Bruleparlesillumines

Quasiment incapable de faire quoi que ce soit.

Plus de 12 heures allongé et le lever se fait sans aucune force. Zéro, niet, nib, nada, quedal, rien, nothing. Par exemple mes bras semblent avoir travaillé pendant des heures et des heures de muscu. Il est à peine possible de les lever. Impossible que cela se limite au physique, faut pas rêver, la sensation de chaleur/fourmillement dans la partie gauche du crâne est toujours présente et de plus en plus gênante. Par ailleurs je me mouille la tête avec de l'eau froide plusieurs fois par jour. J'ai vraiment l'impression d'être un poisson rouge qui fait « cot cot ». Une asthénie énorme qui est évidemment signée et signalée par ceux qui en sont à l'origine. Par exemple sur Facebook, le premier commentaire visible sur un de mes statuts à ma connexion est celui-ci : "Elle est faible". "Elle", c'est pour taper juste à côté comme ils aiment si bien le faire. Peut-être une protection pour limiter les preuves. Mais éviter les preuves pour qui ? Ce sont les rois monde ! Au-dessus c'est l'soleil ! Aaaaaaaaaaaaaaaah. Faut vraiment s'ennuyer.

Et pendant que rédige cela des pincements longs et crescendo au coeur ou autour me sont INFLIGES. Elles sont ressenties sous le pectoral gauche, un peu n'importe où entre le sternum et les cotes. Et pendant ce temps-là aussi les confirmations des gros cons lisant ceci en direct vont bon train, avec le pincement que je suis en train de décrire réalisé suite à des micro-contractures aux fesses... On en finit jamais de la connerie humaine inutile.

Il faut imaginer un lever dans un état de santé physique et mentale tel je viens de vous décrire très rapidement, avec ceci en plus :
- Le voisin de ma chambre qui traine une chaise dans tous les sens. Aucune chance pour que cela ressemble à une quelconque activité d'un vieux de 80 ans dont je connais la plupart des bruits habituels => Persécution 1 ;
- Je vais aux toilettes qui se situent à l'opposé dans la maison du côté d'un autre voisin : Les deux enfants se mettent à courir et sauter dans tous les sens pendant que j'urine et cela s'arrêtera quand j'en sortirai => Persécution 2 ;
- Je sors dans mon jardin pour déjeuner, l'un des parents des jeunes ouvre alors la baie vitrée et appelle par deux fois un autre voisin qui s'appelle Antoine. Dans la conversation le prénom sera répété pour finir par un fort "Merci Antoine !". Le mot sur lequel il faut percuter, en fonction du thème du moment que vous connaissez déjà certainement, la débilité ou la bêtise (qui n'égalera jamais la leur), est à la fin : "oine" ou "âne". Le début n'a que peu d'importance. => Persécution 3
- Jute après des klaxons de voiture le cri d'un âne, un vrai, l'animal, se fait entendre à quelques centaines de mètres de chez moi. Faut vraiment le vivre => Persécution 4 ;
- Je rentre alors dans la maison et une dizaine d'avions attaquent à passer pile au-dessus moteurs à fond => Persécution 5
- Je ferme alors les fenêtres et c'est parti pour un concerto de craquements et claquements en tout genre dans la maison (comme à l'accoutumée à des moments bien précis d'actions, paroles ou pensées en guise de messages persécutoires mais je n'y comprends presque plus rien... ouf !) et toujours proche de moi où que je m'y trouve => Persécution 6
- Tout le long avec les pincements au coeur que j'ai décrits évidemment entre autres sensations sur tout mon corps mais beaucoup moins intenses que ce que j'ai pu vivre.

Voilà juste pour les 30 premières minutes de votre courte journée. Les deux composantes du harcèlement par le pouvoir : Torture et persécution. La troisième, le boycott, n'étant plus d'actualité puisque mon état ne me permet plus d'aller ou de faire quoi que ce soit. Donc même en présence de propositions d'emploi, amicales, sportives, amoureuses ou autres, je serais incapable de les honorer.

