Déglingué comme jamais, 5h de sommeil tout au plus, froid/chaud ou fourmillements dans la partie gauche de mon crâne comme très régulièrement depuis des mois, une vraie larve. Le rythme que l'on me donne en ce moment est de 4 à 6h de sommeil par nuit allongée de 8 à 11h, puis, "sieste" de 2 à 4h en fin d'après-midi totalement exempte de sommeil mais indispensable car incapable de faire quoi que ce soit. Soit 10 à 15h de station coucher par jour dans un état lamentablement inexplicable médicalement.
J'ai toujours un peu mal dans l'oeil droit comme j'ai pu le décrire la semaine dernière et cela fait plusieurs jours que j'ai une douleur à l'articulation de l'index gauche.
A plusieurs moments de notre inutile relation sur ces cinq dernières années, ils m'ont mis sous les yeux la couleur rose. Sacs plastiques dans les arbres, draps étendus, parties de gouttières ou de murs repeints, personnes habillées de cette couleur, objets roses posés sur mon passage etc. Je vous passe les détails, c'est toujours la même procédure. Ils l'ont fait à chaque fois que je me suis posé des questions sur la raison pour laquelle ils n'ont pas réussi à me demander ce qu'ils voulaient de moi (si si, ne rigolez pas, ils n'ont pas réussi !). Le message était de me dire que je suis "une meuf" que j'ai eu peur en ne répondant pas aux deux premiers mails (31/08/07 et 03/09/07), en refusant de recevoir les deux gugusses (26/09/07), en faisant demi-tour lorsque j'ai vu arriver 4 personnes à la tombée de la nuit de retour d'un jogging tardif (mi décembre 2007) et que c'est donc pour cette raison que l'on n'a pas trouvé d'arrangement. On me reproche donc d'avoir eu une appréhension à les rencontrer et écouter ce qu'ils avaient à me dire ou subir ce qu'ils avaient à me faire (on ne sait jamais). Mais quand on regarde de plus près les éléments à ce moment-là, je me demande bien qui aurait pu ne pas avoir un minimum peur. En particulier je vais vous détailler un élément qui me revient et qui ne m'a pas marqué à l'époque mais que je viens d'interpréter. Les deux mails j'ai reçus provenaient de l'expéditeur au pseudo "Sebasteol Moustaki". "Moustaki" est un nom de famille et "Sebasteol" ressemble à au prénom "Sébastien" sauf que le suffixe "eol" a été inséré. Leur petite combine peut être analysée par le fait que "eol" fait penser rapidement pour la plupart d'entre nous à "éol-ien". Donc en remplaçant "eol" par "ien" on retombe sur le prénom Sébastien. Il pourrait aussi y avoir la "mal-éole" qui ferait ressortir le "mal" dont ces énergumènes sont tant investies. Au final, plus de 5 ans après, je viens de tilter sur le message qu'ils souhaitaient me faire passer à l'époque... En effet, Sébastien Moustaki, et cette information n'est un secret pour personne vous pouvez la vérifier très facilement, était un ami à moi au collège de Cuers dans le Var. Il se trouve qu'il a été assassiné par balle dans la tuerie de Cuers du début des années 90 dont tout le monde avait entendu parler à l'époque. Donc, ça n'a pas été le cas mais imaginons que j'aie tilté de la même manière que je le fais maintenant. Alors question : Que pensez-vous récolter comme réaction d'une personne que vous souhaitez rencontrer quand vous lui mettez sciemment ce genre de petite ânerie sous les yeux ? Sans compter évidemment le remous qui commence à se créer autour de vous partout où vous mettez les pieds. Pas forcément positivement non ? Et ben voilà. Comment me reprocher par la suite d'avoir fui ce qui semblait être une énorme menace ?!
Edit du 15/11/13 : Il semblerait que le prénom de mon collègue était Pascal et non Sébastien ce qui fout en l'air mon interprétation de la chose en présence, qui était pourtant tout à fait le genre d'amusement auquel s'adonnent mes bourreaux colles-aux-basques. M'enfin, sans aller aussi loin, j'ai bon pour le nom de famille ce qui a pu ne pas être un hasard. Déglingage cérébral en toute impunité contre lequel personne ne peut rien oblige, une simple confusion peut parfois mener très loin. Cependant, rien dans le reste n'est à remettre en cause a priori.
