Cette nuit j'ai eu droit à la même qu'il y a deux jours, c'est-à-dire dans la nuit de jeudi à vendredi. Du bourdonnement fort en non-stop toute la nuit assorti de tir dans tout le corps et autres symptômes artificiels évidemment, qui m'ont maintenu une belle tachycardie et, comme à chaque fois avec ce fort bourdonnement, une impression que le cerveau ne peut pas entrer en veille. Comme s'il était maintenu artificiellement à un niveau élevé de fréquence. Du coup au lever la même : tremblements, force inexistante, pertes de mémoire instantanée, tête à côté de ses pompes, fatigue extrême et j'en passe. Que faire dans un tel état ? Toujours pareil, la larve entre trois pièces de la maison et du PC, c'est ce qu'il y a de moins fatigant et c'est ce qui a le plus de chance de me sortir de là rapidement, autrement dit d'y rester.
Ma mère semble elle aussi de plus en plus fatiguée et sa mémoire et sa vivacité d'esprit se trouvent bien amoindris. Elle me dit qu'elle est réveillée tous les matins à la même heure, autour de 4/5h du matin. Il est absolument impossible qu'ils n'agissent pas sur elle de manière négative. Je devait y rester mais comme je l'ouvre trop alors changement de plan, ils vont se débarrasser en premier de celle qui me permet de ne pas encore être dans la pauvreté. C'est terrible à dire, terrible à écrire mais quand on est face à des ordures comme celles-là, soit on se met une balle soit on affronte tout sans rechigner de la manière la plus solide qui soit. Je me bats pour la liberté de tous les êtres sur cette planète, pour le droit au respect, à la dignité, contre la torture et la persécution sous toutes ses formes en l'ouvrant le plus possible, car aujourd'hui il ne me reste plus que ça. Rien ne me retient ici-bas dans ce monde de pourritures invétérées.
Les collègues, mêmes les plus proches et les plus incorruptibles, semblent avoir définitivement tourné leurs vestes. Les appels et les sollicitations se font des plus rares. Mais je n'en veux à personne de ne plus vouloir me côtoyer. J'imagine de plus en plus clairement comment cela doit se passer en coulisses et ce n'est de très évident. C'est la vie pas le paradis. En même temps, vu l'état dans lequel je me trouve je ne vois pas très bien ce que je pourrais faire avec des potes à part passer des heures au téléphone à raconter la seule et unique chose qui m'est imposée aujourd'hui, 100% négative.
Ce dernier paragraphe, je viens tout juste d'être obligé de le retaper. En effet, ayant pensé très rapidement que sur Skyblog les enregistrements d'articles ne foirent quasiment jamais, il fallait que l'âne de première que j'ai sur le dos 24h/h, payé certainement très grassement, réalise ma pensée. Vous n'êtes rien, vous êtes camé et à moitié mort et vous avez collé à vous une personne (humaine ?) qui, pour ce qui est des mauvais moments, vous observe tout au long de la journée en train de larver, qui vous allume dès que vous tentez de trouver la moindre minute de sommeil, qui envenime les choses quand vous vous prenez la tête avec une personne de votre famille, qui observe votre mère en train de pleurer à force de constater la solitude de son fils et sa décrépitude quotidienne etc. Pour ce qui est de bons moments, cette même gangrène humaine est toujours présente et fait tout ce qui est en son pouvoir technologique, matériel ou humain pour les pourrir. C'est quand-même sacrément impensable qu'une personne puisse passer son temps-plein de travail à esquinter ses semblables. Cela dépasse l'entendement, enfin selon moi. Bonsoir à vous, le mien sera mauvais, mais on s'y fait.
Les collègues, mêmes les plus proches et les plus incorruptibles, semblent avoir définitivement tourné leurs vestes. Les appels et les sollicitations se font des plus rares. Mais je n'en veux à personne de ne plus vouloir me côtoyer. J'imagine de plus en plus clairement comment cela doit se passer en coulisses et ce n'est de très évident. C'est la vie pas le paradis. En même temps, vu l'état dans lequel je me trouve je ne vois pas très bien ce que je pourrais faire avec des potes à part passer des heures au téléphone à raconter la seule et unique chose qui m'est imposée aujourd'hui, 100% négative.
Ce dernier paragraphe, je viens tout juste d'être obligé de le retaper. En effet, ayant pensé très rapidement que sur Skyblog les enregistrements d'articles ne foirent quasiment jamais, il fallait que l'âne de première que j'ai sur le dos 24h/h, payé certainement très grassement, réalise ma pensée. Vous n'êtes rien, vous êtes camé et à moitié mort et vous avez collé à vous une personne (humaine ?) qui, pour ce qui est des mauvais moments, vous observe tout au long de la journée en train de larver, qui vous allume dès que vous tentez de trouver la moindre minute de sommeil, qui envenime les choses quand vous vous prenez la tête avec une personne de votre famille, qui observe votre mère en train de pleurer à force de constater la solitude de son fils et sa décrépitude quotidienne etc. Pour ce qui est de bons moments, cette même gangrène humaine est toujours présente et fait tout ce qui est en son pouvoir technologique, matériel ou humain pour les pourrir. C'est quand-même sacrément impensable qu'une personne puisse passer son temps-plein de travail à esquinter ses semblables. Cela dépasse l'entendement, enfin selon moi. Bonsoir à vous, le mien sera mauvais, mais on s'y fait.