Petit article fourre-tout en ce jour des plus courts, puisqu'après une nuit quasi blanche et avec un coeur cramé au plus haut point, il est difficile de rester debout très longtemps. Du coup lever autour des 11h30, recouché à 16h till 19h30. J'ai pas pu faire mieux.
Je vais expliquer rapidement les procédures de destruction de la tête (objectif : AVC), celle de la santé mentale (objectif : la mémoire) et celle de la santé physique (objectif : le coeur), sachant que les deux sont réalisées sur fond de gros manque de sommeil. Il semblerait qu'ils réalisent régulièrement des tests pour voir où ces destructions en sont.
Pour ce qui est de l'AVC, ils ont créé une tension nerveuse très importante dès le début de la destruction de mon sommeil, en octobre 2010, par la réalisation de bruits très forts du voisinage et des personnes que j'avais autour de moi, peu importe où je pouvais me trouver en France, et même au-delà. Ces bruits avaient pour objectif de me faire sursauter et la plupart du temps, ne pouvant rien faire ou presque pour les éviter, cela marchait. Au bout de quelques mois, j'ai commencé à faire des rêves étranges qui me faisant me réveiller en sursaut avec le palpitant au plus haut. Ces rêves étaient d'une telle réalité que je commençais à me poser des questions. Cependant, impossible pour moi, à cette période, de valider l'éventualité qu'il soit possible à distance d'en créer ou de les manipuler. Mes recherches et la suites des évènements me prouveront que cette capacité technologique est malheureusement bel et bien en a possession des humains les plus "dark" au monde. J'ai donc subi des dizaines et des dizaines de réveils brutaux sur deux ans à cause de "rêves contrôlés" et autres bruits encore inconnus semblant créés directement dans mon cerveau. Au fur et à mesure de ces attaques, j'ai commencé à avoir de plus en plus mal dans l'½il droit, j'avais déjà décrit une sensation "d'oeil dans du coton", avec des frissons/fourmillements divers dans la face gauche, acouphène dans l'oreille droite etc. Là où je pense que tout cela est contrôlé pour aboutir lentement à un souci de santé qui pourrait faire partie de la vie normale, c'est quand je me rend compte qu'au fur et à mesure de ces réveils brutaux les symptômes restent de plus en plus longtemps. Dernièrement par exemple, mon mal à l'oeil droit a pu durer près d'une semaine ce qui n'était encore jamais arrivé. Tout ceci en passant par aucune douleur, quelques heures de mal et quelques jours le tout étalé sur deux années. Impossible dans ces conditions qu'il n'arrive pas un gros souci à mon oeil droit au terme de leur procédure de destruction à distance. Comme ils peuvent apparemment vérifier et suivre en direct grâce à mon cerveau la durée et l'intensité des maux que j'ai, ils leur est possible, à l'inverse du médecin qui va suivre le lent rétablissement de son patient, de suivre pas à pas l'évolution de la maladie qu'ils me créent de toute pièce.
Concernant la mémoire, apparemment ils ont aussi la capacité de vérifier en temps réel où elle en est. Pour ce qui est de sa destruction, elle a commencé avec la privation de sommeil mais a aussi été moult fois agrémentée par des attaques psytroniques qui m'ont mis certaines journées dans des états de presque débilité. J'ai le souvenir d'une entrevue avec une conseillère en assurance au cours ducquel je ne comprenais rien à ce qu'elle me racontait. Certaines journées on aurait pu me renommer aisément François Pignon... Mais ces états semblent passagers. Ils vont en mettent un coup mais le retour à la normale ne tarde pas trop. Sachant aussi que l'on reste toujours sur un fond de privation très important de sommeil sur bientôt deux années. Ce que je pense, c'est que leur technique consiste, comme j'ai déjà pu l'expliquer, à donner des coups qui vont progressivement détruire votre encéphale. Exemple, vous vous situez à 10, l'attaque psychotronique vous met dans un état 6 et vous revenez très vite à un niveau se rapprochant du 10, 9,80 par exemple, mais sans jamais y retourner. Chaque prochaine attaque vous faisant descendre un peu plus bas et vous empêchant de retourner au plus haut, malgré tous les efforts que vous pourriez réaliser (j'en