Cette fois-ci c'est officiel, mais non dramatique : la grosse douleur à l'oeil droit qui a duré plus d'une semaine et demie a entrainé une perte de 0.5 à 1/10. Le réparateur de la voiture d'une personne de mon entourage nous a parlé de sa tension dans les yeux qui pourrait le rendre aveugle s'il ne la traitait pas, le but étant, qu'il l'ait dit consciemment ou pas, de créer chez moi une inquiétude (oulala, j'ai peur j'ai peur, et si je devenais aveugle...), un article sur le fait que les français délaissez souvent l'achat de lunettes de vue faute de moyen etc. Beaucoup d'éléments tournaient autour de la vision en ce moment, donc voilà, c'est confirmé, contrairement aux fois où j'avais eu l'impression de perdre de la vision alors que ce n'était que de l'énorme fatigue.
Aujourd'hui c'était la pose de la dernière partie de la rampe chez moi qui n'avait jamais été faite depuis 23 ans. Fallait forcément que des conneries se glissent au milieu, c'est un métier de faire chier le monde.
Hier soir, alors que j'étais en train de jouer à un jeux-vidéo, je me rends compte que mon coeur semble battre étonnamment tranquillement par rapport à d'habitude. Dans la foulée passent, sur quelques heures, près de cinq avions de ligne qui relancent fort les moteurs au-dessus de la maison. A ces heures tardives, entre 21h et 1h du mat, impossible que les voisins n'aient pas entendu et trouvé ça étrange... Mais je suis certain que la cible est connue. Le message est le suivant :
- Moteur : A rapprocher au c½ur humain ;
- Relancé très fort : Comprendre tachycardie, emballement, fatigue cardiaque provoqués ;
- Avion : « Avi » => « A vie » ou « C'est à vie » que l'on te bousille le c½ur. Le « on » n'ayant pas d'intérêt dans ce cas.
J'essaie de ne plus y faire attention mais le déferlement de connerie humaine aura de toute manière lieu que je comprenne le message persécutoire prémonitoire ou pas. On me dit donc par là que la constatation sur le calme de mon c½ur n'est que passagère et que 'est à vie qu'ils vont me le détruire. Forcément, la nuit reste le meilleur moment pour déstabiliser et fatiguer quelqu'un. Du coup, cette nuit n'a pas été plus courte que les autres en sommeil, 5 heures tout au plus après avoir subi des dizaines de minutes de sursauts au moment de l'endormissement, mais les trois dernières heures allongé l'ont été avec des accélérations du rythme cardiaque incessantes par diverses manières entrainant le fourmillement/la chaleur habituel(le) dans le côté gauche de mon crâne. Je me lève dans un sale état, bin plus que les derniers jours, mais avec le sourire.
J'en reviens à nos moutons. Le poseur de la rampe est étonnamment seul. Manipuler une rampe d'environ quatre mètres et la faire entrer dans une maison, mariole. Obligatoirement, c'est bibi qui a dû prêter main forte. J'ai dit en rigolant, mais c'est dit quand-même (...) : « Si vous me faites travailler alors je vais vous demander une ristourne sur la facture ! ». Je plaisante mais quand on paie un professionnel c'est a priori pour les pièces mais aussi la main-d'½uvre. Bref, dans l'absolu ce n'est pas grave mais relativement à ma situation et le sale état physique et mental dans lequel on me plonge tout à fait exprès ce jour-là, ça l'est. Je fais tout de même le nécessaire et m'en sors pas trop mal, mais une fois n'est pas coutume. Je me suis senti sinon j'aurais refusé sans état d'âme que je n'ai pas à avoir. En fait le souci résulte des vacances scolaires. En effet, son apprenti en CAP serait en vacances actuellement. Cependant cela fait presque deux mois que la rampe aurait dû être livrée, c'est-à-dire début mars. J'ai d'ailleurs rappelé deux fois pour savoir où en était le travail. Hasard ? Mon derrière ouais ! Que le professionnel, très aimable par ailleurs, en ait conscience ou non. Ils peuvent en effet se débrouiller pour des retards dans les livraisons de matières premières, dans les poses sur d'autres chantiers, des pannes sur des machines... afin d'obtenir une pose chez nous pendant les vacances. Je trouvais ça bizarre et n'ai pas eu besoin de chercher des heures pour me rendre comprendre que l'objectif était de me mettre en danger par la réalisation d'efforts physiques intenses. Cela m'a été confirmé, toujours de manière consciente ou non, par le texto d'un proche (seul de la journée) qui m'annonce que ses prochaines vacances se termineront le 13 du mois prochain. Sur la lisse basse figurent deux n½uds dans le bois qui forment comme des yeux. 50 cm plus haut même chose, mais là les deux n½uds sont collés faisant penser à des lunettes. On est en plein dans le sujet et dans l'actualité, visiblement tout à fait préméditée, de ma perte de vision.
