Bruleparlesillumines

Peut-être le pire état dans lequel j'ai pu me trouver ces deux dernières années et demi en tant que barquette micro-ondable à domicile et partout ailleurs.

Hier, après être resté allongé de 18h à 21h, je me suis levé pour marcher un peu, faire du physique, manger et tapoter sur le net avant de me recoucher à 1h30 pour une énième nuit blanche ! Impossible de trouver la moindre force pour me lever avant 14h30 tandis qu'un psychopathe nazi galeux de première n'arrêtait pas de me pincer partout sur le corps entre autres sensations empêchant tout endormissement. Je tiens debout par la bonté du Saint Esprit. Je ne peux, même si toute activité est dangereuse même le simple fait de marcher, rester allongé toute la journée sous peine de me voir ankylosé et puis ça n'arrange rien. Pas évident comme situation n'est-ce pas ? Je ne vous le fais pas dire. C'est là que l'on comprend et que devient tolérant vis à vis des personnes âgées et adultes fatigués dont les espaces de vie sont souillés, pas lavés, ainsi qu'eux-mêmes. Quand vous n'avez même plus la force de vous arracher de votre lit ou d'ouvrir vos volets, comment pourriez-vous la trouver pour laver votre sol, vos affaires et même vous-mêmes ? Cela commence par un léger laisser-aller parce que l'on ne reçoit plus personne et que l'on ne sort plus et puis plus rien ne peut être fait car le physique ne le permet pas. Cela n'a bien-sûr rien à voir avec la personne elle-même qui ne demanderait qu'à ce que tout soit nickel. Fatigue et je-m'en-foutisme font que l'on retrouve toutes les personnes détruites sur le long terme comme mon père et moi ou les personnes âgées qui vont jusqu'au bout, dans des lieux plus ou moins crasseux. Mais comment faire ? A moins de s'appeler Jacques Chirac et d'avoir de fidèles serviteurs jusqu'à la fin de ses jours c'est la même pour tous ceux qui en arrivent là.

Pour le moment tout est encore propre chez moi et sur moi. Mais jusqu'à quand si dans les jours qui viennent l'état dans lequel je suis se prolonge, sachant qu'il n'y a strictement aucune raison pour que tout aille mieux. Ma promesse publique de rejoindre Lourdes à pieds pour les 666km qui nous séparent, si jamais je devais retrouver mon physique et mon mental, même si je l'aurais respectée n'a aucune chance d'être d'actualité.

En fait c'est juste chiant d'avoir à constater si longtemps que sa vie est détruite, finie, juste parce que les connards finis que j'ai aux basques ne veulent pas prendre le risque que l'assassinat de Brulé Parlesilluminés fasse du bruit. C'est un combat de leur côté pour me faire arriver un accident que l'on prendra pour malchanceux tout en désinformant mon entourage et au-delà de la réalité que j'expose, et du mien pour tenir debout et rester le plus « safe » possible jusqu'au bout en tenant le même discours mordicus.

Si on peut plus se lever du tout on finira peut-être par mourir de soif et/ou de faim qui sait ?

Que dire ? Une des semaines où j'ai été le plus mal de ma vie ? Oui, certainement.
En moyenne 14 à 16h allongé pour seulement quelques heures de sommeil accordées quand je me mange pas des rêves contrôlés. Une mémoire quasi inexistante plus des mots simples que je n'arrive plus à retrouver, une pression énorme au thorax avec impossibilité de faire quoi que ce soit de physique. Là je tape ces quelques lignes sans savoir d'où me vient l'énergie pour tenir assis. Hier soir il m'a pris un terrible mal de tête qui ne m'a pas quitté de la nuit (et en même temps que j'écris un abruti fini vous dit avec un tir de rayon dans la tête "C'est à vie, c'est à vie, c'est à vie", pfiouuuuu... Sacré métier). J'en avais déjà eu des similaires mais pas aussi longtemps. Le mental n'est donc pas en reste, la destruction est totale, qu'est-ce cela devient dur de réfléchir...
Je vous fais grâce de toutes les âneries persécutoires de l'environnement qui sont toujours les mêmes, que je sorte ou pas, que j'y fasse attention ou pas, elles sont là.

