5h de sommeil tout au plus sachant que je me suis couché 3 ou 4h avant l'horaire de ces derniers jours.
Cet après-midi je tombe de fatigue vers 15h30, je vais alors m'allonger tout en sachant très bien ce qui m'attend mais que faire ?
- Bourdonnement lointain fort
- Sursauts involontaires des membres
Cet après-midi je tombe de fatigue vers 15h30, je vais alors m'allonger tout en sachant très bien ce qui m'attend mais que faire ?
- Bourdonnement lointain fort
- Sursauts involontaires des membres
- Sensations de chute
- Et...
En ce moment le thème qui revient souvent est la schizophrénie. Tout est fait pour me faire peur, me mettre la pression sur un avenir qui sera DE TOUTES LES FAÇONS NÉGATIF. Donc inutilité mafieuse de plus, mais c'est là donc je le relate. La capacité technologique d'envoyer des sons très complexes (mots, phrases, conversations, voix de vos proches s'adressant à vous) directement dans le cerveau existe bel et bien (télépathie synthétique en français, voice-to-skull en anglais). Informatiquement ce que le grand public ignore est à peine croyable. Mais tout est sous nos yeux, suffit de lire et de chercher un peu. J'avais déjà eu des phrases entendues uniquement par moi mais dans des situations très précises qui, si je les avais prises pour argent comptant, aurait créé de vives tensions avec mes proches. Heureusement la débilité satanique semble glisser sur les anges comme la m**** sur la céramique. Donc j'ai eu droit durant ces longues heures, mais aussi quelques fois les nuits précédentes car ils font tout crescendo, à quelques mots et sons furtifs qui entre les autres conneries lucifériennes, participe à la destruction de votre repos.
Au final, vu l'état de mon cerveau, il semblerait que ce soit lui qui soit plus à l'ordre du jour que la coeur ou le reste. A vrai dire, comme je l'ai déjà expliqué dans les articles précédents, pour éviter l'assassinat c'est le meilleur moyen, mais ils vont surtout se servir de mon passage chez ma médecin traitant et de son diagnostic que je qualifierais de mafieux évidemment, pour justifier un problème de santé mentale.
Cherchant à prouver que l'arrière de mon crâne a bien subi une déformation préméditée technologique à distance durant la nuit du 13 (aucun hasard !) au 14 juillet dernier par la réalisation d'une autre IRM l'attestant, j'ai voulu rester dans ma nature qui est d'être 100% honnête. J'ai donc expliqué certains éléments qui n'avaient rien de médicaux. Ayant reçu une décharge électrique dans le côté gauche du cerveau quelques jours avant le tout empiré par un manque de sommeil plus élevé que d'habitude, je n'ai pas pu être dans mon meilleur état pour me défendre oralement. Elle avait donc noté "propos hallucinatoires", surement en confusion avec "propos hallucinants" mais tellement réels, mais ayant été reçu en double, comme dans de nombreuses autres situations, je doute fort de son libre arbitre sur cette décision. En outre des personnes à qui je l'ai raconté ont soulevé le fait étrange que j'ai réussi à lire ce qui se trouvait sur son écran alors qu'en principe même le patient n'y a pas accès et ne devrait pas savoir. Une autre phrase était présente mais je n'ai pas cherché à la lire, ayant ma conscience pour moi sur ma santé mentale et mon intégrité par rapport à ce que je suis. Par ailleurs j'aurais très bien pu justifier ma demande d'IRM par des douleurs ressemblant à celles qui m'ont permis d'obtenir la première, mais je n'aurais pas été moi-même. Je me respecterai jusqu'au bout.
Donc toujours pareil mais de pire en pire, physiquement et mentalement, je ne peux quasiment plus sortir.
- Et...
En ce moment le thème qui revient souvent est la schizophrénie. Tout est fait pour me faire peur, me mettre la pression sur un avenir qui sera DE TOUTES LES FAÇONS NÉGATIF. Donc inutilité mafieuse de plus, mais c'est là donc je le relate. La capacité technologique d'envoyer des sons très complexes (mots, phrases, conversations, voix de vos proches s'adressant à vous) directement dans le cerveau existe bel et bien (télépathie synthétique en français, voice-to-skull en anglais). Informatiquement ce que le grand public ignore est à peine croyable. Mais tout est sous nos yeux, suffit de lire et de chercher un peu. J'avais déjà eu des phrases entendues uniquement par moi mais dans des situations très précises qui, si je les avais prises pour argent comptant, aurait créé de vives tensions avec mes proches. Heureusement la débilité satanique semble glisser sur les anges comme la m**** sur la céramique. Donc j'ai eu droit durant ces longues heures, mais aussi quelques fois les nuits précédentes car ils font tout crescendo, à quelques mots et sons furtifs qui entre les autres conneries lucifériennes, participe à la destruction de votre repos.
Au final, vu l'état de mon cerveau, il semblerait que ce soit lui qui soit plus à l'ordre du jour que la coeur ou le reste. A vrai dire, comme je l'ai déjà expliqué dans les articles précédents, pour éviter l'assassinat c'est le meilleur moyen, mais ils vont surtout se servir de mon passage chez ma médecin traitant et de son diagnostic que je qualifierais de mafieux évidemment, pour justifier un problème de santé mentale.
Cherchant à prouver que l'arrière de mon crâne a bien subi une déformation préméditée technologique à distance durant la nuit du 13 (aucun hasard !) au 14 juillet dernier par la réalisation d'une autre IRM l'attestant, j'ai voulu rester dans ma nature qui est d'être 100% honnête. J'ai donc expliqué certains éléments qui n'avaient rien de médicaux. Ayant reçu une décharge électrique dans le côté gauche du cerveau quelques jours avant le tout empiré par un manque de sommeil plus élevé que d'habitude, je n'ai pas pu être dans mon meilleur état pour me défendre oralement. Elle avait donc noté "propos hallucinatoires", surement en confusion avec "propos hallucinants" mais tellement réels, mais ayant été reçu en double, comme dans de nombreuses autres situations, je doute fort de son libre arbitre sur cette décision. En outre des personnes à qui je l'ai raconté ont soulevé le fait étrange que j'ai réussi à lire ce qui se trouvait sur son écran alors qu'en principe même le patient n'y a pas accès et ne devrait pas savoir. Une autre phrase était présente mais je n'ai pas cherché à la lire, ayant ma conscience pour moi sur ma santé mentale et mon intégrité par rapport à ce que je suis. Par ailleurs j'aurais très bien pu justifier ma demande d'IRM par des douleurs ressemblant à celles qui m'ont permis d'obtenir la première, mais je n'aurais pas été moi-même. Je me respecterai jusqu'au bout.
Donc toujours pareil mais de pire en pire, physiquement et mentalement, je ne peux quasiment plus sortir.