La nuit de jeudi à vendredi m'ayant été légèrement épargnée (4h-14h avec un peu de tranquillité), j'en ai profité pour prendre la voiture et sortir faire deux courses. Thèmes de la sortie :
- Le rouge, évidemment, on ne change pas une équipe qui... ne sert à rien : Voitures et vêtements s'enchaînant dans un ballet de bêtise humaine à laisser coi n'importe quel juge d'instruction dont le métier consiste à la condamner ;
- Le crâne rasé : En effet, j'ai pensé plusieurs fois la veille au fait que je me raserai surement la tête d'ici peu pour prendre des photos et donc mettre en évidence la déformation arrière de mon crâne, c'était donc l'occasion d'appuyer là-dessus. Une connaissance qui fait mine de ne pas me voir du premier coup, j'en ai plus que l'habitude, puis qui me reconnait, un homme qui me sort littéralement devant avec son caddie et un air snobinard négligeant totalement ma présence (mais peut-être était-ce la priorité à droite...), deux autres conducteurs me passent devant à un stop, un autre jeune grille la priorité à plusieurs personnes en caisse (surement avec sa carte prioritaire 666 qu'il faudrait rajouter à cette liste de véhicules d'intérêt général http://fr.wikipedia.org/wiki/V%C3%A9hicule_d%27int%C3%A9r%C3%AAt_g%C3%A9n%C3%A9ral, puisque visiblement l'intérêt général de notre société française semble être mon élimination) pour se trouver proche de moi et arriver en même temps que moi à son véhicule qui n'est autre que celui garé juste à ma droite... tous des rasés de près.
- La destruction de mon cerveau et en particulier de ma mémoire ;
- L'irritabilité, le stress : En ce moment mes gargouilles se font plaisir avec mes glandes surrénales ;
- Et bien d'autres choses dont je m'efforce de me détourner mais que j'aurais bien continuer à constater, analyser, noter, rédiger et mis en forme dans plusieurs ouvrage ou en un seul de plusieurs tomes si la santé avait été au rendez-vous, comme ce fut le cas du 26/09/07 au 13/10/10.
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Cette nuit fut courte, 5h-11h puis 4h de comatage après un réveil qui paraissait naturel, plutôt calme en tout cas, mais qui s'est suivi d'une légère tachycardie, suffisante pour tenir semi-éveillé, due à une irritabilité constante injustifiée. Forcément, puisqu'elle est créée de toute pièce en forçant apparemment mes glandes surrénales à fonctionner. J'ai l'impression de recevoir une dose régulière mais faible d'adrénaline. Cela se traduit physiquement par un fourmillement sous le coeur, dans la partie gauche de l'abdomen, en une ligne verticale semblant rejoindre le rein. Même chose dans l'épaule gauche et l'arrière de l'hémisphère gauche du crâne.
- Le rouge, évidemment, on ne change pas une équipe qui... ne sert à rien : Voitures et vêtements s'enchaînant dans un ballet de bêtise humaine à laisser coi n'importe quel juge d'instruction dont le métier consiste à la condamner ;
- Le crâne rasé : En effet, j'ai pensé plusieurs fois la veille au fait que je me raserai surement la tête d'ici peu pour prendre des photos et donc mettre en évidence la déformation arrière de mon crâne, c'était donc l'occasion d'appuyer là-dessus. Une connaissance qui fait mine de ne pas me voir du premier coup, j'en ai plus que l'habitude, puis qui me reconnait, un homme qui me sort littéralement devant avec son caddie et un air snobinard négligeant totalement ma présence (mais peut-être était-ce la priorité à droite...), deux autres conducteurs me passent devant à un stop, un autre jeune grille la priorité à plusieurs personnes en caisse (surement avec sa carte prioritaire 666 qu'il faudrait rajouter à cette liste de véhicules d'intérêt général http://fr.wikipedia.org/wiki/V%C3%A9hicule_d%27int%C3%A9r%C3%AAt_g%C3%A9n%C3%A9ral, puisque visiblement l'intérêt général de notre société française semble être mon élimination) pour se trouver proche de moi et arriver en même temps que moi à son véhicule qui n'est autre que celui garé juste à ma droite... tous des rasés de près.
- La destruction de mon cerveau et en particulier de ma mémoire ;
- L'irritabilité, le stress : En ce moment mes gargouilles se font plaisir avec mes glandes surrénales ;
- Et bien d'autres choses dont je m'efforce de me détourner mais que j'aurais bien continuer à constater, analyser, noter, rédiger et mis en forme dans plusieurs ouvrage ou en un seul de plusieurs tomes si la santé avait été au rendez-vous, comme ce fut le cas du 26/09/07 au 13/10/10.
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Cette nuit fut courte, 5h-11h puis 4h de comatage après un réveil qui paraissait naturel, plutôt calme en tout cas, mais qui s'est suivi d'une légère tachycardie, suffisante pour tenir semi-éveillé, due à une irritabilité constante injustifiée. Forcément, puisqu'elle est créée de toute pièce en forçant apparemment mes glandes surrénales à fonctionner. J'ai l'impression de recevoir une dose régulière mais faible d'adrénaline. Cela se traduit physiquement par un fourmillement sous le coeur, dans la partie gauche de l'abdomen, en une ligne verticale semblant rejoindre le rein. Même chose dans l'épaule gauche et l'arrière de l'hémisphère gauche du crâne.
Entre le manque de sommeil qui me met en état de suréveil, les surrénales sollicitées sans raison et les conneries diverses et variées commandées aux voisins pour me faire sursauter entre autres gros bruits technologiquement réalisés, je suis en mode voiture de rallye. Pourtant mes journées sont jalonnées de musique douce (ambiant, classique, piano et au pire chillout) rythmant mes rédactions devant mon PC, de repas dans mon jardin, de balades en forêt/campagne/colline (oui, j'ai tout ça chez moi !) etc. Rien de bien stressant. Connerie de technologie.