ferai une petite liste plus loin). Cette procédure est aussi applicable pour l'AVC et le coeur. Plus précisément dans ce cas, un élément leur permettant de vérifier monniveau de destruction semble être les "sorties forcées" de l'état quasi inconscient de réflexion menant au sommeil. En effet, juste avant de trouver le sommeil il semblerait que l'on se trouve dans une phase de réflexion mais semi déconnecté de la réalité. C'est en tout cas ce que je constate lorsque je reçois un coup de rayon, peu importe où, ou qu'un bruit non hasardeux retentit. J'ai l'impression de redevenir conscient alors que j'étais en train de réfléchir. Donc un état non endormi mais pas réveillé non plus. A ce moment-là, j'ai, au fur et à mesure des micro réveils forcés de ces deux années passées, pu constater qu'il était de plus en plus difficile de me souvenir de ce à quoi j'étais en train de penser et d'y retourner. Aujourd'hui, c'est simple, il m'est carrément impossible de me souvenir de quoi que ce soit. C'est si proche et si loin en même temps. Mes pensées s'envolent avec mon retour à la réalité. En journée cela se traduit par le fait d'être impossible de réaliser deux choses à la fois, d'oublier l'objectif premier que l'on s'était fixé si entre temps ou en chemin on a décidé de réaliser une autre action, de ne pas se souvenir de numéros composés ou écrits des dizaines de fois etc. Cela leur permet donc, je suppose, de contrôler à quel niveau de destruction neuronale ils en sont avec moi.
Enfin le c½ur, je pense que même à distance ils doivent avoir comme un tableau de bord médical sur lequel ils peuvent suivre les rythme cardiaque, la tension artérielle, peut-être même un électrocardiogramme en direct (comme un holter cardiaque) etc. Sa destruction est un peu plus facile à suivre puisqu'il suffit de constater l'étendue de mes activités physiques sur une journée. En outre j'ai pu voir mes sorties sportives à pieds passer d'un trail de 2 à 4 heures par après-midi, en fin 2010, à 2-3 km maximum en marchant avec mouvements aujourd'hui, l'équivalent de l'échauffement que je réalisais avant. Niveau cardiaque il est très facile de se rendre compte du changement, plus que dans les deux autres cas.
A part ça les débileries moult fois décrites continuent mais de manière plus cycliques, comme des vagues perdant peu à peu de leurs forces, les creux étant de plus en plus bas et les vagues de moins en moins hautes. Mais tout diminue depuis maintenant près de 10 mois tout de même... ah si Brulé Parlesilluminés pouvait y rester... pfiouuuu
Il y a deux matins j'ai été réveillé en sursaut à la suite d'un rêve contrôlé s'il en est, au cours duquel la femme que j'aurais le plus voulu dans ma vie m'annonçait qu'elle m'aimait. Au moment du réveil j'ai reçu de très nombreux coups de rayon dans le c½ur, ainsi que d'autres sensations créées de toute pièce afin de faire croire que c'était le rêve qui m'avait mis dans cet état. C'est pas leur faute, faut les comprendre, ils s'emmerdent. Quelques heures après, dans la même journée, je reçois la visite d'un collègue qui avait le caleçon qui dépassait sur lequel on pouvait lire : "Trop beau pour être vrai". Cela se passe de commentaire.
Petite parenthèse sur les "rêves contrôlés". S'il y a bien une caractéristique commune à ces rêves, c'est bien le fait d'être réveillé en sursaut. Nous avons affaire au mal, pas de place pour les rêves positifs, peut-être aurais-je dû employer le terme de cauchemar dès le début. J'en ai eu plus ces deux dernières années que dans les 27 ans qui ont précédés. Voici une petite liste de ce que j'ai pu vivre en rêves de ce genre depuis le 13 octobre 2010, car avant ils ne m'avaient jamais, à ma connaissance, fait vivre de choses pareilles :
- Gros bruit de planches en bois tombant au sol faisant penser à l'écroulement du plafond ;
- Voix d'êtres magiques, d'esprits, de fantômes ;
- Impression d'avoir une grosse araignée qui est dans le lit (des dizaines de fois mais sans jamais en retrouver ne serait-ce qu'une seule) ;
- Impression d'avoir un rat ou une souris dans le lit qui vous saute au visage ;
- Se retrouver dans des situations où il n'y a aucune issue avec des personnes qui vous font du mal ;
- etc.
