La décrépitude à l'état pur qui sans cesse grignote l'ennemi numéro 1 du pouvoir mondial. C'est peu dire, car les moyens sont là.
Hier j'ai passé toute la journée avec une petite partie du muscle de la fesse droite qui s'excitait sans arrêt, plus ou moins fort selon les fois, sans qu'aucun mouvement, étirement ou toute autre action n'en vienne à bout. Normal, c'est technologique. J'ai eu droit à une petite pause entre 3h et 6h du mat, le temps d'une nuit de sommeil en règle. Puis c'est reparti, après avoir été réveillé par le fort bourdonnement qui s'est calmé avec la reprise de la contracture. Le plus souvent ce genre de désagrément m'arrivait avant autour des yeux, de temps à autre, mais seulement quelques minutes. En outre des mouvements musculaires des paupières et des autres muscles autour de l'oeil permettait sa disparition. Mais là clairement l'équivalent en non-stop sur toute la journée du message "on te la met bien profond" que je décris si souvent. A l'heure où je vous parle elle est encore présente. Je l'ai par ailleurs filmée. Mais vu que c'est sur la fesse on verra si je posterai ou pas même si cela ne me gêne pas plus que ça. C'est plus pour éviter les commentaires des mauvaises langues et Dieu sait qu'elles sont largement plus nombreuses que les bonnes.
Je passe donc par la suite 8h de coma dans mon lit avec un détraqué mental qui obéit aux ordres de me détruire en échange d'un bon salaire et de tous les éléments qui composent sa vie de rat. Faut aussi l'imaginer vous infligeant des gros pincements au coeur quand, dans cet état de mort-vivant, vous pensez à ce sale état dans lequel ils vous mettent sciemment. Quand je sors pour prendre le petit déjeuner dans le jardin, un voisin dit fort "Et voilà, là on peut plus rien faire !". Et en effet, quand on met 8h après son réveil à sortir de son lit et qu'on descend les escaliers en tremblant, essoufflé, vision trouble, sans mémoire, pression au thorax qui plie en deux, les activités risquent d'être limitées. Hier soir je suis sorti marcher et au bout de deux km une extrême fatigue m'a forcé à rentrer. Je vais finir par devoir faire mon exercice physique autour de ma table de salle à manger au cas où je devais tomber de fatigue après quelques centaines de mètres, mon lit ne serait pas trop loin. Ca m'éviterait d'avoir à pourrir toute une nuit dans la campagne car je n'ai jamais le portable sur moi...
Hier j'ai passé toute la journée avec une petite partie du muscle de la fesse droite qui s'excitait sans arrêt, plus ou moins fort selon les fois, sans qu'aucun mouvement, étirement ou toute autre action n'en vienne à bout. Normal, c'est technologique. J'ai eu droit à une petite pause entre 3h et 6h du mat, le temps d'une nuit de sommeil en règle. Puis c'est reparti, après avoir été réveillé par le fort bourdonnement qui s'est calmé avec la reprise de la contracture. Le plus souvent ce genre de désagrément m'arrivait avant autour des yeux, de temps à autre, mais seulement quelques minutes. En outre des mouvements musculaires des paupières et des autres muscles autour de l'oeil permettait sa disparition. Mais là clairement l'équivalent en non-stop sur toute la journée du message "on te la met bien profond" que je décris si souvent. A l'heure où je vous parle elle est encore présente. Je l'ai par ailleurs filmée. Mais vu que c'est sur la fesse on verra si je posterai ou pas même si cela ne me gêne pas plus que ça. C'est plus pour éviter les commentaires des mauvaises langues et Dieu sait qu'elles sont largement plus nombreuses que les bonnes.
Je passe donc par la suite 8h de coma dans mon lit avec un détraqué mental qui obéit aux ordres de me détruire en échange d'un bon salaire et de tous les éléments qui composent sa vie de rat. Faut aussi l'imaginer vous infligeant des gros pincements au coeur quand, dans cet état de mort-vivant, vous pensez à ce sale état dans lequel ils vous mettent sciemment. Quand je sors pour prendre le petit déjeuner dans le jardin, un voisin dit fort "Et voilà, là on peut plus rien faire !". Et en effet, quand on met 8h après son réveil à sortir de son lit et qu'on descend les escaliers en tremblant, essoufflé, vision trouble, sans mémoire, pression au thorax qui plie en deux, les activités risquent d'être limitées. Hier soir je suis sorti marcher et au bout de deux km une extrême fatigue m'a forcé à rentrer. Je vais finir par devoir faire mon exercice physique autour de ma table de salle à manger au cas où je devais tomber de fatigue après quelques centaines de mètres, mon lit ne serait pas trop loin. Ca m'éviterait d'avoir à pourrir toute une nuit dans la campagne car je n'ai jamais le portable sur moi...