Hier, dans les premières heures après le lever, j'ai lentement eu mes esprits qui se sont mis à partir. Déconnexion totale du monde dans lequel on vit. Transformation en zombie toujours sans aucune autre raison que la technologie psychotronique. Vers la fin de l'après-midi, je ressens comme un "relâchement" en moi et un fourmillement dans la partie gauche du crâne. Je semble alors retrouver mes esprits. Mais mon cerveau commence à avoir très mal, chaque coup n'est jamais anodin, ça n'évolue pas dans le bon sens forcément. Au moment où je me rends compte de ce qui ressemble à l'arrêt des ondes qui maintenaient ma tête dans le coton jusqu'à lors, une microcontracture à la fesse droite se met à s'exciter sans arrêt comme un : "Oui, c'est bien à cause de nous si ta tête était dans cet état et rien d'autre". Non ! Sans blague ! Ducon.
Ce matin au lever, encore plus de fatigue. Un coeur qui tape à 110 au lever et qui semble avoir tapé de cette manière pendant la majorité de la nuit, ça n'a rien de normal. Quand je m'en rends compte et que j'essaie de me calmer, par la respiration ou la méditation par exemple, impossible, le con fini de démon maudit me pince le coeur et tire dans le reste des parties de mon corps. Aucun moyen de se calmer, c'est la moisissure et l'ultra-fatigue assurée. Pourtant ces derniers jours j'ai tenté hasardeusement une introspection que je n'avais encore jamais réalisée. J'ai pensé à mon coeur et le prenais dans mes mains comme si je souhaitais le calmer, l'apaiser, le ralentir. Ça a marché du tonnerre ! C'est hallucinant, moi qui ne croyais en rien à tout ce qui touchait à la méditation de près ou de loin. J'ai quasiment tout de suite déconnecté pour me sentir plonger dans un profond sommeil... duquel je serai très vite rattrapé par la flaque de chiasse que je traine partout, toujours grâce à l'une de sensations inévitables de leurs technologies maudites. Donc, aujourd'hui vous imaginez bien qu'avec un coeur à 110 au lever, à 120-130 après le petit-déjeuner, 140-150 en faisant la vaisselle et m'occupant des plantes du jardin alors que cela ne fait que quelques heures que je suis levé, je vais pas pouvoir faire grand chose physiquement. Hard comme situation, d'autant plus quand on sait que cela nous est infligé et que l'on nous matraque toute la journée de messages plus nauséabonds les uns que les autres en guise de persécution. Tenez, au moment où j'écris ces quelques lignes, de nombreux klaxons retentissent sans raison apparente et vraiment en insistant bien (vous devriez voir l'endroit où j'habite, les occasions de l'utiliser et donc d'en entendre sont des plus rares, pourtant c'est un vrai concerto). Très souvent cela annonce que quelque chose va se passer. Et bien dans la foulée j'entends des craquements de croquettes dans la cuisine... Mon chat arrive pour manger. Je vous dresse le tableau ? Chat mange => Chat noir, mange => Pas de chance, mange. C'est ça la persécution. Vous êtes dans une cage (depuis toujours mais vous ne vous en rendiez pas compte), on vous frappe sans que vous puissiez éviter les coups (depuis toujours mais vous ne vous en rendiez pas compte) et on se moque de vous, remue le couteau dans la plaie, vous nargue (depuis toujours mais vous ne vous en rendiez pas compte).
Donc voilà la situation. Inutile donc de me conseiller la méditation, la lecture de livres, le visionnage de vidéos, la balade dans la nature etc. On en est à un autre niveau non ?
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Hier j'ai eu un appel d'un ami qui souhaiterait que je lui répare son PC. Nous nous sommes mis d'accord pour qu'il me l'amène aujourd'hui. Et du coup, comme le plus grand des Saints hasards de cette superbe société dans laquelle on est forcés de vivre, je reçois au lever un texto de la part du Pôle-Emploi me rappelant qu'il y a une journée à Marseille (13, vous en doutiez encore ?!) concernant les métiers de l'informatique.
Ce matin au lever, encore plus de fatigue. Un coeur qui tape à 110 au lever et qui semble avoir tapé de cette manière pendant la majorité de la nuit, ça n'a rien de normal. Quand je m'en rends compte et que j'essaie de me calmer, par la respiration ou la méditation par exemple, impossible, le con fini de démon maudit me pince le coeur et tire dans le reste des parties de mon corps. Aucun moyen de se calmer, c'est la moisissure et l'ultra-fatigue assurée. Pourtant ces derniers jours j'ai tenté hasardeusement une introspection que je n'avais encore jamais réalisée. J'ai pensé à mon coeur et le prenais dans mes mains comme si je souhaitais le calmer, l'apaiser, le ralentir. Ça a marché du tonnerre ! C'est hallucinant, moi qui ne croyais en rien à tout ce qui touchait à la méditation de près ou de loin. J'ai quasiment tout de suite déconnecté pour me sentir plonger dans un profond sommeil... duquel je serai très vite rattrapé par la flaque de chiasse que je traine partout, toujours grâce à l'une de sensations inévitables de leurs technologies maudites. Donc, aujourd'hui vous imaginez bien qu'avec un coeur à 110 au lever, à 120-130 après le petit-déjeuner, 140-150 en faisant la vaisselle et m'occupant des plantes du jardin alors que cela ne fait que quelques heures que je suis levé, je vais pas pouvoir faire grand chose physiquement. Hard comme situation, d'autant plus quand on sait que cela nous est infligé et que l'on nous matraque toute la journée de messages plus nauséabonds les uns que les autres en guise de persécution. Tenez, au moment où j'écris ces quelques lignes, de nombreux klaxons retentissent sans raison apparente et vraiment en insistant bien (vous devriez voir l'endroit où j'habite, les occasions de l'utiliser et donc d'en entendre sont des plus rares, pourtant c'est un vrai concerto). Très souvent cela annonce que quelque chose va se passer. Et bien dans la foulée j'entends des craquements de croquettes dans la cuisine... Mon chat arrive pour manger. Je vous dresse le tableau ? Chat mange => Chat noir, mange => Pas de chance, mange. C'est ça la persécution. Vous êtes dans une cage (depuis toujours mais vous ne vous en rendiez pas compte), on vous frappe sans que vous puissiez éviter les coups (depuis toujours mais vous ne vous en rendiez pas compte) et on se moque de vous, remue le couteau dans la plaie, vous nargue (depuis toujours mais vous ne vous en rendiez pas compte).
Donc voilà la situation. Inutile donc de me conseiller la méditation, la lecture de livres, le visionnage de vidéos, la balade dans la nature etc. On en est à un autre niveau non ?
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Hier j'ai eu un appel d'un ami qui souhaiterait que je lui répare son PC. Nous nous sommes mis d'accord pour qu'il me l'amène aujourd'hui. Et du coup, comme le plus grand des Saints hasards de cette superbe société dans laquelle on est forcés de vivre, je reçois au lever un texto de la part du Pôle-Emploi me rappelant qu'il y a une journée à Marseille (13, vous en doutiez encore ?!) concernant les métiers de l'informatique.