Bruleparlesillumines

3h ~ 5h : S2C
5h - 12h : Réveillé plusieurs fois avec ces S2C sur plusieurs dizaines de minutes et, je ne sais plus si je l'ai précisé, au moment du lever, comme tous les réveils de ces derniers temps, des souffles dans les oreilles (SdO) comme si le cœur battait plus fort sur une contraction ou s'arrêtait. C'est très étrange, j'ai pensé à des extrasystoles, mais sans certitude aucune. Peut-être est-ce eux qui obligent mon coeur a se contracter très intensément toutes les nuits grâce à leur technologie afin de détruire petit à petit l'anévrisme qui aurait été dissimulé dans l'IRM de ma tête étonnamment parfaite que j'ai passée. En tout cas, il semblerait qu'un lien existe entre le fait d'avoir ces SdO et la sensation d'avoir l'œil droit dans le coton. En ce moment on me fait passer beaucoup de messages du type de "on attend", "tic tac" ou autre qui laisserait penser qu'un compte à rebours sur le fait que quelque chose pourrait éclater en moi d'ici peu. A confirmer, mais peut-être pas par moi... 

Hier soir, nuit des étoiles avec ma cousine et son mari à un observatoire autour de chez nous. Il devait y avoir deux films, il n'y en a eu qu'un seul. Soit 45 minutes (peut-être en rapport avec le nombre d'années de souci à venir : 4 ans, 5 ans ?) au lieu d'une 1h30 (13...). Les images étaient saccadées. Peut-être le responsable a-t-il arrêté la projection à cause de la saccade de l'image. J'ai reçu de nombreux coups de rayon dans le corps durant la séance. Chaque fois que l'on arrivait à un nouveau télescope, un gars arrivait aussi et on se mettait à regarder M13 (13...) sachant que le premier était braqué sur M57 (5 pour le nombre d'années et 7 pour le fait de détruire mes nuits et me détruire grâce à des sursauts d'adrénaline). Un gars a baillé super fort. J'ai dit avant le film à ma cousine que j'ai pensé à mettre un pantalon pour éviter de me faire manger par les moustiques et, dans la soirée, un klaxon improbable a retenti juste avant que l'astronome amateur ne dise de l'attendre car il allait mettre un pantalon. Soit il a reçu un voice to skull (V2K, transmission de voix directement dans le cerveau), soit c'est un contrôle mental à distance qu'il lui en a donné l'envie. Sur le chemin de l'aller et au retour des voitures nous ont "accompagnés".
Au final, ce qui est terrible c'est que l'emmerdement ne concerne pas seulement moi mais bien toutes les personnes présentes à ce moment-là et nous étions surement une bonne centaine. Pour une seule et unique personne qui n'a, c'est toujours sympa de le rappeler, quasiment rien fait, ça fiat beaucoup non ?

Énième bêtise des plus nazes et inutiles aujourd'hui et ces derniers jours, toujours selon la technique du "je te fais croire que je te laisse tranquille mais en fait non lol".
Ces quatre dernières nuits ont été plutôt calmes (mais tout est relatif) ainsi que les journées, j'ai donc été moins fatigué mentalement et cardiaquement. Les messages m'arrivant de toute part ces derniers jours, comme toujours, médias, musiques, voisins, contacts Facebook, amis Facebook etc. ont fait état du pseudo départ des mes chers tyrans. Évidemment ces messages n'ont d'intérêt que pour ceux qui les créent, cela fait un LONG moment que je n'écoute plus leurs balivernes, mais ils ne l'ont décidément pas encore compris ou alors il y a quelque chose qui m'échappe. Ils créent des histoires, ils s'amusent. Je fais tout pour les éviter, détourner mon regard et mes oreilles, et eux se jettent sous mes yeux. On vous remet un peu d'aplomb et on frappe à nouveau de suite après. Leur objectif est de vous faire monter assez haut pour que la chute fasse plus mal. Coup d'épée dans l'eau.
Donc ce matin, après une nuit correcte mais au réveil très fatigué, j'ai commencé par avoir des petites pertes de mémoire instantanée. Puis j'ai senti comme si mon esprit s'en allait. Dans un état pareil on se secoue la tête dans tous les sens. Ensuite grosse impression de chaleur dans le crâne que je me mouille à l'eau froide comme à chaque fois. Plus tard, après le repas, avec une tête déjà sens dessus dessous, je ressens, après le signal de départ donné par un acouphène dans l'oreille droite, comme une grosse pression sur tout le haut de mon corps à partir des épaules semblable à celles que j'ai déjà évoquées précédemment, surtout il y a environ un an. A partir de ce moment-là vous êtes complètement à l'ouest, impossible de vous souvenir d'où vous posez les objets, ce que vous avez mangé la veille, quasiment impossible de vous concentrer sur ce que vous faites etc. J'ai d'ailleurs quitté mon ordinateur dans les minutes qui ont suivi. Cependant, ce n'est pas forcément une bonne idée puisque toute entreprise dans des conditions mentales pareilles peut être dangereuse. Je refaisais les joints de ma cuisine, les risques étaient donc limités, mais on ne sait jamais. Le mieux aurait été que je m'allonge et me regarde un film ou un manga en attendant un retour à la normale. Mais encore faut-il avoir la présence d'esprit d'y penser à ce moment précis... S'ensuit une belle pression dans l'hémisphère gauche du cerveau qui finira progressivement (plusieurs heures) en grosse migraine lancinante jusqu'à l'heure du coucher. Toutes ces sensations ont déjà moult fois été ressenties auparavant bien-sûr, aucune innovation aujourd'hui, depuis le début de l'utilisation quotidienne d'armes électroniques contre moi. Auparavant j'avais déjà ressenti de telles migraines le plus souvent localisées du côté gauche de la tête, mais en dehors de toute perte d'esprit ou sensations étranges comme celles que je viens de décrire. Peut-être était-ce déjà à l'époque des attaques envers moi.
A partir de là une réflexion me vient : Si j'étais déjà la cible de ces attaques psychotroniques avant mon passage très étrange chez une dentiste peu scrupuleuse en février 2010, c'est quelle ne m'a pas implanté de puce et qu'il n'en ont pas besoin ou alors que j'en avais déjà une ou plusieurs. Dans ce cas, ce passage étrange, en plus de m'avoir provoqué une parotidite, de m'avoir paralysé une moitié du visage, de m'avoir mis dans les vapes avec l'interminable injection et de m'avoir apporté une réparation cassée tout juste deux ans après, était surement destiné à me faire croire que cette dentiste m'avait implanté une puce dans la dent. Leur objectif était donc là de chercher à ce que je m'énerve jusqu'au point de m'arracher une dent ou plusieurs, version Bug 2006, film que j'analyserai très bientôt sur les forums et qui a dû être inspiré de la vraie histoire d'un citoyen avec 80% de chances américain, ou la mâchoire entière à la dentiste. Vous savez quoi ? R-A-T-É

