Dernièrement le sommeil m'a été moins détruit. En journée, quelques heures après le lever qui se situe toujours entre 10h et midi, je me mets à perdre mes esprits, à déconnecter, à voir des informations disparaître quasi instantanément de ma mémoire. Cela ne vient en rien du hasard ou de conséquences de ce que j'ai subi, même si une partie en est le résultat, mais plutôt de la technologie de contrôle mental qui peut atteindre n'importe quel cerveau dans ce pays. Je le sais car je ressens comme un engourdissement de ma tête. Cela donne presque la même impression qu'après que l'on ait exposé l'un de ses membres à de fortes vibrations. Dans les minutes l'arrêt de cette exposition, les vibrations semblent toujours présentes mais de manière amoindries. Là c'est un peu la même chose. Souvent quand je ressentais cela je passais ma tête sous l'eau froide. Cela me faisait du bien même ça n'arrangeait en rien mes capacités. Et puis on dit souvent l'expression "garder la tête froide" alors peut-être que cela pourrait avoir un léger effet positif. Ils m'ont cramé la tête tous les jours de cette semaine. Aussi, en ce dimanche, j'essaie de me remémorer ce que j'ai fait durant cette semaine et force est de constater que j'ai le plus grand mal à me souvenir de ce que j'ai fait. De plus, le peu dont je me souviens n'a pas été replacé les bons jours. Nous voilà dans un sacré état mental. Il est évident que maintenant que je me retrouve avec un cerveau de poisson rouge je reçois un avis favorable à l'intégration d'une formation de technicien supérieur en informatique à l'AFPA. Ils font tout pour que je rate tout ce que j'entreprends. Qu'est-ce qu'ils ne feraient pas pour éviter d'avoir à descendre quelqu'un qui l'ouvre trop ! C'est une situation terrible mais cela ne m'atteint pas moralement. J'ai déjà tiré un trait sur ma vie et ceux depuis bientôt quatre ans avec raison bien-sûr. Vous décidez de rencontrer une fille ils vous détruisent la libido. Vous aimez l'effort intellectuel, ils vous détruisent le cerveau. Votre passion c'est le sport, ils vous détruisent physiquement. 100% destruction. Ils font en sorte qu'il ne vous reste plus rien d'agréable à vivre. Plus rien de ce que vous aimez ne vous est accessible. Vous n'avez donc a priori plus de raison de vivre donc ils s'attendent à ce que vous vous suicidiez. Euhhhhhh... non, j'verrai demain. En attendant j'essaie de faire comme si tout était normal, d'aider et d'aimer les miens, de retrouver un semblant de vie sociale et de continuer à rédiger encore et toujours le pauvre contenu de ma vie d'Enfer.
Intellect : Jusqu'à présent, les pertes instantanées de mémoire étaient causées par des sursauts créés intentionnellement durant la phase de réflexion en semi inconscience précédent le sommeil. Je l'ai de nombreuses fois décrit. Aujourd'hui, depuis quelques jours elles se manifestent seules en pleine journée sans intervention extérieure, sans sursaut, sans technologie a priori. Il se peut donc que progressivement ces débiles putrides aient habitué mon cerveau à oublier ou à ne plus trouver le chemin d'accès à l'information qui précède une nouvelle comme si elle l'écrasait directement. Cela semble être le début de la fin des capacités que j'avais somme toute assez bonnes.
Cardiaque/nerveux : Durant cette fin de semaine où j'ai évité la civilisation, je n'ai pas eu de grosse tachycardie à déplorer. Cependant, il a suffit hier soir que je passe quatre heures à l'anniversaire d'un ami entouré de dix personnes pour que la légère tension nerveuse, que j'ai assez prononcée il est vrai mais involontaire, nécessaire au contrôle d'interventions orales en public de la soirée me plonge dans une belle tachycardie m'empêchant de m'endormir pendant deux heures après le coucher et me suivant toute la nuit. En outre de nombreuses zones de froid se déplaçant dans le côté gauche de mon corps sont à signaler. Un coup l'épaule, le dessus de la cuisse, le haut du pied etc. Ils m'ont dit qu'ils me laisseraient tomber, c'est-à-dire qu'ils arrêteraient de me griller quand je serais irrécupérable, au bord du décès. Ce moment semble se rapprocher. Deux ans pour faire prendre trente ans à mon corps et puis le reste (combien ?) pour me laisser lentement m'autodétruire par les dégâts indélébilement causés. On mettra évidemment tout ce qui est en notre pouvoir pour limiter le processus, avec nos moyens financiers et ce que l'on sait et peut mettre en œuvre au niveau médecines douces. Mais, face à armes pures et dures, que peut bien valoir médecine douce ?...