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Au final j'ai été une cible de manière incrémentale :
- Cela a commencé par des dommages collatéraux car j'étais juste le fils de mon père, un jeune libre ;
- Puis ça a empiré quand j'ai démarré mes études pas trop mal ;
- Puis ça a empiré quand mon père est décédé et que j'ai hérité ;
- Puis ça a empiré quand la conséquence de toutes les frappes m'ont conduit à sortir des sentiers battus ;
- Puis ça a empiré quand je n'ai pas accepté les faux cadeaux que l'on me faisait pour que je la ferme et meure en silence.

Aujourd'hui contact téléphonique avec une personne de l'équipe de l'émission radio Bob Vous Dit Toute la Vérité. Nous verrons bien ce que cela va donner, mais je ne me fais pas d'illusion. De plus cela pourrait très bien être ma première et dernière selon comment je décris le souci, étant donné l'état dans lequel j'ai le cerveau. mais bon, qu'ai-je à perdre ? Cela dit je l'annoncerait quand-même au début comme je le fais sur les pages d'accueil de mes sites, afin qu'ils soient prévenus et que ce soit clair.

J'vais leur filer un petit conseil via mon blog, mais ils l'entendent déjà suffisamment souvent (...) : Virez tout ce qui est attaques psychologiques, elles ne servent à rien ! Et vous allez finir par crouler sous votre monticule de conneries. Grillez-moi la santé physique, ça oui ça a un réel intérêt et effet.

En ce moment je me fais énormément allumer technologiquement la nuit mais beaucoup moins le jour, en tout cas lorsque je suis debout. La raison ? On souhaite évidemment que je reste dans la position où je suis le moins torturé, c'est-à-dire levé, afin que je surestime mes capacités et finisse par me faire mal tout seul dans le sale état dans lequel on me plonge. Le "On va essayer de ne pas vous assassiner" fonctionne à plein régime. Hier, dès que je me suis allongé car à bout de force comme peu de personnes ont eu la malchance de connaître, toutes les sensations ont immédiatement repris après un arrêt (jamais total bien-sûr) de quelques heures m'empêchant tout repos et maintenant mon coeur à haut régime pendant plusieurs heures de semi-coma habituel/rituel. Mais bon, aujourd'hui vraiment, étant impossible de tenir debout ou même assis plus d'une demi-journée sans m'allonger, les risques sont ultra limités. Je pense même arrêter de faire le compost, peut-être la vaisselle et même l'utilisation d'oignons dans mes plats tant la manipulation d'un couteau devient dangereuse. Faut le voir et/ou le vivre pour le croire. Le coeur est tellement fatigué que même assis les fesses et cuisses sur un coussin anti-escarres j'ai froid dans les mollets et pieds ce qui veut dire que le sang a du mal à y parvenir ou à en remonter ! Ce doit évidemment être le même souci pour le cerveau. Aussi, j'ai appliqué depuis quelques semaines un vieux conseil qui dit de surélever de quelques centimètres avec des cales les pieds du lit pour aider la circulation du sang.

Donc tout n'est que calme et volupté dans mes courtes journées, pour bien prouver que non, rien ne peut justifier mon état à part un possible volet technologique plus ou moins éloigné, difficilement concevable pour le plupart des gens du peuple, j'en suis le premier convaincu. Mais avec le temps, tout s'apprend.

De toute façon, clairement, j'irai jusqu'au bout de tout, du dernier zeste d'énergie, du dernier souffle, de la dernière molécule qui tient debout.

