Depuis deux nuits c'est le retour des impressions qu'une partie du corps tombe, d'une perte de gravité ou d'un haut-le-c½ur lors du passage rapide sur une bosse en voiture. Ils me font ça au début et en fin de nuit, pour me réveiller. Cela s'accompagne visiblement toujours, non, je n'ai pas rêvé, du bourdonnement sourd qui semble s'intensifier à chaque "chute". Bien-sûr, l'objectif de ceci est de relancer le c½ur afin qu'il finisse au bout d'un certain temps à entrer en tachycardie et à vous grignoter une ou quelques heures de sommeil. Et au moment du réveil vous pouvez être sûr de ne plus jamais réussir à vous rendormir.
Depuis 4 ou 5 jours j'ai dans l'oreille droite l'équivalent de ce que je pouvais avoir en sortant de discothèque, c'est-à-dire comme une impression d'avoir du coton dans l'oreille assortie d'une sorte de "souffle". En principe, ces symptômes disparaissent le lendemain au réveil ou dans les jours qui viennent. Cependant là, cela semble bel et bien rester. En tout cas cela fait bien 4 jours que ça n'a pas changé. Une sorte d'acouphène en somme, surement conjugué à une perte d'audition, à vérifier. Je suppose que c'est une des conséquences du coup que j'ai pris dans l'hémisphère droit du cerveau dans la nuit du 17 au 18 octobre dernier, comme je le raconte dans la journée du mardi 18 il me semble.
J'ai aussi l'½il droit qui a perdu encore un peu de vision. Je dois en être à -0.50 à gauche et -0.25 à droite. Je fais toujours le même test la nuit sur un panneau qui se trouve au bout de ma rue. Pour corroborer le tout une personne que j'avais déjà en ami depuis quelques temps est revenue me mettre commentaire sur FB, sur le message d'une autre personne (!), pour me remercier d'avoir accepté son invitation. Cette personne a son visage en photo sur lequel elle tient une fausse paire de lunettes faite avec du fil de fer. C'est donc de cette manière, entre autres, que l'on me prouve que la baisse de ma vision ne doit rien au hasard...
Depuis deux semaines maintenant, autour de l'anniversaire des un an de la destruction de mes nuits, le 13 octobre, les vieux voisins se sont bien calmés, comme par enchantement ! Le contrat avait dû être fait sur un an, avec une clause de fin de contrat en cas de décès du harcelé. Et il est toujours marrant de constater l'année suivante que, contrairement au fait que dans l'action vous vous demandez toujours si vous ne rêvez pas, les choses sont rentrées dans l'ordre. Évidemment, dans tous les cas on me l'a fait pas, ayant vécu pratiquement 10 ans au même endroit avant que ce souci ne survienne, je savais très bien que quelque chose n'allait pas. Et puis de toute façon, ils laissaient tellement de signes me prouvant qu'ils étaient encore et toujours à l'origine de cette "inutilo-bête" inhumanité. Donc peu de place pour le doute, seule la question du comment cela se déroule en coulisse pouvait me encore me faire douter.
A vrai dire au début de la destruction de mes nuits je pensais que j'étais ennuyé uniquement par les voisins et les autres blaireaux mandatés pour frapper au bon moment, mais en fait ils usaient de la technologie en même temps, et ce, pratiquement dès le début ! L'objectif était en fait de me rendre fou de rage et de me pousser à m'en prendre aux gens autour de moi qui n'étaient à l'origine que d'un petit pourcentage de nuisances. Dieu merci, j'ai apparemment été doté d'un self-control remarquable, sans m'envoyer des fleurs, pour ne pas bouger le petit doigt quand par exemple au bout de 4 mois de destruction vous vous apprêtez à rentrer dans votre voiture pour aller chez le cardiologue et que votre chère voisine, que vous passez votre temps à insulter et à qui vous ne dites plus bonjour, sort pile à ce moment-là la tête de son portail pour vous dire un très franc "bonjour" avec un large sourire... Et ce n'est qu'un exemple parmi des centaines d'autres étalés sur quatre ans.
En fait, ce que je raconte-là peut être appliqué à un grand nombre de cas, de situations où ils essaient, dans l'ombre (mais bien clairement dans mon cas), de nous monter les uns contre les autres. Alors, avant de vous laisser aller à faire du mal à votre prochain, je vous conseille de bien réfléchir à deux fois et d'analyser le problème, la situation. Ce genre de manipulation diabolique est parfaitement illustré dans la dernière partie du film Le témoin du mal avec Denzel Washington (1997), quand les trois flics, collègues au départ, finissent par s'entretuer à cause d'une manigance d'Azazel (le diable qui n'est autre que la représentation de ceux qui nous dirigent et que j'ai sur le dos). Pas de hasard encore une fois ce film a été réalisé pour décrire précisément certains des agissements du Pouvoir secret et j'ai trouvé en celui-ci un très nombre d'éléments en rapport avec mon histoire, mon vécu, le tout jalonné de "signes" (klaxons, nombres, tags...) tels que je les décris sur mon site.
