Mardi 20 novembre 2012

Encore plus qu'hier, aujourd'hui cela fait très sincèrement mal. Je me suis couché vers 1h et lever vers midi. Soit 11h allongé, j'ai pas dit endormi, tout de même ! Quand on a une insomnie on est resté éveillé toute la nuit et on se lève fatigué. Quand on se fait griller on a eu l'impression d'avoir dormi mais on se lève avec des sensations comment dire... révolutionnaires dans tout le corps. Malgré tout, il ne faut pas se laisser abattre pour si peu (grum...), je suis un guerrier et je l'assume, mais aussi pour prouver ma détermination et ma bonne foi, je sors quand-même pour aller à la présentation de la seconde formation informatique au GRETA que je n'aurais de toute évidence pas les capacités physique et mentale de suivre. En tout cas pas tant que l'on me grillera à domicile et partout où je peux poser mes fesses. J'ai déjà raconté dans une audio précédente (le 6 il me semble) comment la première réunion de présentation s'était passée. Il manquait mon nom sur la feuille de présence et je n'avais pas reçu de convocation. Cette fois-ci je reçois la convoc, je suis sur la feuille mais la secrétaire prend le soin de dire que l'on doit se rajouter sur la feuille si l'on y figure pas. Il ne semble pas qu'elle l'ait annoncé la première fois. Bref, on s'en tape.

Exit toutes les autres conneries humaines toutes plus putrides les unes que les autres, à la sortie, au moment de rejoindre ma voiture, j'ai une ambulance des pompiers qui arrive derrière moi, qui met sa sirène en marche et qui double à ce moment précis une voiture rouge-sang en faisant un doigt d'honneur, autrement dit un fuck, en l'air sans viser qui que ce soit. On sent bien que la personne fait ça car elle y est obligée. Sur la route du retour j'aurais donc droit à quelques petites bêtises pouvant, dans l'état actuel de santé dans lequel on me plonge, permettre la survenue d'un accident permettant de se débarrasser de moi de manière plus hasardeuse que grillé à la maison.

Le matin, au lever, je me mets à réaliser des actions dont je n'ai pas besoin. Est-ce là un signe de la dégradation progressive de ma santé mentale ? Qui sur cette terre a autant commenté et prévu les malheurs qui va lui arriver que ce soit mental, physique, professionnel, amical, amoureux ou autre ? C'est la seule qui me reste et je continuerai à la faire jusqu'au bout. J'ai donc passé une nuit des plus micro-ondées si j'puis dire, avec un fort bourdonnement incessant et de sursauts au cœur très violents. Au lever, comme tous les matins de ce dernier mois, j'ai froid dans toute la partie gauche du crâne, dans l'épaule gauche et, nouveauté, dans la cuisse/ pieds gauche. Je ne me souviens quasiment de rien de la journée d'hier. Je ressens comme une "aura" dans ma tête, comme si elle avait été soumise à des vibrations pendant des heures. Aujourd'hui j'en encore mes esprits pour raconter tout cela mais je ne sais pas comment cela va évoluer. Cela sera en mal évidemment.

Hier soir je suis sorti pour vérifier si le bourdonnement était aussi présent à l'extérieur. Je l'entend beaucoup mieux avec un casque anti-bruit et avec les boules Quiès, c'est pour cela que je suis sorti armé de mon casque. Il ne m'a pas semblé présent à des dizaines de mètres de chez moi. Cependant le bruit occasionné par la nationale non-loin de là ne me permet pas d'être formel. Je suis certain qu'ils utilisent plusieurs technologies peut-être disposées à différents endroits pour m'allumer. Les tirs dans le corps pourraient être réalisés par satellite par exemple, ce qui produit le bourdonnement chez un voisin ou à l'extérieur et peut-être encore autre chose, je n'en sais strictement rien. Il se pourrait bien au final, après observation, que le boîtier France Télécom pile à 3 mètres en face de ma chambre qui a changé peu de temps avant la destruction de mes nuits avec un 13 (TREIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIZE), contienne un dispositif permettant de me griller. Aucune certitude encore une fois mais je ne vois rien d'autre à l'extérieur en l'absence d'antenne de téléphonie mobile dans les parages. Voici ce boîtier en photo :



Who knows...