Aujourd'hui on a très très mal au teston. Normal, en ce moment le thème qui revient c'est d'essayer de se débarrasser de moi sans que cela passe pour un meurtre. Si le fait de débarrasser de quelqu'un physiquement peut être un ennui par le bruit que cela cause, le faire mentalement, étant donné le nombre de collabos qui doivent crier au demeuré et ceux qui ne savent pas et qui préfèrent largement m'imaginer fou que de penser que je dis la vérité tellement elle est terrible, est tout de suite moins ennuyeux. Mais évidemment je prends toujours mes précautions et cela ne date pas d'hier, j'ai déjà moult fois répété à mon entourage qu'ils pouvaient me faire déconnecter le cerveau à tout moment. La seule chose qui les retient c'est que les comploteurs ont horreur d'être démasqués, de voir leurs plans connus à l'avance. Tout leur art consiste à toujours essayer d'être les plus imprévisibles possibles. C'est aussi en cela que ma tâche est ardue. S'adaptant continuellement à ce que je raconte par écrit ou oral, puisqu'ils me suivent 24h/24, il n'est pas évident de ne pas passer pour un parano car à chaque fois que vous annoncez ce que vous pensez qu'il va se produire et que vous déjouez leur plan, et bien il ne se passe a priori rien ! Donc je comprends largement que cela fatigue énormément à la longue ceux qui m'écoutent et c'est bien-sûr fait exprès. Si je suis encore là, en liberté et encore capable de m'exprimer dans un langage correct, c'est que je ne me suis pas trop mal débrouillé. Faut imaginer les 5 années et demi telles que je vous en relate les grandes lignes ici. 250 articles de blog environ sur les deux dernières années en résumant, si j'avais dû être exhaustif sur chaque journée depuis le début ce serait carrément une encyclopédie à laquelle vous auriez dû faire face en entamant le problème "Brulé Parlesilluminés". Toutes mes prises de notes de décembre 2007 à février 2011 comptaient environ cinq cahiers papier complets, un document Word principal pour chaque journée de plusieurs centaines de pages, des centaines de fichiers, dossiers, captures d'écran, mails, photos, enregistrements divers et pièces à conviction (tels tous les objets mis sous mes yeux en guise de persécution). J'avais choisi, à leur demande en février 2007 comme je peux le dire dans la présentation du blog, d'effacer toute trace du souci. Forcément, face à ce monstre contre lequel je ne pouvais clairement rien et auquel je n'arrêtais pas de demander de venir me rencontrer pour discuter, que je ne suis rien ni personne et que je n'ai rien à cacher, qui avait bien entamé ma destruction physique par nouvelle technologie (13/10/10), tous les moyens étaient bons pour essayer d'arranger la situation. Mais malheureusement j'étais face à un problème sans solution et c'est cette décision de tout effacer qui m'en a donné le coeur net. Ensuite leur but a été, et est toujours, de faire en sorte que je me mette en porte-à-faux en essayant de résoudre un problème sans solution : celui de se protéger contre les ondes qui me tuent à petit feu. Aussi les propositions de solutions plus ou moins coûteuses ont afflué. J'en ai essayé quelques-unes telles que je les présente sur cette page de mon site qui leur est dédiée : http://bruleparlesillumines.e-monsite.com/pages/harcelement-urbain-et-electronique/moyen-de-protection-presumes-contre-les-armes-electroniques.html. Mais bien-sûr, rien n'a fonctionné. Et entre temps j'ai arrêté de chercher à m'en protéger. Pourquoi ? Tout simplement parce que ça n'a ni queue ni tête. Il n'y a, je l'ai déjà écrit, pas plus de guerre entre eux et moi qu'il y en a entre moi et les lombrics. Chercher à se prémunir des ondes quand on a que ça comme souci, pourquoi pas. Mais quand vous avez vu la bête, le monstre et toutes ses tentacules partout où vous avez posé les pieds en France, une fois le harcèlement électromagnétique bloqué, va encore falloir refaire face à tout ce qui l'a précédé et qui plus est dans un état physique des plus délabrés après près de 3 ans de privation de sommeil et de destructions diverses sur la santé : boycott à très grande échelle professionnel, amical et amoureux, risques d'accidents de la route, de la circulation (pieds, vélo etc.), d'empoisonnement, de complot médical, d'attaques financières de toutes part, de malfaçons dans les travaux réalisés par les entreprises, persécution/harcèlement en réseau partout en France et dans le monde et tous les risques que j'ai oubliés qui ont été exposés dans ce blog. La tâche est complexe n'est-ce pas ? Pire, sans solution pour une personne seule et isolée. Donc à quoi bon ? Et de toute façon quand vous avez été face à la réalité de ce monde, pourri jusqu'à la moelle, quelle envie vous avez de continuer à lui sourire alors qu'il vous crache littéralement au visage pour des raisons plus débiles les unes que les autres que la plupart du temps nous ne connaissons pas ? Je n'ai qu'une seule envie c'est d'aller voir ailleurs si j'y suis pas par le plus grande des hasards et eux aussi ! Mais ils me gardent en vie, comme bête de foire, joujou humain ou sujet d'expérience.