(Cool Raoul => réf Ken le survivant / Carton + flo : celle-là c la bonne + voiture qui arrive + pas bise pour aurevoir)
Je vais expliquer rapidement les procédures de destruction de la tête (objectif : AVC), celle de la santé mentale (objectif : la mémoire) et celle de la santé physique (objectif : le coeur), sachant que les deux sont réalisées sur fond de gros manque de sommeil. Il semblerait qu'ils réalisent régulièrement des tests pour voir où ces destructions en sont.
Pour ce qui est de l'AVC, ils ont créé une tension nerveuse très importante dès le début de la destruction de mon sommeil, en octobre 2010, par la réalisation de bruits très forts du voisinage et des personnes que j'avais autour de moi, peu importe où je pouvais me trouver en France, et même au-delà. Ces bruits avaient pour objectif de me faire sursauter et la plupart du temps, ne pouvant rien faire ou presque pour les éviter, cela marchait. Au bout de quelques mois, j'ai commencé à faire des rêves étranges qui me faisant me réveiller en sursaut avec le palpitant au plus haut. Ces rêves étaient d'une telle réalité que je commençais à me poser des questions. Cependant, impossible pour moi, à cette période, de valider l'éventualité qu'il soit possible à distance d'en créer ou de les manipuler. Mes recherches et la suites des évènements me prouveront que cette capacité technologique est malheureusement bel et bien en a possession des humains les plus "dark" au monde. J'ai donc subi des dizaines et des dizaines de réveils brutaux sur deux ans à cause de "rêves contrôlés" et autres bruits encore inconnus semblant créés directement dans mon cerveau. Au fur et à mesure de ces attaques, j'ai commencé à avoir de plus en plus mal dans l'½il droit, j'avais déjà décrit une sensation "d'oeil dans du coton", avec des frissons/fourmillements divers dans la face gauche, acouphène dans l'oreille droite etc. Là où je pense que tout cela est contrôlé pour aboutir lentement à un souci de santé qui pourrait faire partie de la vie normale, c'est quand je me rend compte qu'au fur et à mesure de ces réveils brutaux les symptômes restent de plus en plus longtemps. Dernièrement par exemple, mon mal à l'oeil droit a pu durer près d'une semaine ce qui n'était encore jamais arrivé. Tout ceci en passant par aucune douleur, quelques heures de mal et quelques jours le tout étalé sur deux années. Impossible dans ces conditions qu'il n'arrive pas un gros souci à mon oeil droit au terme de leur procédure de destruction à distance. Comme ils peuvent apparemment vérifier et suivre en direct grâce à mon cerveau la durée et l'intensité des maux que j'ai, ils leur est possible, à l'inverse du médecin qui va suivre le lent rétablissement de son patient, de suivre pas à pas l'évolution de la maladie qu'ils me créent de toute pièce.
Concernant la mémoire, apparemment ils ont aussi la capacité de vérifier en temps réel où elle en est. Pour ce qui est de sa destruction, elle a commencé avec la privation de sommeil mais a aussi été moult fois agrémentée par des attaques psytroniques qui m'ont mis certaines journées dans des états de presque débilité. J'ai le souvenir d'une entrevue avec une conseillère en assurance au cours ducquel je ne comprenais rien à ce qu'elle me racontait. Certaines journées on aurait pu me renommer aisément François Pignon... Mais ces états semblent passagers. Ils vont en mettent un coup mais le retour à la normale ne tarde pas trop. Sachant aussi que l'on reste toujours sur un fond de privation très important de sommeil sur bientôt deux années. Ce que je pense, c'est que leur technique consiste, comme j'ai déjà pu l'expliquer, à donner des coups qui vont progressivement détruire votre encéphale. Exemple, vous vous situez à 10, l'attaque psychotronique vous met dans un état 6 et vous revenez très vite à un niveau se rapprochant du 10, 9,80 par exemple, mais sans jamais y retourner. Chaque prochaine attaque vous faisant descendre un peu plus bas et vous empêchant de retourner au plus haut, malgré tous les efforts que vous pourriez réaliser (j'en ferai une petite liste plus loin). Cette procédure est aussi applicable pour l'AVC et le coeur. Plus précisément dans ce cas, un élément leur permettant de vérifier monniveau de destruction semble être les "sorties forcées" de l'état quasi inconscient de réflexion menant au sommeil. En effet, juste avant de trouver le sommeil il semblerait que l'on se trouve dans une phase de réflexion mais semi déconnecté de la réalité. C'est en tout cas ce que je constate lorsque je reçois un coup de rayon, peu importe où, ou qu'un bruit non hasardeux retentit. J'ai l'impression de redevenir conscient alors que j'étais en train de réfléchir. Donc un état non endormi mais pas réveillé non plus. A ce moment-là, j'ai, au fur et à mesure des micro réveils forcés de ces deux années passées, pu constater qu'il était de plus en plus difficile de me souvenir de ce à quoi j'étais en train de penser et d'y retourner. Aujourd'hui, c'est simple, il m'est carrément impossible de me souvenir de quoi que ce soit. C'est si proche et si loin en même temps. Mes pensées s'envolent avec mon retour à la réalité. En journée cela se traduit par le fait d'être impossible de réaliser deux choses à la fois, d'oublier l'objectif premier que l'on s'était fixé si entre temps ou en chemin on a décidé de réaliser une autre action, de ne pas se souvenir de numéros composés ou écrits des dizaines de fois etc. Cela leur permet donc, je suppose, de contrôler à quel niveau de destruction neuronale ils en sont avec moi.