Dans la semaine j'ai encore eu durant une nuit un réveil de type démangeaisons localisées ressemblant à ce que décrivent ceux qui sont atteints de la maladie des morgellons. Il ne me semble pas en avoir parlé ici. J'ai marqué ce rapide statut sur Facebook il y a deux semaines de ça : "Je pense que l'on ma réveillé ce matin avec un petit échantillon de ce qu'est la fausse nouvelle maladie : LA MALADIE DES MORGELLONS. A suivre...". C'est vrai que ce matin-là je me suis réveillé le matin, après avoir fortement gratté mon dos durant la nuit, avec des griffures saignantes dont j'ai encore les croutes.
Ils sont aussi en train de me couper les seuls quelques liens que j'avais avec des personnes qui réfléchissent sur l'avenir de notre monde à 99.9% sur Facebook ou via le net. Les échanges se raréfient énormément. C'est intellectuellement intéressant même si cela reste par l'intermédiaire du clavier et de l'écran. Petit à petit donc, les relations sociales s'amenuisent. La bulle dans laquelle je suis enfermé se réduit. A suivre.
Intellect : Jusqu'à présent, les pertes instantanées de mémoire étaient causées par des sursauts créés intentionnellement durant la phase de réflexion en semi inconscience précédent le sommeil. Je l'ai de nombreuses fois décrit. Aujourd'hui, depuis quelques jours elles se manifestent seules en pleine journée sans intervention extérieure, sans sursaut, sans technologie a priori. Il se peut donc que progressivement ces débiles putrides aient habitué mon cerveau à oublier ou à ne plus trouver le chemin d'accès à l'information qui précède une nouvelle comme si elle l'écrasait directement. Cela semble être le début de la fin des capacités que j'avais somme toute assez bonnes.
Cardiaque/nerveux : Durant cette fin de semaine où j'ai évité la civilisation, je n'ai pas eu de grosse tachycardie à déplorer. Cependant, il a suffit hier soir que je passe quatre heures à l'anniversaire d'un ami entouré de dix personnes pour que la légère tension nerveuse, que j'ai assez prononcée il est vrai mais involontaire, nécessaire au contrôle d'interventions orales en public de la soirée me plonge dans une belle tachycardie m'empêchant de m'endormir pendant deux heures après le coucher et me suivant toute la nuit. En outre de nombreuses zones de froid se déplaçant dans le côté gauche de mon corps sont à signaler. Un coup l'épaule, le dessus de la cuisse, le haut du pied etc. Ils m'ont dit qu'ils me laisseraient tomber, c'est-à-dire qu'ils arrêteraient de me griller quand je serais irrécupérable, au bord du décès. Ce moment semble se rapprocher. Deux ans pour faire prendre trente ans à mon corps et puis le reste (combien ?) pour me laisser lentement m'autodétruire par les dégâts indélébilement causés. On mettra évidemment tout ce qui est en notre pouvoir pour limiter le processus, avec nos moyens financiers et ce que l'on sait et peut mettre en œuvre au niveau médecines douces. Mais, face à armes pures et dures, que peut bien valoir médecine douce ?...
Dans la semaine j'ai encore eu durant une nuit un réveil de type démangeaisons localisées ressemblant à ce que décrivent ceux qui sont atteints de la maladie des morgellons. Il ne me semble pas en avoir parlé ici. J'ai marqué ce rapide statut sur Facebook il y a deux semaines de ça : "Je pense que l'on ma réveillé ce matin avec un petit échantillon de ce qu'est la fausse nouvelle maladie : LA MALADIE DES MORGELLONS. A suivre...". C'est vrai que ce matin-là je me suis réveillé le matin, après avoir fortement gratté mon dos durant la nuit, avec des griffures saignantes dont j'ai encore les croutes.
Ils sont aussi en train de me couper les seuls quelques liens que j'avais avec des personnes qui réfléchissent sur l'avenir de notre monde à 99.9% sur Facebook ou via le net. Les échanges se raréfient énormément. C'est intellectuellement intéressant même si cela reste par l'intermédiaire du clavier et de l'écran. Petit à petit donc, les relations sociales s'amenuisent. La bulle dans laquelle je suis enfermé se réduit. A suivre.