A 20h30, je suis aux trois quarts mort, donc on va s'allonger pour se faire allumer. Relevé 23h30 dans la peau d'une cible de fléchettes, sans repos bien-sûr, je passerai toute la nuit au téléphone après avoir mangé avec très certainement un énième envoyé du diable me faisant croire qu'il est ciblé de la même manière que moi. L'objectif étant de me placer des éléments de ma vie, d'un futur possible ou de me manipuler pour me pousser à réaliser des actions qui, même si elles ne le paraissent pas pour le commun des mortels, seraient nocives pour moi.

Je décris des faits extraordinaires, mais je les décris pas trop mal. Ainsi, j'arrive à créer le doute même dans les esprits les plus sectaires, les plus récalcitrants, les plus fermés. Donc une grande partie de mon entourage non-initié hésite, ne sait plus trop à quel Saint se vouer et doit surement, et à raison, espérer que j'ai tort. Chose qui amuse grandement mes démons : "Alors, fou ou génie ?! :)". Petit message glissé sous mes yeux qui m'arrive encore de je ne sais plus où tellement ma matière grise est dégondée.

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On va aller encore plus loin dans la réflexion et dans les capacités technologiques avec un petit élément qui vient de survenir.


Ce soir, devant mon PC, je me penche pour réfléchir quelques secondes à l'endroit où j'ai pu ranger le dossier concernant mon travail sur les livres jaunes. Au moment même où je dis tout haut « Ah oui ! », un gros claquement dans la maison inanimée retentit. Il provient de la cuisine quelques six mètres derrière moi. Je suis seul et ai largement l'habitude de cela. J'ai affaire à ce moment-là à un « boom » créé technologiquement et à distance. Difficile en revanche de savoir quel est l'objet sur lequel ils créent précisément ce bruit. Parfois j'arrive à reconnaître l'objet touché mais là non, même si le bruit m'est devenu familier. Mais peu importe. J'ai tellement le cerveau ravagé et pris l'habitude de m'en détourner que je n'ai pas cherché à comprendre sur le coup. Le sens m'est arrivé après, lorsque je suis arrivé dans le dossier concerné dans lequel ne se trouvait pas ce dont j'avais besoin. Ils me signalaient, comme ils me le font de temps en temps depuis des années maintenant, que je faisais erreur. Mais impossible de s'y fier car souvent ils bluffent ou essaient de me mener en bateau qi je m'y intéresse. Mais cette fois-ci, si j'y avais cru, cela m'aurait évité quelques clics inutiles car en reprenant ma réflexion je me serais souvenu du nouvel endroit où était rangé mon document. Mais peu importe aussi.

Maintenant analysons comment ils ont pu en arriver à ce « boom ». Que se passe-t-il pendant que je réfléchis ? Deux solutions selon moi :

La moins avancée (!) : Ils voient s'afficher sur leur écran l'image dans mon cerveau de ce que je cherche et le « film » du cheminement de dossiers où je compte me rendre. Parallèlement à ça, ils réalisent la manipulation sur leur PC qui contient une copie miroir en temps réel de mon disque dur.


La plus avancée : Mon cerveau est directement branché, via des ondes, sur un ordinateur avec une copie miroir de mon disque dur et la manipulation que je réalise dans mes pensées s'affiche en direct sur l'écran du démon qui me suit comme si je commandais les périphériques par la pensée (c'est déjà possible).

