Intellect : Jusqu'à présent, les pertes instantanées de mémoire étaient causées par des sursauts créés intentionnellement durant la phase de réflexion en semi inconscience précédent le sommeil. Je l'ai de nombreuses fois décrit. Aujourd'hui, depuis quelques jours elles se manifestent seules en pleine journée sans intervention extérieure, sans sursaut, sans technologie a priori. Il se peut donc que progressivement ces débiles putrides aient habitué mon cerveau à oublier ou à ne plus trouver le chemin d'accès à l'information qui précède une nouvelle comme si elle l'écrasait directement. Cela semble être le début de la fin des capacités que j'avais somme toute assez bonnes.
Cardiaque/nerveux : Durant cette fin de semaine où j'ai évité la civilisation, je n'ai pas eu de grosse tachycardie à déplorer. Cependant, il a suffit hier soir que je passe quatre heures à l'anniversaire d'un ami entouré de dix personnes pour que la légère tension nerveuse, que j'ai assez prononcée il est vrai mais involontaire, nécessaire au contrôle d'interventions orales en public de la soirée me plonge dans une belle tachycardie m'empêchant de m'endormir pendant deux heures après le coucher et me suivant toute la nuit. En outre de nombreuses zones de froid se déplaçant dans le côté gauche de mon corps sont à signaler. Un coup l'épaule, le dessus de la cuisse, le haut du pied etc. Ils m'ont dit qu'ils me laisseraient tomber, c'est-à-dire qu'ils arrêteraient de me griller quand je serais irrécupérable, au bord du décès. Ce moment semble se rapprocher. Deux ans pour faire prendre trente ans à mon corps et puis le reste (combien ?) pour me laisser lentement m'autodétruire par les dégâts indélébilement causés. On mettra évidemment tout ce qui est en notre pouvoir pour limiter le processus, avec nos moyens financiers et ce que l'on sait et peut mettre en œuvre au niveau médecines douces. Mais, face à armes pures et dures, que peut bien valoir médecine douce ?...
Dans la semaine j'ai encore eu durant une nuit un réveil de type démangeaisons localisées ressemblant à ce que décrivent ceux qui sont atteints de la maladie des morgellons. Il ne me semble pas en avoir parlé ici. J'ai marqué ce rapide statut sur Facebook il y a deux semaines de ça : "Je pense que l'on ma réveillé ce matin avec un petit échantillon de ce qu'est la fausse nouvelle maladie : LA MALADIE DES MORGELLONS. A suivre...". C'est vrai que ce matin-là je me suis réveillé le matin, après avoir fortement gratté mon dos durant la nuit, avec des griffures saignantes dont j'ai encore les croutes.
Ils sont aussi en train de me couper les seuls quelques liens que j'avais avec des personnes qui réfléchissent sur l'avenir de notre monde à 99.9% sur Facebook ou via le net. Les échanges se raréfient énormément. C'est intellectuellement intéressant même si cela reste par l'intermédiaire du clavier et de l'écran. Petit à petit donc, les relations sociales s'amenuisent. La bulle dans laquelle je suis enfermé se réduit. A suivre.