Pour ce qui est du thème actuel très récurrent de la bêtise, du fait qu'ils me feraient un cerveau de poule, tout ce qui peut y passer y passe :

- Un âne est présent autour de chez moi et fait entendre son cri ;

- Les prénoms comportant le son « âne » (Anne, Antoine pour ce qui est de mon voisinage, et plein d'autres), « bête », « con », « cave » retentissent partout ;

- Les mots qui contiennent ces deux sons sont aussi signalés par des klaxons par exemple après leur prononciation, y avoir pensé ou les avoir écrits ;

- Les poissons rouges, quand ils arrivent sous mes yeux ou me passent pas la tête, sont aussi signalés ;

- Les pubs sur les sites sur lesquels je vais y font référence, les messages que je reçois contiennent des éléments m'y faisant penser ;

- Etc. etc. etc. Vous avez dû largement commencer à comprendre le principe.

C'est en fait tout le champ lexical de la bêtise qui y passe et sur lequel ils appuient pour me persécuter en me rappelant sans cesse qu'ils font de moi un débile et que je ferais mieux d'aller me jeter.

Je vais rapidement vous synthétiser les faits marquants de ces quatre derniers jours, marqués par une fatigue extrême encore jamais connue qui fait que je n'ai rien rédigé (dernièrement ils m'ont fait passer le message « Bientôt plus capable de rien faire ») :

Mercredi : Une nuit quasi blanche. J'ai eu droit toute la nuit au bourdonnement très fort. Je dis « quasi » car j'ai dû avoir de longs moments d'inconscience mais ce ne fut jamais reposant. Au lever, j'ai quatre messages sur mon portable :
- Les deux premiers sont exactement les mêmes (en double) et concernent la demande du récepteur satellite que je viens tout juste de vendre. On me demande si je l'ai toujours ;
- Le suivant est un appel sur le répondeur sans laisser de message. Cela me dit donc que j'ai un message du 666, le répondeur de FREE ;
- Le dernier est très étrange et sans rapport avec la choucroute : « bonh ».
Tradoucssione s'il vous please ! Bien-sûr, avec plaisir : Ils souhaitent que j'arrache les deux dents qui pourraient contenir des micro puces qui feraient que je capte ce bourdonnement m'empêchant de me reposer. C'est aussi un thème récurrent depuis longtemps et il est revenu ces derniers temps. Les deux premiers messages sont en double, donc c'est un signe venant d'eux : « Vous avez encore le récepteur satellite ? (dans vos dents) ». Le suivant met en avant le 666. Le dernier est à traduire mais là ce sont des années et des années, des milliers de messages échangés qui me permettent de vous donner la signification : bonh => bon – h => Bon, alors haine (qui est le mot employé pour désigner l'ensemble des attaques dont je fais l'objet).
=> « Vous avez encore le récepteur satellite dans vos dents ! Bon alors la haine continue, on vous détruit. »
Je n'ai pas répondu et l'acheteur potentiel s'est évidemment évanoui dans la nature. Je m'étale sur ces conneries mais je ne devrais pas, il y en a trop et c'est toujours pareil. Cela rajoute juste de la quantité et de la matière permettant à ceux qui croient que j'invente le tout de douter encore un peu plus.

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Quand je décidais d'intégrer un club de sport et que je ne m'entendais pas bien avec les membres, j'allais voir ailleurs.
Quand j'allais faire un tour de vélo et que dans un coin je ne semblais pas être le bienvenu, et bien je n'y retournais plus.
Quand je vais faire mes courses dans un magasin et que ma gueule ne revient pas au personnel, je m'approvisionne ailleurs.
Mais quand on est sur terre, on n'a pas choisi d'y être. Et quand on est très clairement une persona non grata dans le monde entier, il nous reste quoi comme choix ? Non seulement on n'a pas choisi de naître mais en plus on ne peut pas choisir d'aller ailleurs si nous ne convenons pas (entre parenthèse à ceux qui s'autoproclament rois du monde pour une raison tellement absurde qu'elle n'est même pas divulguée).
J'ai définitivement et en tout lieu la merde, la vraie, collée à mon derrière.