Depuis 4 ou 5 jours j'ai dans l'oreille droite l'équivalent de ce que je pouvais avoir en sortant de discothèque, c'est-à-dire comme une impression d'avoir du coton dans l'oreille assortie d'une sorte de "souffle". En principe, ces symptômes disparaissent le lendemain au réveil ou dans les jours qui viennent. Cependant là, cela semble bel et bien rester. En tout cas cela fait bien 4 jours que ça n'a pas changé. Une sorte d'acouphène en somme, surement conjugué à une perte d'audition, à vérifier. Je suppose que c'est une des conséquences du coup que j'ai pris dans l'hémisphère droit du cerveau dans la nuit du 17 au 18 octobre dernier, comme je le raconte dans la journée du mardi 18 il me semble.
J'ai aussi l'½il droit qui a perdu encore un peu de vision. Je dois en être à -0.50 à gauche et -0.25 à droite. Je fais toujours le même test la nuit sur un panneau qui se trouve au bout de ma rue. Pour corroborer le tout une personne que j'avais déjà en ami depuis quelques temps est revenue me mettre commentaire sur FB, sur le message d'une autre personne (!), pour me remercier d'avoir accepté son invitation. Cette personne a son visage en photo sur lequel elle tient une fausse paire de lunettes faite avec du fil de fer. C'est donc de cette manière, entre autres, que l'on me prouve que la baisse de ma vision ne doit rien au hasard...
Depuis deux semaines maintenant, autour de l'anniversaire des un an de la destruction de mes nuits, le 13 octobre, les vieux voisins se sont bien calmés, comme par enchantement ! Le contrat avait dû être fait sur un an, avec une clause de fin de contrat en cas de décès du harcelé. Et il est toujours marrant de constater l'année suivante que, contrairement au fait que dans l'action vous vous demandez toujours si vous ne rêvez pas, les choses sont rentrées dans l'ordre. Évidemment, dans tous les cas on me l'a fait pas, ayant vécu pratiquement 10 ans au même endroit avant que ce souci ne survienne, je savais très bien que quelque chose n'allait pas. Et puis de toute façon, ils laissaient tellement de signes me prouvant qu'ils étaient encore et toujours à l'origine de cette "inutilo-bête" inhumanité. Donc peu de place pour le doute, seule la question du comment cela se déroule en coulisse pouvait me encore me faire douter.
A vrai dire au début de la destruction de mes nuits je pensais que j'étais ennuyé uniquement par les voisins et les autres blaireaux mandatés pour frapper au bon moment, mais en fait ils usaient de la technologie en même temps, et ce, pratiquement dès le début ! L'objectif était en fait de me rendre fou de rage et de me pousser à m'en prendre aux gens autour de moi qui n'étaient à l'origine que d'un petit pourcentage de nuisances. Dieu merci, j'ai apparemment été doté d'un self-control remarquable, sans m'envoyer des fleurs, pour ne pas bouger le petit doigt quand par exemple au bout de 4 mois de destruction vous vous apprêtez à rentrer dans votre voiture pour aller chez le cardiologue et que votre chère voisine, que vous passez votre temps à insulter et à qui vous ne dites plus bonjour, sort pile à ce moment-là la tête de son portail pour vous dire un très franc "bonjour" avec un large sourire... Et ce n'est qu'un exemple parmi des centaines d'autres étalés sur quatre ans.
En fait, ce que je raconte-là peut être appliqué à un grand nombre de cas, de situations où ils essaient, dans l'ombre (mais bien clairement dans mon cas), de nous monter les uns contre les autres. Alors, avant de vous laisser aller à faire du mal à votre prochain, je vous conseille de bien réfléchir à deux fois et d'analyser le problème, la situation. Ce genre de manipulation diabolique est parfaitement illustré dans la dernière partie du film Le témoin du mal avec Denzel Washington (1997), quand les trois flics, collègues au départ, finissent par s'entretuer à cause d'une manigance d'Azazel (le diable qui n'est autre que la représentation de ceux qui nous dirigent et que j'ai sur le dos). Pas de hasard encore une fois ce film a été réalisé pour décrire précisément certains des agissements du Pouvoir secret et j'ai trouvé en celui-ci un très nombre d'éléments en rapport avec mon histoire, mon vécu, le tout jalonné de "signes" (klaxons, nombres, tags...) tels que je les décris sur mon site.