Décidément, il y a des logiques qui ne doivent l'être que dans un Univers parallèle... C'est vraiment une histoire à dormir debout. Rien de plus normal que personne n'en comprenne rien. De plus, et là on rentre dans une toute nouvelle vision de l'ensemble du problème mais tout est possible, si je n'avais JAMAIS eu le choix... Des mails en passant pour les deux hommes puis les 4 personnes, ne serait-il pas possible que tout ait été orchestré bien avant mon passage chez la dame de joie ? Quand le Mérovingien dans Matrix dit "Le choix est une illusion créée pour séparer ceux qui ont le pouvoir, de ceux qui ne l'ont pas", est-il possible que cela s'applique à mon cas dans son intégralité ?
En effet, quand on y regarde de plus près, de très nombreux éléments étranges encore non cités par le passé dans mes rédactions sont à prendre en considération. Je vais donner quelques brefs exemples et reviendrai plus exhaustivement dans les prochains jours, si mon cerveau me le permet encore.
1 - Le pseudo de l'expéditeur des deux mails de septembre 2007 : Il ne donne pas du tout envie d'appeler le numéro qui figure dans le mail, c'est même plutôt le contraire...
2 - Le passage des deux hommes en fin sep07 : Je sais à ce moment-là de qui il s'agit pour avoir un ami dans mon adolescence qui me l'avait dit (!...), et cela ne faisait pas forcément envie de les recevoir connaissant leur réputation. Alors qu'ils sont en train de trafiquer quelque chose ensemble devant la porte d'une maison deux maisons après la mienne, il me prend l'envie de regarder par la seule fenêtre qui pouvait me permettre de les voir. A ce moment-là je sais très bien qu'ils vont venir taper ici. J'ai donc eu, par le fait que je les ai "hasardeusement" vus, une réflexion de quelques minutes qui a peut-être été l'élément principal de mon refus de les faire entrer. Sans elle je serai peut-être descendu au lieu de répondre par la fenêtre et de leur ouvrir. Ai-je été contrôlé mentalement pour me mettre à cette fenêtre à ce moment précis ?
3 - Le passage des quatre personnes en mi déc07 : Le rencontre semblait bien faite, j'arrivais dans un vallon et eux aussi, au moment où nous pouvons nous voir nous sommes pratiquement à quelques mètres en haut d'une montée, difficile alors de faire demi-tour. Cependant il me prend l'envie, dans une descente jusque avant le petit vallon, de m'arrêter pour admirer le ciel qui à ce moment revêt de très belles couleurs de crépuscule. Je suis alors en hauteur et peux donc apercevoir, quelques dizaines de secondes plus tard, quatre silhouettes s'approcher lentement en marchant. Vu l'heure et la menace qui plane sur moi à ce moment d'intense harcèlement en réseau, ma décision de faire faire demi-tour et les contourner ne s'est pas fait attendre. Cependant, si je n'avais pas eu cette envie soudaine de m'arrêter à cet endroit précis (5 mètres après et 5 mètres avant je ne pouvais pas les voir) je n'aurais pas eu le temps de réfléchir et aurais été obligé de les croiser. Est-il possible alors, connaissant maintenant leur capacité technologique à influencer nos choix, à penser à certaines choses et pas d'autres, à forcer nos mouvements, que cet arrêt ait été réalisé en toute conscience par leur technologie à distance afin de provoquer chez moi cette envie de fuite qui allait encore me faire croire que j'étais le seul fautif si la rencontre n'a pas eu lieu ? (peu de temps après un "13" a été peint au sol environ 100 mètres plus haut et un "F" a été gravé dans le bitume quelques mètres plus bas, "Fail" ?)