Pour en revenir à la journée matraquage d'aujourd'hui, est-il nécessaire de préciser que dans un tel contexte les "boom" ont été des plus nombreux, surtout en fin de journée quand je me suis retrouvé devant le PC. En effet, l'activité informatique est beaucoup plus propice aux messages via les "boom" que le jointement.

Nuit détruite. Interdiction de s'endormir avant 6h du mat environ. De 2h30 à cette heure divers coups de rayon dans le corps au moment de s'envoler. Aussi, on m'oblige à sauter du lit vers 11h. Ça fout dans un sale état. Aussi, zéro véhicule aujourd'hui. Chambre => Cuisine => Jardin => Ordi et on évite les étages. Rédaction, analyses, un peu de ménage et peut-être une balade de 2 bornes, pas plus sinon je m'écroule, après m'être allongé surement après le repas.

J'ai décidé de résilier mon abonnement à Meetic. Ne servant à rien il n'y a aucune raison que je paie pour un service qui ne fonctionne pas avec moi. J'ai rédigé une lettre des plus inédites, nous allons bien voir et peut-être même rigoler :

"Bonjour,

Je suis abonné à vos services depuis le 24 juillet 2012 et ce pendant 4 mois, dont 1 offert, jusqu'au 24 novembre 2012.

Cependant, je ne suis pas tout à fait un client comme les autres. En effet, cela fait plus d'un mois que je suis abonné et absolument aucune Meetic-girl ne souhaite me rencontrer ni même entretenir une discussion avec moi, mise à part une seule (mais il y a une raison bien précise derrière qui brave toutes les règles établies et qui n'est en rien en lien avec une quelconque recherche amoureuse).

La raison, à ce gros désagrément s'il en est, n'est autre que la grande organisation de personnes en France et dans le monde qui semble me vouer un amour sans faille. D'une jalousie maladive, elle ne semble pas décidée à me laisser lui faire des infidélités. Selon les cas, elle arrive donc à obtenir par la peur, la menace, l'intimidation, la corruption, la subversion, la calomnie, le discrédit ou toute autre abjection, le boycott quasi-total de ma personne. J'aurais bien essayé la technique de la photo en double, avec un chapeau en forme de triangle ou avec un œil ouvert et un autre fermé, mais je suis trop honnête pour cela.

Après cinq années à vivre dans ces conditions, je savais très bien quel allait être le déroulement de cet abonnement. J'ai malgré tout osé contredire, par détermination, par foi en l'humain, la fameuse citation d'Albert Einstein : « Il n'existe que deux choses infinies, l'univers et la bêtise humaine... mais pour l'univers, je n'ai pas de certitude absolue ». A ce blasphème, on ne m'y reprendra plus.

Vous et vos services n'y êtes strictement pour rien et les deux autres sites de rencontre sur lesquels je suis inscrit, amoureux.com et badoo.com, suivent malheureusement la même règle. Cela dit, eux, sont en partie gratuits.