Puis, au moment où je prends la décision de me rendre dans le dernier dossier visité dans ma mémoire, ils voient que je ne vais pas au bon endroit donc immédiatement avec leur technologie ils se débrouillent pour créer ce bruit/boom pour me le signifier.

Mais la réponse est tellement rapide et précise que je peine à croire que ce soit un cerveau humain et une manipulation humaine qui soient à 100% derrière ce genre d'évènement. Il y a un humain (?), c'est sûr, mais sur une action comme celle-là de nombreux paramètres doivent être automatisés. Mais lesquels ? Par exemple la technologie est peut-être déjà braquée directement sur le prochain élément de chez moi à faire craquer ou claquer ce qui fait qu'un clic suffit.

Mouais, bon, voilà quoi.

Il y a quelques mois de cela, en février il me semble, ils m'avaient répondu en direct à l'une de mes réflexions via une personne publique. Je ne vais pas encore vous le détailler, même si je suis sûr de moi, mais le ferai peut-être plus tard. Je réfléchissais à mon passage chez la dame de joie et à tout ce qui tournait autour de ce passage dans le début de l'emballement de mon souci, après l'été 2007. Leur message à ce moment-là était : "C'est bien fait pour toi t'avais qu'à pas y aller !". Je pense que je répète le tout au mot près. Et bien justement, imaginons que je n'aie jamais mis les pieds dans ce sale endroit qui pue.

Comme vous avez pu l'apprendre au début et/ou dans le reste du blog, j'avais un souci de santé principal qui m'a orienté dans mes études et ma vie professionnelle. Il s'agit de mes fortes douleurs et des symptômes ressentis aux yeux devant toute source de luminosité : soleil, phares la nuit et tous écrans (même de téléphone portable ou petits jeux)... L'informatique ayant une place prégnante dans tous les métiers de la gestion et dans la majorité des métiers intellectuels d'aujourd'hui, j'étais mal barré. Il s'est déclaré au début de me deuxième année de fac, sans véritable raison valable, diagnostics médicaux à l'appui. Ce sont plus de cinq ophtalmos et deux orthoptistes qui s'y sont cassé les dents dessus. Aucune solution ne fut apportée en six ans de nomadisme médical. Seul le résultat de mes intenses recherches m'ont permis de découvrir que la vitamine A était essentielle à la vue et qu'un apport journalier permettait de l'entretenir. La plus grosse concentration se trouvait être dans la carotte sous forme de bêta-carotène, il n'existe pas un matin depuis lors où vous auriez pu me voir sans en manger au moins une, toutes les personnes de mon entourage pourraient en témoigner. C'est toujours le cas aujourd'hui. A l'époque, je pouvais souvent en porter une sur moi tout comme un asthmatique garde sa Ventoline avec lui... C'était la meilleure manière de calmer mes douleurs et de supporter le peu d'informatique que je pouvais avoir d'obligatoire à la fac ou les sorties entre amis improvisées devant un écran (car je refusais quasi-systématiquement le aprèm jeux-vidéo et cinéma). Donc ce n'est pas le souci de monsieur tout-le-monde au bout de plusieurs heures d'écran dû à la fatigue oculaire ou générale pour lequel on conseille généralement d'aller se reposer ou de prendre des gouttes. C'était un réel handicap, le plus important parmi la ribambelle de soucis de santé dont je souffrais étrangement. C'est alors que, après six années de consultations, de recherches intensives et de tests divers (produits, cures d'aliments, allergies, lunettes antireflets, diminution de la luminosité au minimum de tous mes appareils, recul des distances me séparant des écrans, toujours les lunettes de soleil UV3 à l'extérieur, éviter la conduite de nuit et en plein soleil, arrêt total des jeux-vidéos et cinéma, téléphone portable avec luminosité éteinte, éviter de manquer de sommeil, fermer les yeux quelques minutes plusieurs fois par jour etc.), la solution miracle me tomba du ciel comme par enchantement. Je finis par me retrouver sur un site de yoga des yeux, application de la méthode Bates, un spécialiste des yeux des années 30 aux États-Unis dont les travaux n'étaient pas considérés comme scientifiquement prouvés. Et, comme pour une grande partie des travaux bizarrement mis en marge de la médecine dite légale, conventionnelle, les raisons invoquées ne sont pas toujours les véritables. Ces travaux ont par exemple pu se retrouver marginalisés uniquement parce qu'ils étaient trop efficaces, nuisant par ailleurs au capital car soignant trop bien un grand nombre d'affections pour lesquelles des médicaments, traitements, spécialistes, centres médicaux etc. tournent à plein régime ou sont très prisés. Et voici donc que dans mon cas les exercices de cette méthode ont permis un ouf de soulagement gratuit. Cependant, je resterai dépendant de ces exercices toute ma vie à raison d'une séance de 10 à 20 min une fois par jour à une fois par semaine en fonction de la durée de mes activités sur écran et de ma fatigue. De plus, ma vision est toujours fragile, je dois donc garder mes anciennes habitudes (régler la luminosité des écrans au minimum, éviter les fortes sources de lumière, les après-midi de soleil au zénith, les réverbérations etc.). Tout ne reviendra jamais à la normale mais croyez-moi c'est LE coup de pouce du ciel que j'attendais.