4 -
Tous ces éléments portent à croire qu'il est possible que tout ce que l'on m'a mis sous les yeux n'ait été que pur théâtre. Mais alors quelle pourrait bien être dans ce cas la raison profonde de toute cette mascarade ? Ils m'ont dit une fois : "Il n'a rien que je ne sache pas". Légèrement prétentieux, mais ça fait partie du lot. Partant du principe que ce qu'ils affirment est vrai, je ne pourrais donc même pas être un test, une expérience. Quel intérêt s'ils savent déjà tout ? Je ne serais donc pas un sujet de test, ni même une personne avec qui l'on voulait passer un accord, donc je suis quoi ? Un amusement ? Un petit délire de puissants barons égocentriques à la Hostel, c'est-à-dire se payer du bon temps à observer 24h/24 un petit humain traqué, boycotté, persécuté et torturé ? De la TV réalité pour puissants ?
Mon avis est que tout semble avoir mené à la situation d'aujourd'hui. Je ne vois pas comment j'aurais pu réagir autrement à ce que l'on m'a mis sous les yeux. Peut-être a-t-il été décidé que je devais devenir l'unique exemple français servant à tenir le reste du troupeau tranquille par la lecture de mes aventures qui ne comportent que quelques grammes de positif. Plusieurs fois j'ai pu lire, avant d'être actif sur la toile : "Tu te défends comme une mauviette". Qu'est-ce que cela signifie ? Tout simplement qu'ils souhaitaient visiblement que je développe mon activité sur Internet, que je l'ouvre haut et fort, que j'en dise le plus possible et sans tabou, sans retenue. Cela pouvait aussi permettre de voir si en France tout était réellement sous contrôle, ils cherchaient peut-être à voir l'effet d'une telle histoire divulguée sur la population, les résistants, que sais-je ? On peut tout imaginer, nous ne sommes pas à leurs places. Mais je le redis, tout semble avoir été réalisé pour en aboutir à la situation actuelle. Quand on souhaite calmer le jeu et que l'on a autant de pouvoir on sait très bien comment faire, pas besoin de grandes théories. Une belle femme, un bon boulot et la tranquillité ne serait-ce que sur quelques temps juste de quoi leur permettre de vous tendre un piège accidentel, comme ils savent si bien le faire, pour se débarrasser de vous. Or je suis encore là. Cela sent presque l'instrumentalisation. On se servirait de moi.
Au final, je ne sais fichtre rien, et à vrai dire je ne veux plus savoir grand-chose. Qu'on me reprenne, j'ai pas choisi d'être ici.
J'ai toujours un peu mal dans l'oeil droit comme j'ai pu le décrire la semaine dernière et cela fait plusieurs jours que j'ai une douleur à l'articulation de l'index gauche.
A plusieurs moments de notre inutile relation sur ces cinq dernières années, ils m'ont mis sous les yeux la couleur rose. Sacs plastiques dans les arbres, draps étendus, parties de gouttières ou de murs repeints, personnes habillées de cette couleur, objets roses posés sur mon passage etc. Je vous passe les détails, c'est toujours la même procédure. Ils l'ont fait à chaque fois que je me suis posé des questions sur la raison pour laquelle ils n'ont pas réussi à me demander ce qu'ils voulaient de moi (si si, ne rigolez pas, ils n'ont pas réussi !). Le message était de me dire que je suis "une meuf" que j'ai eu peur en ne répondant pas aux deux premiers mails (31/08/07 et 03/09/07), en refusant de recevoir les deux gugusses (26/09/07), en faisant demi-tour lorsque j'ai vu arriver 4 personnes à la tombée de la nuit de retour d'un jogging tardif (mi décembre 2007) et que c'est donc pour cette raison que l'on n'a pas trouvé d'arrangement. On me reproche donc d'avoir eu une appréhension à les rencontrer et écouter ce qu'ils avaient à me dire ou subir ce qu'ils avaient à me faire (on ne sait jamais). Mais quand on regarde de plus près les éléments à ce moment-là, je me demande bien qui aurait pu ne pas avoir un minimum peur. En particulier je vais vous détailler un élément qui me revient et qui ne m'a pas marqué à l'époque mais que je viens d'interpréter. Les deux mails j'ai reçus provenaient de