Je demande donc à titre très exceptionnel, unique même j'imagine, la résiliation de mon abonnement et le remboursement des sommes au prorata de la période restant à courir jusqu'au 24 novembre 2012 pour ce CAS DE FORCE MAJEURE.

Rien ne vous empêche ensuite de vous retourner contre eux pour non-respect des Droits de l'Homme par exemple, vous aurez un poids bien supérieur au mien.

Je vous remercie de votre compréhension."

 

Semaine du 2 au 9 septembre 2012 : Semaine de la tachycardie.

Cela commence le lundi avec une sortie de quelques heures sur Toulon pour s'inscrire au RSA (...) et aller au rendez-vous (inutile) de l'organisme extérieur au Pôle-emploi chargé de m'aider pour mon projet professionnel (grum). Je vous passe les détails de la journée qui ne sont pas en rapport avec le thème principal de la tachycardie, mis à part celui du rendez-vous de l'organisme extérieur à Pôle-emploi censé m'aider dans mon projet professionnel (...). La personne chargée de m'aider reçoit un appel téléphonique, agrémenté de coups de klaxon permettant de me prévenir qu'il n'a rien d'hasardeux et que tout ou partie des informations qui vont être données pourront m'être adressées, au cours duquel elle répète qu'elle ne peut "plus revenir en arrière", "qu'il est trop tard", avec en plus un ton qui semble faire s'échapper les mots du combiné comme si nous étions trois en conférence... Rien de bien méchant, que du réchauffé mais c'est juste chiant d'être obligé de contempler la déchéance de l'intelligence humaine au service du néant. Après être rentré, je me trouve alors devant mon ordinateur tranquille après le repas, je me tape trois heures de tachycardie. Celle-ci m'avait été annoncée par le croisement en voiture d'un voisin dont ma mère m'avait dit qu'il prenait des bêtabloquants, ainsi que juste derrière une voiture blanche dont seule la couleur étant importante dans ce cas (toujours la même, blanc = je suis blanc comme neige sur ce coup-là). Ce passage coordonné n'a rien d'une coïncidence mais qui pour l'avouer ? De toute façon je m'en balance je ne risque pas de me médicamenter même au risque de souffrir le martyre, faut rester fidèle à soi-même. Panser des plaies sans cesse assénées de coups n'a jamais permis quelconque guérison. Quel intérêt d'agir sur un mal si la cause ne peut être atteinte ?

Je passe deux relatives bonnes nuits le dimanche et le lundi et, le mardi soir alors que je suis en train de jouer à un jeux-vidéo pour me vider un peu l'esprit, je reçois, pendant que je suis en train de trouver que mon rythme cardiaque était légèrement élevé par rapport à l'activité, un bon coup de rayon au cœur suivi de près par deux coups aux fesses. Le pincement a eu pour effet de bien relancer mon myocarde qui s'emballe facilement vu le niveau de destruction atteint. Cet emballement durera jusque tard dans la nuit alors qu'en ce moment j'essaie de me coucher de plus en plus tôt afin de retrouver un semblant de rythme de veille-sommeil plus proche de la normale. Mais je n'y suis visiblement toujours pas autorisé.

S'en est suivi toutes les journées et nuits en tachycardie jusqu'à ce matin où je mangeais un morceau de pastèque au lever avec un 110 battements/min... Sachant qu'à chaque fois durant ces derniers jours où je me débrouillais, toujours naturellement, pour m'en défaire un temps soit peu, je reçus très rapidement des attaques extérieures le relançant de plus belle (coups directs au cœur, privation de sommeil, coup monté pour me faire sursauter avec des chiens, des gros bruits divers ou la TV/PC etc.). Du coup, la contraction musculaire la plus récurrente cette semaine fut le mollet. Cela signifie dans leur langage et le mode ede com qu'ils ont instauré avec moi qu'ils continuent à me détruire lentement jusqu'à ce que je ne puis plus remonter la pente seul et qu'il ne me reste plus qu'à me putréfier sur place. Et inutile de vous préciser la décomposition du mot pour la traduction, je pense l'avoir déjà fait et c'est vraiment l'élément le plus difficile à saisir. "Quand l'humain ne peut changer les choses, il change les mots", je ne peux rien faire contre ça donc je le "mets sur papier", le commente, le partage.

Thème secondaire : Accident de voiture.

- Un voisin noir attend que je lève les yeux au moment de partir en voiture afin que je le voie mettre sa ceinture (noir = deuil, ceinture = attache ta ceinture, voiture blanche : tjs l'impunité totale), avec bien évidemment une absence de bonjour pour montrer qu'à ce moment précis, ce n'est pas lui (grum grum) ;
- Des voitures rouges aux carrefours ou aux endroits les plus improbables, vous en voulez ? ;
- Des personnes aux pseudos en rapport avec ce thème se manifestent bien plus que d'habitude (road...) ;
- Gros pincements aux genoux durant une nuit vu que c'est souvent les jambes qui prennent en premier dans les accidents frontaux ;