Que dire ? Une des semaines où j'ai été le plus mal de ma vie ? Oui, certainement.
En moyenne 14 à 16h allongé pour seulement quelques heures de sommeil accordées quand je me mange pas des rêves contrôlés. Une mémoire quasi inexistante plus des mots simples que je n'arrive plus à retrouver, une pression énorme au thorax avec impossibilité de faire quoi que ce soit de physique. Là je tape ces quelques lignes sans savoir d'où me vient l'énergie pour tenir assis. Hier soir il m'a pris un terrible mal de tête qui ne m'a pas quitté de la nuit (et en même temps que j'écris un abruti fini vous dit avec un tir de rayon dans la tête "C'est à vie, c'est à vie, c'est à vie", pfiouuuuu... Sacré métier). J'en avais déjà eu des similaires mais pas aussi longtemps. Le mental n'est donc pas en reste, la destruction est totale, qu'est-ce cela devient dur de réfléchir...
Je vous fais grâce de toutes les âneries persécutoires de l'environnement qui sont toujours les mêmes, que je sorte ou pas, que j'y fasse attention ou pas, elles sont là.
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Au final j'ai été une cible de manière incrémentale :
- Cela a commencé par des dommages collatéraux car j'étais juste le fils de mon père, un jeune libre ;
- Puis ça a empiré quand j'ai démarré mes études pas trop mal ;
- Puis ça a empiré quand mon père est décédé et que j'ai hérité ;
- Puis ça a empiré quand la conséquence de toutes les frappes m'ont conduit à sortir des sentiers battus ;
- Puis ça a empiré quand je n'ai pas accepté les faux cadeaux que l'on me faisait pour que je la ferme et meure en silence.
En moyenne 14 à 16h allongé pour seulement quelques heures de sommeil accordées quand je me mange pas des rêves contrôlés. Une mémoire quasi inexistante plus des mots simples que je n'arrive plus à retrouver, une pression énorme au thorax avec impossibilité de faire quoi que ce soit de physique. Là je tape ces quelques lignes sans savoir d'où me vient l'énergie pour tenir assis. Hier soir il m'a pris un terrible mal de tête qui ne m'a pas quitté de la nuit (et en même temps que j'écris un abruti fini vous dit avec un tir de rayon dans la tête "C'est à vie, c'est à vie, c'est à vie", pfiouuuuu... Sacré métier). J'en avais déjà eu des similaires mais pas aussi longtemps. Le mental n'est donc pas en reste, la destruction est totale, qu'est-ce cela devient dur de réfléchir...
Je vous fais grâce de toutes les âneries persécutoires de l'environnement qui sont toujours les mêmes, que je sorte ou pas, que j'y fasse attention ou pas, elles sont là.
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Au final j'ai été une cible de manière incrémentale :
- Cela a commencé par des dommages collatéraux car j'étais juste le fils de mon père, un jeune libre ;
- Puis ça a empiré quand j'ai démarré mes études pas trop mal ;
- Puis ça a empiré quand mon père est décédé et que j'ai hérité ;
- Puis ça a empiré quand la conséquence de toutes les frappes m'ont conduit à sortir des sentiers battus ;
- Puis ça a empiré quand je n'ai pas accepté les faux cadeaux que l'on me faisait pour que je la ferme et meure en silence.