 
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Je perds mes esprits et ma respiration, pression au thorax, impossible de se concentrer sur quoi que ce soit, les sales gros rats pourris cramoisis les plus immondes que la terre ait jamais inventés me pincent dans tout le corps, surtout au coeur, et n'arrêtent pas de faire craquer les objets autour de moi à des moments précis me faisant perdre mes mots, mes idées etc. Je vais m'allonger.

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Je reviens deux heures après environ et évidemment aucun sommeil d'accordé : gros pincements au coeur, sursauts de membres, microcontractures de certains muscles, légères sensations de chute etc. à n'en plus pouvoir jusqu'à la tachycardie où là le tout se calme car bien-sûr je ne suis plus en mesure de m'endormir donc ils sont tranquille, sauf quand je change de position où là je suis TOUJOURS accueilli par certaines de ces sensations créées de toute pièce. État déplorable donc, une tête qui fume comme c'est possible, reste à prendre un semblant de repas et à se recoucher pour crever encore un peu plus, mais de toute façon qu'on ne me donne rien d'autre car je ne veux rien d'autre.

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Ils me reprochent soi-disant d'avoir prononcé des mots qui ne leur auraient pas plu. Et je ne regrette évidemment rien du tout, c'est pas nouveau, d'autant plus que la plupart du temps c'était seul sur un PC déconnecté totalement d'Internet, sur une feuille seul dans ma chambre ou par téléphone avec un seul et unique ami le tout dans mes moments de harcèlement en réseau/6an6 stalkin6 très intense. Je vais vous démontrer par un petit syllogisme que l'une de ces idées qui n'est pas qu'ils me reprochent coule de source :
- Le harcèlement en réseau ou 6an6 salkin6, c'est de la merde. Clairement, même si 75% des personnes autour de moi sont conscientes des bêtises qu'elles réalisent, je pense qu'on s'accorderaient tous sur ce fait si les collabo n'étaient pas forcés de l'être pour sauvegarder leurs situations, famille, argent, profession, amis, femme, enfants etc.
- Ce harcèlement en réseau ou 6an6 stalkin6, je l'ai sur le cul. Je ne vois pas comment contredire ce fait indéniable dont le restant de mes jours prouvera encore et encore la véracité. De plus, Dieu sait que j'ai parcourus des km et que peu importe où je me suis posé sur cette terre c'était toujours sur moi.
- Conclusion ? 6an6 stalkin6 = MERDE et 6an6 stalkin6 = sur mon CUL => J'ai la merde au cul.
Phrase prononcée à un collègue par téléphone après 5 mois de traque internationale et de tout ce que vous avez pu lire comme inutilités.