l'expéditeur au pseudo "Sebasteol Moustaki". "Moustaki" est un nom de famille et "Sebasteol" ressemble à au prénom "Sébastien" sauf que le suffixe "eol" a été inséré. Leur petite combine peut être analysée par le fait que "eol" fait penser rapidement pour la plupart d'entre nous à "éol-ien". Donc en remplaçant "eol" par "ien" on retombe sur le prénom Sébastien. Il pourrait aussi y avoir la "mal-éole" qui ferait ressortir le "mal" dont ces énergumènes sont tant investies. Au final, plus de 5 ans après, je viens de tilter sur le message qu'ils souhaitaient me faire passer à l'époque... En effet, Sébastien Moustaki, et cette information n'est un secret pour personne vous pouvez la vérifier très facilement, était un ami à moi au collège de Cuers dans le Var. Il se trouve qu'il a été assassiné par balle dans la tuerie de Cuers du début des années 90 dont tout le monde avait entendu parler à l'époque. Donc, ça n'a pas été le cas mais imaginons que j'aie tilté de la même manière que je le fais maintenant. Alors question : Que pensez-vous récolter comme réaction d'une personne que vous souhaitez rencontrer quand vous lui mettez sciemment ce genre de petite ânerie sous les yeux ? Sans compter évidemment le remous qui commence à se créer autour de vous partout où vous mettez les pieds. Pas forcément positivement non ? Et ben voilà. Comment me reprocher par la suite d'avoir fui ce qui semblait être une énorme menace ?!
Edit du 15/11/13 : Il semblerait que le prénom de mon collègue était Pascal et non Sébastien ce qui fout en l'air mon interprétation de la chose en présence, qui était pourtant tout à fait le genre d'amusement auquel s'adonnent mes bourreaux colles-aux-basques. M'enfin, sans aller aussi loin, j'ai bon pour le nom de famille ce qui a pu ne pas être un hasard. Déglingage cérébral en toute impunité contre lequel personne ne peut rien oblige, une simple confusion peut parfois mener très loin. Cependant, rien dans le reste n'est à remettre en cause a priori.
Décidément, il y a des logiques qui ne doivent l'être que dans un Univers parallèle... C'est vraiment une histoire à dormir debout. Rien de plus normal que personne n'en comprenne rien. De plus, et là on rentre dans une toute nouvelle vision de l'ensemble du problème mais tout est possible, si je n'avais JAMAIS eu le choix... Des mails en passant pour les deux hommes puis les 4 personnes, ne serait-il pas possible que tout ait été orchestré bien avant mon passage chez la dame de joie ? Quand le Mérovingien dans Matrix dit "Le choix est une illusion créée pour séparer ceux qui ont le pouvoir, de ceux qui ne l'ont pas", est-il possible que cela s'applique à mon cas dans son intégralité ?
En effet, quand on y regarde de plus près, de très nombreux éléments étranges encore non cités par le passé dans mes rédactions sont à prendre en considération. Je vais donner quelques brefs exemples et reviendrai plus exhaustivement dans les prochains jours, si mon cerveau me le permet encore.
1 - Le pseudo de l'expéditeur des deux mails de septembre 2007 : Il ne donne pas du tout envie d'appeler le numéro qui figure dans le mail, c'est même plutôt le contraire...
2 - Le passage des deux hommes en fin sep07 : Je sais à ce moment-là de qui il s'agit pour avoir un ami dans mon adolescence qui me l'avait dit (!...), et cela ne faisait pas forcément envie de les recevoir connaissant leur réputation. Alors qu'ils sont en train de trafiquer quelque chose ensemble devant la porte d'une maison deux maisons après la mienne, il me prend l'envie de regarder par la seule fenêtre qui pouvait me permettre de les voir. A ce moment-là je sais très bien qu'ils vont venir taper ici. J'ai donc eu, par le fait que je les ai "hasardeusement" vus, une réflexion de quelques minutes qui a peut-être été l'élément principal de mon refus de les faire entrer. Sans elle je serai peut-être descendu au lieu de répondre par la fenêtre et de leur ouvrir. Ai-je été contrôlé mentalement pour me mettre à cette fenêtre à ce moment précis ?
