Aujourd'hui levé 13h essoufflé, c½ur à 120 et froid à l'épaule gauche, je reste au téléphone avec une des seules personnes qui ont suffisamment d'ouverture d'esprit et de compréhension de ce monde pour m'écouter et me croire jusqu'à 18h. Puis je décide de continuer le travail que j'avais entamé dans mon garage qui consiste à déplacer quelques pierres. 3/4 d'heure après j'arrête, crevé. Mais tellement crevé que je tiens à peine debout, je descends les escaliers avec la tremblotte, j'ai le cerveau qui semble déconnecter et je finis affalé sur le canapé, à 90% mort. Pendant ce temps-là les sales fils de rats que j'ai scratchés à mon derrière en profitent encore et toujours pour m'allumer et principalement dans les fesses en guise de moquerie. J'en ai strictement rien à foutre de ces messages de merde mais, quand on se penche deux secondes sur la question, on arrive à peine à croire que ce genre de personnages puisse exister. Je sais très bien ce que ces enfoirés veulent dire en me tirant comme cela dans les fesses. C'est à peine croyable, je ne le dirai jamais assez et j'en suis le premier effaré. On vous détruit à 200% et on se fout de vous jusqu'à la dernière seconde. Quelle saloperie mais quelle saloperie ! Ça me sort par tous les orifices. Après on me dira qu'ils sont dans une conquête planétaire et, tenez-vous bien, galactique ! C'est la meilleure ! Les mecs se disent être des "grands" des "bonhommes" et ils se paient le luxe de rester collé 24h/24 aux fesses d'un jeune qui n'a jamais eu le moindre moyen de déjouer ou de ralentir ne serait-ce qu'une once de leurs plans de merde pourris à deux francs six cents soixante six sous la cagette de 13000. Blaireaux.
Pour moi c'est l'asile ou la rue. Mais dans tous les cas, ce sera les majeurs bien tendus.
De toute façon je suis fier de moi. Survivre plus de 5 ans dans de telles conditions aux prises avec un monstre aussi énorme et horrible, cela relève de l'exploit.
Et même si les personnes autour de moi ont du mal à y croire, je suis responsable de ce que je dis et écris, pas de ce qu'elles comprennent.
Pour moi c'est l'asile ou la rue. Mais dans tous les cas, ce sera les majeurs bien tendus.
De toute façon je suis fier de moi. Survivre plus de 5 ans dans de telles conditions aux prises avec un monstre aussi énorme et horrible, cela relève de l'exploit.
Et même si les personnes autour de moi ont du mal à y croire, je suis responsable de ce que je dis et écris, pas de ce qu'elles comprennent.