Il y a quelques mois de cela, en février il me semble, ils m'avaient répondu en direct à l'une de mes réflexions via une personne publique. Je ne vais pas encore vous le détailler, même si je suis sûr de moi, mais le ferai peut-être plus tard. Je réfléchissais à mon passage chez la dame de joie et à tout ce qui tournait autour de ce passage dans le début de l'emballement de mon souci, après l'été 2007. Leur message à ce moment-là était : "C'est bien fait pour toi t'avais qu'à pas y aller !". Je pense que je répète le tout au mot près. Et bien justement, imaginons que je n'aie jamais mis les pieds dans ce sale endroit qui pue.
Comme vous avez pu l'apprendre au début et/ou dans le reste du blog, j'avais un souci de santé principal qui m'a orienté dans mes études et ma vie professionnelle. Il s'agit de mes fortes douleurs et des symptômes ressentis aux yeux devant toute source de luminosité : soleil, phares la nuit et tous écrans (même de téléphone portable ou petits jeux)... L'informatique ayant une place prégnante dans tous les métiers de la gestion et dans la majorité des métiers intellectuels d'aujourd'hui, j'étais mal barré. Il s'est déclaré au début de me deuxième année de fac, sans véritable raison valable, diagnostics médicaux à l'appui. Ce sont plus de cinq ophtalmos et deux orthoptistes qui s'y sont cassé les dents dessus. Aucune solution ne fut apportée en six ans de nomadisme médical. Seul le résultat de mes intenses recherches m'ont permis de découvrir que la vitamine A était essentielle à la vue et qu'un apport journalier permettait de l'entretenir. La plus grosse concentration se trouvait être dans la carotte sous forme de bêta-carotène, il n'existe pas un matin depuis lors où vous auriez pu me voir sans en manger au moins une, toutes les personnes de mon entourage pourraient en témoigner. C'est toujours le cas aujourd'hui. A l'époque, je pouvais souvent en porter une sur moi tout comme un asthmatique garde sa Ventoline avec lui... C'était la meilleure manière de calmer mes douleurs et de supporter le peu d'informatique que je pouvais avoir d'obligatoire à la fac ou les sorties entre amis improvisées devant un écran (car je refusais quasi-systématiquement le aprèm jeux-vidéo et cinéma). Donc ce n'est pas le souci de monsieur tout-le-monde au bout de plusieurs heures d'écran dû à la fatigue oculaire ou générale pour lequel on conseille généralement d'aller se reposer ou de prendre des gouttes. C'était un réel handicap, le plus important parmi la ribambelle de soucis de santé dont je souffrais étrangement. C'est alors que, après six années de consultations, de recherches intensives et de tests divers (produits, cures d'aliments, allergies, lunettes antireflets, diminution de la luminosité au minimum de tous mes appareils, recul des distances me séparant des écrans, toujours les lunettes de soleil UV3 à l'extérieur, éviter la conduite de nuit et en plein soleil, arrêt total des jeux-vidéos et cinéma, téléphone portable avec luminosité éteinte, éviter de manquer de sommeil, fermer les yeux quelques minutes plusieurs fois par jour etc.), la solution miracle me tomba du ciel comme par enchantement. Je finis par me retrouver sur un site de yoga des yeux, application de la méthode Bates, un spécialiste des yeux des années 30 aux États-Unis dont les travaux n'étaient pas considérés comme scientifiquement prouvés. Et, comme pour une grande partie des travaux bizarrement mis en marge de la médecine dite légale, conventionnelle, les raisons invoquées ne sont pas toujours les véritables. Ces travaux ont par exemple pu se retrouver marginalisés uniquement parce qu'ils étaient trop efficaces, nuisant par ailleurs au capital car soignant trop bien un grand nombre d'affections pour lesquelles des médicaments, traitements, spécialistes, centres médicaux etc. tournent à plein régime ou sont très prisés. Et voici donc que dans mon cas les exercices de cette méthode ont permis un ouf de soulagement gratuit. Cependant, je resterai dépendant de ces exercices toute ma vie à raison d'une séance de 10 à 20 min une fois par jour à une fois par semaine en fonction de la durée de mes activités sur écran et de ma fatigue. De plus, ma vision est toujours fragile, je dois donc garder mes anciennes habitudes (régler la luminosité des écrans au minimum, éviter les fortes sources de lumière, les après-midi de soleil au zénith, les réverbérations etc.). Tout ne reviendra jamais à la normale mais croyez-moi c'est LE coup de pouce du ciel que j'attendais.