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Mon passage chez la dame de joie, dont on a essayé de me faire croire que c'était la seule et unique raison de tout ce que vous avez pu apprendre sur la période mi 2007 à aujourd'hui, a de très grande chances, au vu des signes laissés, d'avoir été non seulement un dérapage recherché mais très certainement un contrôle mental dont je fus victime. Oui, je sais, avec une explication comme celle-ci on pourrait justifier n'importe lequel des déboires de notre vie. Mais je ne suis pas en train d'essayer de me dédouaner de mes erreurs, je cherche simplement la Vérité et sur cet évènement, tombant à point nommé cela ne fait aucun doute, il y a beaucoup d'éléments à soulever. Je ne vais pas tous les étaler maintenant, mais j'ai beaucoup d'entre eux notés de côté afin de les analyser et d'en faire un développement que je posterai ici et qui sera central, charnière même, dans le livre qui n'aboutira jamais. L'élément que je veux avancer ici concerne la date. En effet, j'étais persuadé que l'évènement s'était déroulé le 05/07/07, mais, après vérification sur mon agenda de l'époque, il s'agit du 06/07/07. Et là, ce n'est plus la même histoire. Car, quand on retourne la date, on trouve le fameux 776 de la date d'indépendance des États-Unis très souvent utilisée par le pouvoir mondial pour signer ses oeuvres ignobles. Par ailleurs, dans le morceau de Rockin' Squat, Le Pouvoir Secret, l'on peut entendre vers la fin "c'est comme sur la nouvelle tour du World Trade Center, son projet a mis 776 pieds de hauteur",  ou encore dans Illuminazi 666 dès le début "comme sur le billet d'un dollar un 7-7-6". De plus, ce n'est pas la première fois que je suis marqué de cette manière par le diable, soyons clair il n'y a RIEN  mais alors rien de chez rien de positif, le numéro du seul et unique compte courant de ma vie à la Caisse d'Épargne que j'ai toujours eu finit par 776 (la preuve par le RIB s'il le faut pour quelqu'un). Donc, si cette date a été réellement choisie comme date du jour où je devais réaliser une action leur permettant de me mettre la main dessus, c'est du contrôle mental sans aucun doute. Je ne m'en suis pas du tout rendu compte mais j'ai très certainement été guidé, téléguidé, manipulé, conditionné à finir par sortir des sentiers battus.
A partir de là c'est terrible tout ce qui en découle. Car, comme dans mes réflexions précédentes, s'ils ont réussi à obtenir de moi cet écart, pourquoi n'ont-ils pas réussi à obtenir de moi que je les accepte chez moi, que je continue ma route droit pour les rencontrer ou que je réalise tout acte leur permettant d'obtenir de moi ce qu'ils souhaitaient ? Peut-être n'est-ce qu'un jeu pour eux. Peut-être que les choses n'auraient pas pu s'arranger tout simplement car cela avait été prévu comme tel. Peut-être ai-je été choisi pour subir tout ça. Peut-être suis un pantin avec lequel les puissants ont décidé de s'amuser comme dans le film Hostel où des gens où des personnes sont choisies au hasard pour subir de nombreux sévices afin de faire "jouir" des enfoirés de riches. Ou peut-être suis-je un test, une expérience grandeur nature sur la durée d'une vie humaine.
Qui sait la vérité ? Qui sait vraiment ce qu'il se trame là-dessous ? Personne ne peut être strictement affirmatif là-dessus à part les principaux intéressés.

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La décrépitude à l'état pur qui sans cesse grignote l'ennemi numéro 1 du pouvoir mondial. C'est peu dire, car les moyens sont là.

Hier j'ai passé toute la journée avec une petite partie du muscle de la fesse droite qui s'excitait sans arrêt, plus ou moins fort selon les fois, sans qu'aucun mouvement, étirement ou toute autre action n'en vienne à bout. Normal, c'est technologique. J'ai eu droit à une petite pause entre 3h et 6h du mat, le temps d'une nuit de sommeil en règle. Puis c'est reparti, après avoir été réveillé par le fort bourdonnement qui s'est calmé avec la reprise de la contracture. Le plus souvent ce genre de désagrément m'arrivait avant autour des yeux, de temps à autre, mais seulement quelques minutes. En outre des mouvements musculaires des paupières et des autres muscles autour de l'oeil permettait sa disparition. Mais là clairement l'équivalent en non-stop sur toute la journée du message "on te la met bien profond" que je décris si souvent. A l'heure où je vous parle elle est encore présente. Je l'ai par ailleurs filmée. Mais vu que c'est sur la fesse on verra si je posterai ou pas même si cela ne me gêne pas plus que ça. C'est plus pour éviter les commentaires des mauvaises langues et Dieu sait qu'elles sont largement plus nombreuses que les bonnes.

