Super débile, c'est moi. Couché 2h, réveillé 6h plus tard, à 8h, de manière assez douce avec bourdonnement gentillet, puis, comme le protocole du moment l'exige apparemment, démarrent les souffles dans les oreilles ayant pour conséquence de me donner froid dans plusieurs parties du côté gauche de mon corps, dont la tête, là où c'est le plus catastrophique. Ensuite alternance de bourdonnement fort et lointain, aigu et proche, souffles dans les oreilles, quelques pincements et micro contractures musculaires surtout quand je me replace dans mon lit. Impossible de faire de diagnostic, impossible de trouver la moindre cause à cette merde afin de s'adapter. Imparable, on ne peut y échapper. En principe, dans toute maladie vous savez à quels moments ou dans quelles conditions les symptômes apparaissent. Du coup, vous pouvez jouer sur votre comportement, votre alimentation, vos habitudes, afin de diminuer ou éviter le souci. Un exemple. Il est fréquent pour un sportif d'avoir des douleurs cardiaques de type pincements etc. Il est facile de faire des tests sur quelques temps afin de déterminer à quels moments ils surviennent. S'il se trouve que ces maux arrivent en fin d'une course de demi-fond, en anaérobie lactique, il suffit de ne plus en faire ou de diminuer son effort dans ce type de course pour voir la situation s'améliorer. Là non, oubliez, j'ai quasiment fait le tour de la question. De toute façon vous pouvez facilement le constater en ayant lu quelques-uns de mes articles qui décrivent mes journées somme toute très calmes, en tout cas de mon côté, pas dans mon environnement, sans excès d'aucune sorte. On subit, c'est tout, jusqu'à ce que le "boss" soit content de l'état de destruction de son esclave. C'est comme si on m'avait sorti des rangs des esclaves pour des coups de fouets bien plus intenses que les autres en raison de certaines de mes caractéristiques qu'ils ont déterminées comme étant gênantes pour le pouvoir en place.
Au lever, j'ai perdu mon latin, je ne sais plus où j'habite, les mots me manquent, la mémoire de la veille doit être dans une dimension parallèle et la mémoire instantanée est la même que celle de François Pignon. Pauvre France, pauvre humanité, pauvre monde.
C'est la procédure quand on dit et écrit haut et fort que l'on cherche à nous descendre... et que c'est vrai !
Au final je vais être victime d'une version accélérée d'Alzheimer sur quelques mois alors que le plus souvent la maladie arrive lentement, sans crier gare, sur parfois une dizaine d'années avant sa déclaration.
Comble de pourriture humaine, à peine concevable s'il en est, pendant que j'écris ces quelques lignes ils prennent un malin plaisir à me faire ressentir ce souffle dans les oreilles sans même les boules Quiès qui permettent de bien le ressentir avant ou après un pincement aux fesses et mon écran d'ordi qui bouge horizontalement à droite et à gauche en guise de "tourne", message persécutoire que j'ai déjà décrit maintes fois par le passé. Et je me sens obligé de réitéré, atterré, consterné, horrifié : Pauvre France, pauvre humanité, pauvre monde.
Une amie que j'ai croisée dans mon village m'a demandé ce que je faisais en ce moment, alors je lui ai répondu sans trop chercher à entrer dans les détails de la situation que j'essayais de développer mon activité informatique. Elle m'a dit alors que ce qu'il me manquait c'était des connaissances professionnelles. Il m'a démangé de lui répondre que la seule et unique chose qui me manquait c'était le billet de mon aller simple pour le paradis. Où est-il ? Qu'on me le retrouve illico !
Pourquoi Dieudonné et tous les autres puissants qui gênent le pouvoir ne peuvent pas bénéficier du même traitement expéditif que Brulé Parlesilluminés ?
Tout simplement parce qu'ils ont une large tribune, un auditoire conséquent qui aurait accès à toute l'information que je m'efforce de diffuser mais qui reste très confinée, boycottée, bloquée, marginale en raison de ma non célébrité.
Au lever, j'ai perdu mon latin, je ne sais plus où j'habite, les mots me manquent, la mémoire de la veille doit être dans une dimension parallèle et la mémoire instantanée est la même que celle de François Pignon. Pauvre France, pauvre humanité, pauvre monde.
C'est la procédure quand on dit et écrit haut et fort que l'on cherche à nous descendre... et que c'est vrai !
Au final je vais être victime d'une version accélérée d'Alzheimer sur quelques mois alors que le plus souvent la maladie arrive lentement, sans crier gare, sur parfois une dizaine d'années avant sa déclaration.
Comble de pourriture humaine, à peine concevable s'il en est, pendant que j'écris ces quelques lignes ils prennent un malin plaisir à me faire ressentir ce souffle dans les oreilles sans même les boules Quiès qui permettent de bien le ressentir avant ou après un pincement aux fesses et mon écran d'ordi qui bouge horizontalement à droite et à gauche en guise de "tourne", message persécutoire que j'ai déjà décrit maintes fois par le passé. Et je me sens obligé de réitéré, atterré, consterné, horrifié : Pauvre France, pauvre humanité, pauvre monde.
Une amie que j'ai croisée dans mon village m'a demandé ce que je faisais en ce moment, alors je lui ai répondu sans trop chercher à entrer dans les détails de la situation que j'essayais de développer mon activité informatique. Elle m'a dit alors que ce qu'il me manquait c'était des connaissances professionnelles. Il m'a démangé de lui répondre que la seule et unique chose qui me manquait c'était le billet de mon aller simple pour le paradis. Où est-il ? Qu'on me le retrouve illico !
Pourquoi Dieudonné et tous les autres puissants qui gênent le pouvoir ne peuvent pas bénéficier du même traitement expéditif que Brulé Parlesilluminés ?
Tout simplement parce qu'ils ont une large tribune, un auditoire conséquent qui aurait accès à toute l'information que je m'efforce de diffuser mais qui reste très confinée, boycottée, bloquée, marginale en raison de ma non célébrité.