeil détruit, nos journées sont considérablement plus courtes (en moyenne 10 à 12h allongé par jour tout en étant en mode zombie) et on n'arrive pas à faire grand-chose du temps qu'il nous reste en éveil.
Aussi, la femme du couple de personnes âgées d'à côté qui leur a servi à me faire du mal, que ce soit de manière consciente ou inconsciente, est décédée. Ils en profitent donc aussi pour me montrer, car j'aurais pu croire qu'avec cet évènement j'allais être plus tranquille, que son décès n'a aucun effet sur la destruction de mes nuits. Cette mort, qui ne doit clairement rien au hasard, pensez-en ce que vous en voulez, peut avoir été orchestrée pour créer des tensions entre la famille d'à côté et moi, vu nos relations depuis le début de la guerre du 13/10/2010. Sa famille pourrait attribuer sa mort "prématurée" (la 80aine tout de même) à nos tensions et donc vouloir chercher à me faire du mal ou des sales coups.
Est-ce encore utile de préciser le reste : pas de boulot ou très peu, pas de petite amie, santé dégondée, sollicitations amicales des plus rares ?...