Je passe donc par la suite 8h de coma dans mon lit avec un détraqué mental qui obéit aux ordres de me détruire en échange d'un bon salaire et de tous les éléments qui composent sa vie de rat. Faut aussi l'imaginer vous infligeant des gros pincements au coeur quand, dans cet état de mort-vivant, vous pensez à ce sale état dans lequel ils vous mettent sciemment. Quand je sors pour prendre le petit déjeuner dans le jardin, un voisin dit fort "Et voilà, là on peut plus rien faire !". Et en effet, quand on met 8h après son réveil à sortir de son lit et qu'on descend les escaliers en tremblant, essoufflé, vision trouble, sans mémoire, pression au thorax qui plie en deux, les activités risquent d'être limitées. Hier soir je suis sorti marcher et au bout de deux km une extrême fatigue m'a forcé à rentrer. Je vais finir par devoir faire mon exercice physique autour de ma table de salle à manger au cas où je devais tomber de fatigue après quelques centaines de mètres, mon lit ne serait pas trop loin. Ca m'éviterait d'avoir à pourrir toute une nuit dans la campagne car je n'ai jamais le portable sur moi...

Hier levé 14h, recouché de 17h à 21h sans autorisation de trouver le moindre sommeil, rerecouché à 1h30 pour un lever à... 14h ! Avec quelques heures de sommeil je suppose, entrecoupées de multiples conneries humaines toutes plus pourries les unes que les autres.

Niveau cerveau ça commence à faire mal. J'ai de nombreux moments dans la journée depuis plusieurs jours où je semble perdre mes esprits et mon équilibre en même temps. Mais que faire ? Continuer à se faire entuber gentiment en évitant les activités à risque. J'espère que la première déco sauvage sera la dernière, si vous voyez ce que je veux dire...

Je fais deux courses aux magasins à deux km de chez moi (je ne précise pas toutes les saloperies humaines que l'on m'a inutilement fait passer, puisque ça n'a d'intérêt que pour leurs auteurs et puis je ne m'en sens pas capable) et j'ai à peine le temps de ranger mes courses que je suis à plat complet, les bras ne tiennent que le long de mon corps, impossible de les lever. Je vais donc M'ALLONGER de 19h30 à 22h30 sans qu'on me lâche dix minutes avec leurs conneries de technologie et de sensations sur mon corps pour me relever encore plus mal. Juste de quoi manger un morceau, surfer quelques heures et m'écraser à nouveau dans mon lit à 3h30 pour me faire allumer jusqu'à 5h environ. Le "lendemain", après avoir passé semble-t-il un long moment réveillé à me refaire attaquer, j'allume et constate qu'il est... 9h30... Coma jusqu'à 13h tout en me faisant taper dessus.

Là il est 15h tout juste, je viens de finir la dernière partie des joints de la rampe d'escaliers chez moi, je n'ai même pas encore mangé et je ne sais même pas si je vais réussir à tenir debout jusqu'à la fin du repas.

Peut-être le pire état dans lequel j'ai pu me trouver ces deux dernières années et demi en tant que barquette micro-ondable à domicile et partout ailleurs.