Enfin le c½ur, je pense que même à distance ils doivent avoir comme un tableau de bord médical sur lequel ils peuvent suivre les rythme cardiaque, la tension artérielle, peut-être même un électrocardiogramme en direct (comme un holter cardiaque) etc. Sa destruction est un peu plus facile à suivre puisqu'il suffit de constater l'étendue de mes activités physiques sur une journée. En outre j'ai pu voir mes sorties sportives à pieds passer d'un trail de 2 à 4 heures par après-midi, en fin 2010, à 2-3 km maximum en marchant avec mouvements aujourd'hui, l'équivalent de l'échauffement que je réalisais avant. Niveau cardiaque il est très facile de se rendre compte du changement, plus que dans les deux autres cas.
A part ça les débileries moult fois décrites continuent mais de manière plus cycliques, comme des vagues perdant peu à peu de leurs forces, les creux étant de plus en plus bas et les vagues de moins en moins hautes. Mais tout diminue depuis maintenant près de 10 mois tout de même... ah si Brulé Parlesilluminés pouvait y rester... pfiouuuu
Il y a deux matins j'ai été réveillé en sursaut à la suite d'un rêve contrôlé s'il en est, au cours duquel la femme que j'aurais le plus voulu dans ma vie m'annonçait qu'elle m'aimait. Au moment du réveil j'ai reçu de très nombreux coups de rayon dans le c½ur, ainsi que d'autres sensations créées de toute pièce afin de faire croire que c'était le rêve qui m'avait mis dans cet état. C'est pas leur faute, faut les comprendre, ils s'emmerdent. Quelques heures après, dans la même journée, je reçois la visite d'un collègue qui avait le caleçon qui dépassait sur lequel on pouvait lire : "Trop beau pour être vrai". Cela se passe de commentaire.
Petite parenthèse sur les "rêves contrôlés". S'il y a bien une caractéristique commune à ces rêves, c'est bien le fait d'être réveillé en sursaut. Nous avons affaire au mal, pas de place pour les rêves positifs, peut-être aurais-je dû employer le terme de cauchemar dès le début. J'en ai eu plus ces deux dernières années que dans les 27 ans qui ont précédés. Voici une petite liste de ce que j'ai pu vivre en rêves de ce genre depuis le 13 octobre 2010, car avant ils ne m'avaient jamais, à ma connaissance, fait vivre de choses pareilles :
- Gros bruit de planches en bois tombant au sol faisant penser à l'écroulement du plafond ;
- Voix d'êtres magiques, d'esprits, de fantômes ;
- Impression d'avoir une grosse araignée qui est dans le lit (des dizaines de fois mais sans jamais en retrouver ne serait-ce qu'une seule) ;
- Impression d'avoir un rat ou une souris dans le lit qui vous saute au visage ;
- Se retrouver dans des situations où il n'y a aucune issue avec des personnes qui vous font du mal ;
- etc.
(Cool Raoul => réf Ken le survivant / Carton + flo : celle-là c la bonne + voiture qui arrive + pas bise pour aurevoir)