C'est là que l'on se rend compte de la réalité des choses, de la grande résistance du corps humain. Lisez bien, cela est valable pour tout le monde. Je viens de passer pratiquement deux années à bosser en moyenne plus de 6 heures par jour sans week-end ni jours fériés ni vacances, de jour comme de nuit, sur un ordinateur (sans compter les longues parties de jeux-vidéos) en étant en grand manque de sommeil (avec des semaines entières de nuits blanches !) et attaqué psychotroniquement depuis plus de deux ans et demi, dans des états de légumisation pas possibles où seul mon canapé permettait à ma tête de rester droit face à l'écran de TV, SANS PERDRE UN 1/10 DE VUE. Et là, en l'espace d'une semaine et demie, grâce à une douleur non identifiée qui est partie comme elle est venue sans explication, je perds ce dixième à mon ½il droit. Faut le vivre. Nous nous faisons tous ou presque détruire de cette manière non naturelle car, je le rappelle, la plupart des personnes dans mon cas ne s'en rendent pas compte. Le meilleur exemple en est mon père.
Mon frigo est vivant. Je ne me souviens plus si je l'ai écrit dernièrement, mais il l'est. Enfin vous m'avez compris, ON l'anime. A chaque fois que je passe à côté, que je pense à raconter des éléments de mon lent assassinat, que je dis seul quelque chose qui justifie qu'ils me disent d'y rester, le froid se met en route. C'est devenu du n'importe quoi, un peu comme les chauffages cet hiver, Par la mise en route du froid, il faut comprendre « meurs » en rapprochant la mort avec le froid, comme dans l'expression « refroidir quelqu'un » par exemple. C'est toujours le même principe, de la métaphore, du sens connexe ou voisin, de l'analogie, de l'extrapolation, des rapprochements basés sur des points communs, de l'homophonie, du calembour etc. Tout y passe, c'est de l'intelligence ni plus ni moins. Je vais d'ailleurs finir par le faire ce sujet sur le mode de communication que je placerai dans la partie sur les SIGNES de mon site.
Mais pour l'heure, je vais gaspiller mes derniers pas pour rejoindre le stand de tir qui me sert de lit. Sachant qu'il vient de se mettre à pleuvoir et que c'est prévu pour tout le week-end, vous pouvez me souhaiter bonne chance...
Bonsoir à vous.
Aujourd'hui c'était la pose de la dernière partie de la rampe chez moi qui n'avait jamais été faite depuis 23 ans. Fallait forcément que des conneries se glissent au milieu, c'est un métier de faire chier le monde.
Hier soir, alors que j'étais en train de jouer à un jeux-vidéo, je me rends compte que mon coeur semble battre étonnamment tranquillement par rapport à d'habitude. Dans la foulée passent, sur quelques heures, près de cinq avions de ligne qui relancent fort les moteurs au-dessus de la maison. A ces heures tardives, entre 21h et 1h du mat, impossible que les voisins n'aient pas entendu et trouvé ça étrange... Mais je suis certain que la cible est connue. Le message est le suivant :
- Moteur : A rapprocher au c½ur humain ;
- Relancé très fort : Comprendre tachycardie, emballement, fatigue cardiaque provoqués ;
- Avion : « Avi » => « A vie » ou « C'est à vie » que l'on te bousille le c½ur. Le « on » n'ayant pas d'intérêt dans ce cas.
J'essaie de ne plus y faire attention mais le déferlement de connerie humaine aura de toute manière lieu que je comprenne le message persécutoire prémonitoire ou pas. On me dit donc par là que la constatation sur le calme de mon c½ur n'est que passagère et que 'est à vie qu'ils vont me le détruire. Forcément, la nuit reste le meilleur moment pour déstabiliser et fatiguer quelqu'un. Du coup, cette nuit n'a pas été plus courte que les autres en sommeil, 5 heures tout au plus après avoir subi des dizaines de minutes de sursauts au moment de l'endormissement, mais les trois dernières heures allongé l'ont été avec des accélérations du rythme cardiaque incessantes par diverses manières entrainant le fourmillement/la chaleur habituel(le) dans le côté gauche de mon crâne. Je me lève dans un sale état, bin plus que les derniers jours, mais avec le sourire.