Hier, après être resté allongé de 18h à 21h, je me suis levé pour marcher un peu, faire du physique, manger et tapoter sur le net avant de me recoucher à 1h30 pour une énième nuit blanche ! Impossible de trouver la moindre force pour me lever avant 14h30 tandis qu'un psychopathe nazi galeux de première n'arrêtait pas de me pincer partout sur le corps entre autres sensations empêchant tout endormissement. Je tiens debout par la bonté du Saint Esprit. Je ne peux, même si toute activité est dangereuse même le simple fait de marcher, rester allongé toute la journée sous peine de me voir ankylosé et puis ça n'arrange rien. Pas évident comme situation n'est-ce pas ? Je ne vous le fais pas dire. C'est là que l'on comprend et que devient tolérant vis à vis des personnes âgées et adultes fatigués dont les espaces de vie sont souillés, pas lavés, ainsi qu'eux-mêmes. Quand vous n'avez même plus la force de vous arracher de votre lit ou d'ouvrir vos volets, comment pourriez-vous la trouver pour laver votre sol, vos affaires et même vous-mêmes ? Cela commence par un léger laisser-aller parce que l'on ne reçoit plus personne et que l'on ne sort plus et puis plus rien ne peut être fait car le physique ne le permet pas. Cela n'a bien-sûr rien à voir avec la personne elle-même qui ne demanderait qu'à ce que tout soit nickel. Fatigue et je-m'en-foutisme font que l'on retrouve toutes les personnes détruites sur le long terme comme mon père et moi ou les personnes âgées qui vont jusqu'au bout, dans des lieux plus ou moins crasseux. Mais comment faire ? A moins de s'appeler Jacques Chirac et d'avoir de fidèles serviteurs jusqu'à la fin de ses jours c'est la même pour tous ceux qui en arrivent là.

Pour le moment tout est encore propre chez moi et sur moi. Mais jusqu'à quand si dans les jours qui viennent l'état dans lequel je suis se prolonge, sachant qu'il n'y a strictement aucune raison pour que tout aille mieux. Ma promesse publique de rejoindre Lourdes à pieds pour les 666km qui nous séparent, si jamais je devais retrouver mon physique et mon mental, même si je l'aurais respectée n'a aucune chance d'être d'actualité.

En fait c'est juste chiant d'avoir à constater si longtemps que sa vie est détruite, finie, juste parce que les connards finis que j'ai aux basques ne veulent pas prendre le risque que l'assassinat de Brulé Parlesilluminés fasse du bruit. C'est un combat de leur côté pour me faire arriver un accident que l'on prendra pour malchanceux tout en désinformant mon entourage et au-delà de la réalité que j'expose, et du mien pour tenir debout et rester le plus « safe » possible jusqu'au bout en tenant le même discours mordicus.

Si on peut plus se lever du tout on finira peut-être par mourir de soif et/ou de faim qui sait ?

La légumisation avance, faut pas s'attendre à autre chose, surtout que je suis hyper sécuritaire et ne cherche pas à dépasser mes capacités d'aujourd'hui. Extrême fatigue physique et mentale, on allume, on allume, on allume, faut vraiment passer une journée avec moi pour le constater et le comprendre. Je ne peux quasiment plus rien faire, 2km de marche avec une belle pause et c'est la tête qui tourne, le coeur au bord, même des vieux de 80 ans n'en sont pas à ce niveau. Le blaireau de démon moisi sur mon derrière commande toujours ses bêtises à mon entourage, les petits booms, les avions, les klaxons, les messages à deux balles véhiculés par tous ceux que je peux côtoyer quelques soient les circonstances, impossibilité de récupérer la moindre énergie à cause des technologies qui lui servent à me pincer, embêter, priver de sommeil, griller, torturer, surtout le coeur et le cerveau et tout ce que vous avez déjà bien intégré si vous en êtes arrivés là. 

Il faut s'imaginer un "humain", entre guillemets évidemment et tout le monde comprendra largement pourquoi, en train de continuer à vous matraquer par tous les moyens possibles, et Dieu sait qu'ils sont nombreux, alors que vous avez déjà 90% de tout ce qui vous constitue qui se trouve dans la tombe. Il faudra surveiller qui viendra taper sur mon cercueil en guise de persécution post mortem le jour de mon enterrement ! Ou plutôt crémation bien-sûr, quoi de plus normal pour Brulé !

