Aujourd'hui je suis, excusez-moi l'expression, dans un motherfucking-sale-état ! Hier j'étais déjà dégondé physiquement et mentalement et aujourd'hui j'en ai repris une couche. Hier soir j'ai pris un bain durant lequel j'aurais pu m'endormir mais à chaque fois que je plongeais j'étais pris de sursaut d'un de mes membres ou même de ma tête. C'est très étrange à vivre et c'est bien-sûr quelque chose que je n'avais encore jamais vécu sans harcèlement électronique sur le dos. Remarque ils m'ont peut-être sauvé la vie car au final il ne me semble pas que cela soit une très bonne idée que de s'assoupir dans une baignoire... Ça s'était de 23h à minuit, puis je suis aller me coucher. Sur deux ou trois heures j'ai eu droit à des relances très brutales cette fois-ci de mon c½ur. Cela a rarement été d'une telle intensité. Du coup au lever tachycardie, jusque là normal, mais comme les dernier matin descente d'escaliers cuisses qui tremblent. Niveau cerveau c'est aussi très mauvais. Ils ont encore dû me faire le "coup de la décharge électrique" dans la tête mais de manière moins violente. En effet dans la nuit j'ai pu ressentir des fourmillements froids toujours dans l'hémisphère gauche du cerveau. Je passe donc la journée "sans filet", à savoir que peu importe ce que je fais je l'oublie instantanément. Je pourrais m'endormir dans la seconde qui suivrait n'importe quel assoupissement mais je n'y suis pas autorisé puisque la vermine putride, qui lit en ce moment-même ce que je tape et qui me signale par un tir de rayon (léger par rapport à d'habitude) dans une de mes fesse que c'est vrai et qu'il en est fier, me visera psychotroniquement en choisissant à chaque fois le type de sensation qu'il aurait envie d'utiliser sur le moment. Visiblement mÔsieur varie les plaisirs selon les moments, ce qui par ailleurs montre bien que je ne peux pas être affecté d'un quelconque mal puisqu'il est impossible d'établir de diagnostic. Pour donner un exemple simple, pour mon souci de vision face aux écrans et à la forte luminosité j'ai pu travailler longuement à chercher comment enrayer le problème, ce qui me faisait du bien et du mal, quand les symptômes apparaissaient et au bout de combien de temps. Cependant depuis deux ans et le début de la destruction de mon sommeil, il m'a été absolument impossible par quelque moyen que ce soit de relier mes symptômes à des causes ni même de voir une quelconque amélioration par des changements d'environnement, d'habitudes de vie ou par l'adaptation de mon alimentation ou de mon activité physique. Les symptômes n'obéissent à aucune règle et surviennent au bon vouloir... d'un et surement plusieurs énormes conards, pour rester correct.
Est-ce que cet état mental dans lequel on me plonge finira par me faire perdre la tête, me faire devenir un légume, Alzheimer, Parkinson ou gâteux ? La réponse d'ici peu.
Chose importante : je ne suis pas encore assez bousillé pour que mon sommeil soit perturbé sans intervention extérieure. En effet, quand je n'ai aucun tir au rayon ou quelque sensation que ce soit, je dors toujours comme un bébé, malgré les séquelles qui elles sont bien réelles et indélébiles.
Est-ce que cet état mental dans lequel on me plonge finira par me faire perdre la tête, me faire devenir un légume, Alzheimer, Parkinson ou gâteux ? La réponse d'ici peu.
Chose importante : je ne suis pas encore assez bousillé pour que mon sommeil soit perturbé sans intervention extérieure. En effet, quand je n'ai aucun tir au rayon ou quelque sensation que ce soit, je dors toujours comme un bébé, malgré les séquelles qui elles sont bien réelles et indélébiles.