J'en reviens à nos moutons. Le poseur de la rampe est étonnamment seul. Manipuler une rampe d'environ quatre mètres et la faire entrer dans une maison, mariole. Obligatoirement, c'est bibi qui a dû prêter main forte. J'ai dit en rigolant, mais c'est dit quand-même (...) : « Si vous me faites travailler alors je vais vous demander une ristourne sur la facture ! ». Je plaisante mais quand on paie un professionnel c'est a priori pour les pièces mais aussi la main-d'½uvre. Bref, dans l'absolu ce n'est pas grave mais relativement à ma situation et le sale état physique et mental dans lequel on me plonge tout à fait exprès ce jour-là, ça l'est. Je fais tout de même le nécessaire et m'en sors pas trop mal, mais une fois n'est pas coutume. Je me suis senti sinon j'aurais refusé sans état d'âme que je n'ai pas à avoir. En fait le souci résulte des vacances scolaires. En effet, son apprenti en CAP serait en vacances actuellement. Cependant cela fait presque deux mois que la rampe aurait dû être livrée, c'est-à-dire début mars. J'ai d'ailleurs rappelé deux fois pour savoir où en était le travail. Hasard ? Mon derrière ouais ! Que le professionnel, très aimable par ailleurs, en ait conscience ou non. Ils peuvent en effet se débrouiller pour des retards dans les livraisons de matières premières, dans les poses sur d'autres chantiers, des pannes sur des machines... afin d'obtenir une pose chez nous pendant les vacances. Je trouvais ça bizarre et n'ai pas eu besoin de chercher des heures pour me rendre comprendre que l'objectif était de me mettre en danger par la réalisation d'efforts physiques intenses. Cela m'a été confirmé, toujours de manière consciente ou non, par le texto d'un proche (seul de la journée) qui m'annonce que ses prochaines vacances se termineront le 13 du mois prochain. Sur la lisse basse figurent deux n½uds dans le bois qui forment comme des yeux. 50 cm plus haut même chose, mais là les deux n½uds sont collés faisant penser à des lunettes. On est en plein dans le sujet et dans l'actualité, visiblement tout à fait préméditée, de ma perte de vision.
C'est là que l'on se rend compte de la réalité des choses, de la grande résistance du corps humain. Lisez bien, cela est valable pour tout le monde. Je viens de passer pratiquement deux années à bosser en moyenne plus de 6 heures par jour sans week-end ni jours fériés ni vacances, de jour comme de nuit, sur un ordinateur (sans compter les longues parties de jeux-vidéos) en étant en grand manque de sommeil (avec des semaines entières de nuits blanches !) et attaqué psychotroniquement depuis plus de deux ans et demi, dans des états de légumisation pas possibles où seul mon canapé permettait à ma tête de rester droit face à l'écran de TV, SANS PERDRE UN 1/10 DE VUE. Et là, en l'espace d'une semaine et demie, grâce à une douleur non identifiée qui est partie comme elle est venue sans explication, je perds ce dixième à mon ½il droit. Faut le vivre. Nous nous faisons tous ou presque détruire de cette manière non naturelle car, je le rappelle, la plupart des personnes dans mon cas ne s'en rendent pas compte. Le meilleur exemple en est mon père.
Mon frigo est vivant. Je ne me souviens plus si je l'ai écrit dernièrement, mais il l'est. Enfin vous m'avez compris, ON l'anime. A chaque fois que je passe à côté, que je pense à raconter des éléments de mon lent assassinat, que je dis seul quelque chose qui justifie qu'ils me disent d'y rester, le froid se met en route. C'est devenu du n'importe quoi, un peu comme les chauffages cet hiver, Par la mise en route du froid, il faut comprendre « meurs » en rapprochant la mort avec le froid, comme dans l'expression « refroidir quelqu'un » par exemple. C'est toujours le même principe, de la métaphore, du sens connexe ou voisin, de l'analogie, de l'extrapolation, des rapprochements basés sur des points communs, de l'homophonie, du calembour etc. Tout y passe, c'est de l'intelligence ni plus ni moins. Je vais d'ailleurs finir par le faire ce sujet sur le mode de communication que je placerai dans la partie sur les SIGNES de mon site.
Mais pour l'heure, je vais gaspiller mes derniers pas pour rejoindre le stand de tir qui me sert de lit. Sachant qu'il vient de se mettre à pleuvoir et que c'est prévu pour tout le week-end, vous pouvez me souhaiter bonne chance...
Bonsoir à vous.