Malheureusement, il semblerait que ce ne soit pas un cadeau venu du ciel... Il semblerait même que ça en soit un de son opposé... En effet, cette solution est venue taper à ma porte un mois après le passage chez la dame de joie, un mois avant les mails reçus de manière étrange et deux mois avant le passage du duo de duettistes, comme un cheveu sur la soupe. Ce qui veut donc dire par-là, tenez-vous bien, que ce souci m'a été créé de manière volontaire afin de me mettre comme une « bride » m'empêchant de devenir un personnage trop important avant de me retrouver dans leur poche, sous leurs ordres. Et si seulement elle avait été la seule... Les autres, uniquement pour celles qui sont clairement identifiées, ne sont pas soignables autrement que par le passage sur le billard. Par conséquent, si ces deux évènements sont intimement liés, ma bévue sexuelle et ma rémission visuelle, sans la première pas de seconde !
Imaginons donc, comme ils me le conseillent apparemment, que je n'aie jamais posé les pieds "on the dark side of the moon ». Je me trouverais avec le même problème oculaire principal et tout ce qui gravite autour, comme vous avez pu ou vous pouvez le lire dans l'introduction de mon livre à venir (ici : http://bruleparlesillumines.skyrock.com/3137792642-Introduction-de-ce-qui-DEVAIT-constituer-mon-ebook-la-tete-grillee-et.html).
Sachant que j'ai choisi de bifurquer à l'IUFM uniquement à cause de mon problème de vision, que lors des oraux de ma première tentative du CRPE, mon père est décédé, et que durant la deuxième, j'ai eu un accident de VTT trois jours avant le grand oral, le passant une troisième fois, j'aurais eu droit à quoi cette fois-ci ?! Un incendie dans mon logement ? Une météorite explosant ma voiture ? Un tremblement de terre juste autour de chez moi ? Une abduction par des extraterrestres pendant quelques jours ?!
Sachant que je priais déjà, à 24 ans, le ciel de me reprendre si ma place n'était pas ici au vu de toutes les « malchances » dont je faisais le frais, on aurait peut-être obtenu mon suicide l'année suivante !
Dites-moi, ça devient dangereux en France de tenter de devenir instit sans être dans la poche du pouvoir ! Avouez qu'il y a de quoi être révolté non ?!
Alors que l'on ne vienne pas me dire que JE n'aurais pas dû mettre les pieds là où plus de 50% de mes amis masculins ont pu se rendre sans le moindre ennui. Au « Quand on doit devenir Quelqu'un, on le devient quoi qu'il se passe » que l'on m'a gentiment placé il y a de cela quelques temps, je répondrais moi aussi gentiment vu l'étendue du pouvoir du monstre tentaculaire « Quand on a choisi de bousiller quelqu'un, il le sera quoi qu'il fasse ».
J'emmerde leur monde et les emmerde par la même occasion.
Comme vous avez pu l'apprendre au début et/ou dans le reste du blog, j'avais un souci de santé principal qui m'a orienté dans mes études et ma vie professionnelle. Il s'agit de mes fortes douleurs et des symptômes ressentis aux yeux devant toute source de luminosité : soleil, phares la nuit et tous écrans (même de téléphone portable ou petits jeux)... L'informatique ayant une place prégnante dans tous les métiers de la gestion et dans la majorité des métiers intellectuels d'aujourd'hui, j'étais mal barré. Il s'est déclaré au début de me deuxième année de fac, sans véritable raison valable, diagnostics médicaux à l'appui. Ce sont plus de cinq ophtalmos et deux orthoptistes qui s'y sont cassé les dents dessus. Aucune solution ne fut apportée en six ans de nomadisme médical. Seul le résultat de mes intenses recherches m'ont permis de découvrir que la vitamine A était essentielle à la vue et qu'un apport journalier permettait de l'entretenir. La plus grosse concentration se trouvait être dans la carotte sous forme de bêta-carotène, il n'existe pas un matin depuis lors où vous auriez pu me voir sans en manger au moins une, toutes les personnes de mon entourage pourraient en témoigner. C'est toujours le cas aujourd'hui. A l'époque, je pouvais souvent en porter une sur moi tout comme un asthmatique garde sa Ventoline avec lui... C'était la meilleure manière de calmer mes douleurs et de supporter le peu d'informatique que je pouvais avoir d'obligatoire à la fac ou les sorties entre amis improvisées devant un écran (car je refusais quasi-systématiquement le aprèm jeux-vidéo et cinéma). Donc ce n'est pas le souci de monsieur tout-le-monde au bout de plusieurs heures d'écran dû à la fatigue oculaire ou générale pour lequel on conseille généralement d'aller se reposer ou de prendre des gouttes. C'était un réel handicap, le plus important parmi la ribambelle de soucis de santé dont je souffrais étrangement. C'est alors