3 - Le passage des quatre personnes en mi déc07 : Le rencontre semblait bien faite, j'arrivais dans un vallon et eux aussi, au moment où nous pouvons nous voir nous sommes pratiquement à quelques mètres en haut d'une montée, difficile alors de faire demi-tour. Cependant il me prend l'envie, dans une descente jusque avant le petit vallon, de m'arrêter pour admirer le ciel qui à ce moment revêt de très belles couleurs de crépuscule. Je suis alors en hauteur et peux donc apercevoir, quelques dizaines de secondes plus tard, quatre silhouettes s'approcher lentement en marchant. Vu l'heure et la menace qui plane sur moi à ce moment d'intense harcèlement en réseau, ma décision de faire faire demi-tour et les contourner ne s'est pas fait attendre. Cependant, si je n'avais pas eu cette envie soudaine de m'arrêter à cet endroit précis (5 mètres après et 5 mètres avant je ne pouvais pas les voir) je n'aurais pas eu le temps de réfléchir et aurais été obligé de les croiser. Est-il possible alors, connaissant maintenant leur capacité technologique à influencer nos choix, à penser à certaines choses et pas d'autres, à forcer nos mouvements, que cet arrêt ait été réalisé en toute conscience par leur technologie à distance afin de provoquer chez moi cette envie de fuite qui allait encore me faire croire que j'étais le seul fautif si la rencontre n'a pas eu lieu ? (peu de temps après un "13" a été peint au sol environ 100 mètres plus haut et un "F" a été gravé dans le bitume quelques mètres plus bas, "Fail" ?)
4 -
Tous ces éléments portent à croire qu'il est possible que tout ce que l'on m'a mis sous les yeux n'ait été que pur théâtre. Mais alors quelle pourrait bien être dans ce cas la raison profonde de toute cette mascarade ? Ils m'ont dit une fois : "Il n'a rien que je ne sache pas". Légèrement prétentieux, mais ça fait partie du lot. Partant du principe que ce qu'ils affirment est vrai, je ne pourrais donc même pas être un test, une expérience. Quel intérêt s'ils savent déjà tout ? Je ne serais donc pas un sujet de test, ni même une personne avec qui l'on voulait passer un accord, donc je suis quoi ? Un amusement ? Un petit délire de puissants barons égocentriques à la Hostel, c'est-à-dire se payer du bon temps à observer 24h/24 un petit humain traqué, boycotté, persécuté et torturé ? De la TV réalité pour puissants ?
Mon avis est que tout semble avoir mené à la situation d'aujourd'hui. Je ne vois pas comment j'aurais pu réagir autrement à ce que l'on m'a mis sous les yeux. Peut-être a-t-il été décidé que je devais devenir l'unique exemple français servant à tenir le reste du troupeau tranquille par la lecture de mes aventures qui ne comportent que quelques grammes de positif. Plusieurs fois j'ai pu lire, avant d'être actif sur la toile : "Tu te défends comme une mauviette". Qu'est-ce que cela signifie ? Tout simplement qu'ils souhaitaient visiblement que je développe mon activité sur Internet, que je l'ouvre haut et fort, que j'en dise le plus possible et sans tabou, sans retenue. Cela pouvait aussi permettre de voir si en France tout était réellement sous contrôle, ils cherchaient peut-être à voir l'effet d'une telle histoire divulguée sur la population, les résistants, que sais-je ? On peut tout imaginer, nous ne sommes pas à leurs places. Mais je le redis, tout semble avoir été réalisé pour en aboutir à la situation actuelle. Quand on souhaite calmer le jeu et que l'on a autant de pouvoir on sait très bien comment faire, pas besoin de grandes théories. Une belle femme, un bon boulot et la tranquillité ne serait-ce que sur quelques temps juste de quoi leur permettre de vous tendre un piège accidentel, comme ils savent si bien le faire, pour se débarrasser de vous. Or je suis encore là. Cela sent presque l'instrumentalisation. On se servirait de moi.
Au final, je ne sais fichtre rien, et à vrai dire je ne veux plus savoir grand-chose. Qu'on me reprenne, j'ai pas choisi d'être ici.