Ce qui leur plairait évidemment c'est que les persécutions durant les moments de souffrance physique me fassent craquer. Quelle blague. Après on viendra me poster ce genre de commentaire : "Heureusement que grâce aux milliers de personnes qui suivent ce blog ils hésitent à vous supprimer!". Je suis mourant aujourd'hui et je ne vois pas bien ce qui pourrait me sortir de là. Donc mettre quelqu'un que l'on ne veut pas abattre dans un état pareil, c'est quoi le but, si ce n'est de le pousser au suicide, à l'accident ou à la démence ? Allons, allons, la situation est assez claire il me semble. Mais personne ne se déplace pour la vérifier, donc je suis serein.

L'absence d'article de toute la semaine témoigne d'une fatigue physique impressionnante déconnectant totalement les neurones.

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Deux messages ces derniers jours :

"On avait besoin de toi", ai-je pu entendre. Du coup, on t'a infligé des dégâts irréversibles sur la santé pour te "brider" en attendant que tu rejoignes nos rangs. Pffffffffffffffffffffffff

"On va essayer de ne pas vous assassiner.", idem. Mais c'est déjà fait ! Je ne serai plus jamais capable de travailler suffisamment pour subvenir à mes besoins physiologiques. Avant même que cela n'arrive, tout le monde le sait déjà, ce n'est qu'une question de temps.

Aujourd'hui contact téléphonique avec une personne de l'équipe de l'émission radio Bob Vous Dit Toute la Vérité. Nous verrons bien ce que cela va donner, mais je ne me fais pas d'illusion. De plus cela pourrait très bien être ma première et dernière selon comment je décris le souci, étant donné l'état dans lequel j'ai le cerveau. mais bon, qu'ai-je à perdre ? Cela dit je l'annoncerait quand-même au début comme je le fais sur les pages d'accueil de mes sites, afin qu'ils soient prévenus et que ce soit clair.

J'vais leur filer un petit conseil via mon blog, mais ils l'entendent déjà suffisamment souvent (...) : Virez tout ce qui est attaques psychologiques, elles ne servent à rien ! Et vous allez finir par crouler sous votre monticule de conneries. Grillez-moi la santé physique, ça oui ça a un réel intérêt et effet.

Énième tentative absolument infructueuse évidemment de me lever plus tôt en me couchant plus tôt, peu après minuit, après cette journée larvaire. Peu importe l'heure à laquelle je me couche en ce moment, ils me mènent la nuit dure jusqu'aux environs du lever du jour. Dans une fatigue extrême et dans l'impossibilité de trouver le sommeil jusqu'aux environs de 6-7h du mat, le lever, et non pas le réveil, se fait à 15h grâce à une force qui doit me venir d'une autre dimension. Après vous recevez un texto d'un collègue vous demandant de passer le voir, suivi d'un refus motivé bien-sûr qui aura pour effet de lui faire me demander jusqu'à quand je compte rester enfermer chez moi. Je sais que ce que je vis est difficile à croire, comprendre, concevoir, mais à un moment donné faut se secouer la tête et se rendre à l'évidence non ? Est-ce que l'on demande à un mourant pour quelle raison il ne sort pas de son unité palliative ? Décidément, il y en a qui ne comprendront jamais.

Beaucoup de difficultés à écrire ne serait-ce que ces quelques lignes. Ma mémoire étant quasi inexistante, je dois tout écrire d'un trait sous peine de perdre les idées que je compte noter à la suite. Aussi, dès que je me remets à taper un texte, à me pencher sur un sujet pour réfléchir, les "booms" sont de retour. Plein de petits bruits et craquements incessants tout autour de moi dont certains provenant de mon écran ce qui fait que même une personne à 3 mètres de moi peut ne pas l'entendre. Ils ont pour effet de déconcentrer, de faire perdre les idées, le fil de la réflexion etc. Quand c'est TOUS les jours PARTOUT où vous vous trouvez sur des années entières, cela a un effet négatif. Mais ce n'est évidemment que de la pacotille face à la privation de sommeil, parfois totale, et les décharges électriques directement le cerveau, vous en conviendrez.