Malheureusement, il semblerait que ce ne soit pas un cadeau venu du ciel... Il semblerait même que ça en soit un de son opposé... En effet, cette solution est venue taper à ma porte un mois après le passage chez la dame de joie, un mois avant les mails reçus de manière étrange et deux mois avant le passage du duo de duettistes, comme un cheveu sur la soupe. Ce qui veut donc dire par-là, tenez-vous bien, que ce souci m'a été créé de manière volontaire afin de me mettre comme une « bride » m'empêchant de devenir un personnage trop important avant de me retrouver dans leur poche, sous leurs ordres. Et si seulement elle avait été la seule... Les autres, uniquement pour celles qui sont clairement identifiées, ne sont pas soignables autrement que par le passage sur le billard. Par conséquent, si ces deux évènements sont intimement liés, ma bévue sexuelle et ma rémission visuelle, sans la première pas de seconde !

Imaginons donc, comme ils me le conseillent apparemment, que je n'aie jamais posé les pieds "on the dark side of the moon ». Je me trouverais avec le même problème oculaire principal et tout ce qui gravite autour, comme vous avez pu ou vous pouvez le lire dans l'introduction de mon livre à venir (ici : http://bruleparlesillumines.skyrock.com/3137792642-Introduction-de-ce-qui-DEVAIT-constituer-mon-ebook-la-tete-grillee-et.html).

Sachant que j'ai choisi de bifurquer à l'IUFM uniquement à cause de mon problème de vision, que lors des oraux de ma première tentative du CRPE, mon père est décédé, et que durant la deuxième, j'ai eu un accident de VTT trois jours avant le grand oral, le passant une troisième fois, j'aurais eu droit à quoi cette fois-ci ?! Un incendie dans mon logement ? Une météorite explosant ma voiture ? Un tremblement de terre juste autour de chez moi ? Une abduction par des extraterrestres pendant quelques jours ?!
Sachant que je priais déjà, à 24 ans, le ciel de me reprendre si ma place n'était pas ici au vu de toutes les « malchances » dont je faisais le frais, on aurait peut-être obtenu mon suicide l'année suivante !

Dites-moi, ça devient dangereux en France de tenter de devenir instit sans être dans la poche du pouvoir ! Avouez qu'il y a de quoi être révolté non ?!

Alors que l'on ne vienne pas me dire que JE n'aurais pas dû mettre les pieds là où plus de 50% de mes amis masculins ont pu se rendre sans le moindre ennui. Au « Quand on doit devenir Quelqu'un, on le devient quoi qu'il se passe » que l'on m'a gentiment placé il y a de cela quelques temps, je répondrais moi aussi gentiment vu l'étendue du pouvoir du monstre tentaculaire « Quand on a choisi de bousiller quelqu'un, il le sera quoi qu'il fasse ».

J'emmerde leur monde et les emmerde par la même occasion.