que, après six années de consultations, de recherches intensives et de tests divers (produits, cures d'aliments, allergies, lunettes antireflets, diminution de la luminosité au minimum de tous mes appareils, recul des distances me séparant des écrans, toujours les lunettes de soleil UV3 à l'extérieur, éviter la conduite de nuit et en plein soleil, arrêt total des jeux-vidéos et cinéma, téléphone portable avec luminosité éteinte, éviter de manquer de sommeil, fermer les yeux quelques minutes plusieurs fois par jour etc.), la solution miracle me tomba du ciel comme par enchantement. Je finis par me retrouver sur un site de yoga des yeux, application de la méthode Bates, un spécialiste des yeux des années 30 aux États-Unis dont les travaux n'étaient pas considérés comme scientifiquement prouvés. Et, comme pour une grande partie des travaux bizarrement mis en marge de la médecine dite légale, conventionnelle, les raisons invoquées ne sont pas toujours les véritables. Ces travaux ont par exemple pu se retrouver marginalisés uniquement parce qu'ils étaient trop efficaces, nuisant par ailleurs au capital car soignant trop bien un grand nombre d'affections pour lesquelles des médicaments, traitements, spécialistes, centres médicaux etc. tournent à plein régime ou sont très prisés. Et voici donc que dans mon cas les exercices de cette méthode ont permis un ouf de soulagement gratuit. Cependant, je resterai dépendant de ces exercices toute ma vie à raison d'une séance de 10 à 20 min une fois par jour à une fois par semaine en fonction de la durée de mes activités sur écran et de ma fatigue. De plus, ma vision est toujours fragile, je dois donc garder mes anciennes habitudes (régler la luminosité des écrans au minimum, éviter les fortes sources de lumière, les après-midi de soleil au zénith, les réverbérations etc.). Tout ne reviendra jamais à la normale mais croyez-moi c'est LE coup de pouce du ciel que j'attendais.
Malheureusement, il semblerait que ce ne soit pas un cadeau venu du ciel... Il semblerait même que ça en soit un de son opposé... En effet, cette solution est venue taper à ma porte un mois après le passage chez la dame de joie, un mois avant les mails reçus de manière étrange et deux mois avant le passage du duo de duettistes, comme un cheveu sur la soupe. Ce qui veut donc dire par-là, tenez-vous bien, que ce souci m'a été créé de manière volontaire afin de me mettre comme une « bride » m'empêchant de devenir un personnage trop important avant de me retrouver dans leur poche, sous leurs ordres. Et si seulement elle avait été la seule... Les autres, uniquement pour celles qui sont clairement identifiées, ne sont pas soignables autrement que par le passage sur le billard. Par conséquent, si ces deux évènements sont intimement liés, ma bévue sexuelle et ma rémission visuelle, sans la première pas de seconde !
Imaginons donc, comme ils me le conseillent apparemment, que je n'aie jamais posé les pieds "on the dark side of the moon ». Je me trouverais avec le même problème oculaire principal et tout ce qui gravite autour, comme vous avez pu ou vous pouvez le lire dans l'introduction de mon livre à venir (ici : http://bruleparlesillumines.skyrock.com/3137792642-Introduction-de-ce-qui-DEVAIT-constituer-mon-ebook-la-tete-grillee-et.html).
Sachant que j'ai choisi de bifurquer à l'IUFM uniquement à cause de mon problème de vision, que lors des oraux de ma première tentative du CRPE, mon père est décédé, et que durant la deuxième, j'ai eu un accident de VTT trois jours avant le grand oral, le passant une troisième fois, j'aurais eu droit à quoi cette fois-ci ?! Un incendie dans mon logement ? Une météorite explosant ma voiture ? Un tremblement de terre juste autour de chez moi ? Une abduction par des extraterrestres pendant quelques jours ?!
Sachant que je priais déjà, à 24 ans, le ciel de me reprendre si ma place n'était pas ici au vu de toutes les « malchances » dont je faisais le frais, on aurait peut-être obtenu mon suicide l'année suivante !
Dites-moi, ça devient dangereux en France de tenter de devenir instit sans être dans la poche du pouvoir ! Avouez qu'il y a de quoi être révolté non ?!
Alors que l'on ne vienne pas me dire que JE n'aurais pas dû mettre les pieds là où plus de 50% de mes amis masculins ont pu se rendre sans le moindre ennui. Au « Quand on doit devenir Quelqu'un, on le devient quoi qu'il se passe » que l'on m'a gentiment placé il y a de cela quelques temps, je répondrais moi aussi gentiment vu l'étendue du pouvoir du monstre tentaculaire « Quand on a choisi de bousiller quelqu'un, il le sera quoi qu'il fasse ».
J'emmerde leur monde et les emmerde par la même occasion.