Semaine du 2 au 9 septembre 2012 : Semaine de la tachycardie.
Cela commence le lundi avec une sortie de quelques heures sur Toulon pour s'inscrire au RSA (...) et aller au rendez-vous (inutile) de l'organisme extérieur au Pôle-emploi chargé de m'aider pour mon projet professionnel (grum). Je vous passe les détails de la journée qui ne sont pas en rapport avec le thème principal de la tachycardie, mis à part celui du rendez-vous de l'organisme extérieur à Pôle-emploi censé m'aider dans mon projet professionnel (...). La personne chargée de m'aider reçoit un appel téléphonique, agrémenté de coups de klaxon permettant de me prévenir qu'il n'a rien d'hasardeux et que tout ou partie des informations qui vont être données pourront m'être adressées, au cours duquel elle répète qu'elle ne peut "plus revenir en arrière", "qu'il est trop tard", avec en plus un ton qui semble faire s'échapper les mots du combiné comme si nous étions trois en conférence... Rien de bien méchant, que du réchauffé mais c'est juste chiant d'être obligé de contempler la déchéance de l'intelligence humaine au service du néant. Après être rentré, je me trouve alors devant mon ordinateur tranquille après le repas, je me tape trois heures de tachycardie. Celle-ci m'avait été annoncée par le croisement en voiture d'un voisin dont ma mère m'avait dit qu'il prenait des bêtabloquants, ainsi que juste derrière une voiture blanche dont seule la couleur étant importante dans ce cas (toujours la même, blanc = je suis blanc comme neige sur ce coup-là). Ce passage coordonné n'a rien d'une coïncidence mais qui pour l'avouer ? De toute façon je m'en balance je ne risque pas de me médicamenter même au risque de souffrir le martyre, faut rester fidèle à soi-même. Panser des plaies sans cesse assénées de coups n'a jamais permis quelconque guérison. Quel intérêt d'agir sur un mal si la cause ne peut être atteinte ?
Je passe deux relatives bonnes nuits le dimanche et le lundi et, le mardi soir alors que je suis en train de jouer à un jeux-vidéo pour me vider un peu l'esprit, je reçois, pendant que je suis en train de trouver que mon rythme cardiaque était légèrement élevé par rapport à l'activité, un bon coup de rayon au c½ur suivi de près par deux coups aux fesses. Le pincement a eu pour effet de bien relancer mon myocarde qui s'emballe facilement vu le niveau de destruction atteint. Cet emballement durera jusque tard dans la nuit alors qu'en ce moment j'essaie de me coucher de plus en plus tôt afin de retrouver un semblant de rythme de veille-sommeil plus proche de la normale. Mais je n'y suis visiblement toujours pas autorisé.
S'en est suivi toutes les journées et nuits en tachycardie jusqu'à ce matin où je mangeais un morceau de pastèque au lever avec un 110 battements/min... Sachant qu'à chaque fois durant ces derniers jours où je me débrouillais, toujours naturellement, pour m'en défaire un temps soit peu, je reçus très rapidement des attaques extérieures le relançant de plus belle (coups directs au c½ur, privation de sommeil, coup monté pour me faire sursauter avec des chiens, des gros bruits divers ou la TV/PC etc.). Du coup, la contraction musculaire la plus récurrente cette semaine fut le mollet. Cela signifie dans leur langage et le mode ede com qu'ils ont instauré avec moi qu'ils continuent à me détruire lentement jusqu'à ce que je ne puis plus remonter la pente seul et qu'il ne me reste plus qu'à me putréfier sur place. Et inutile de vous préciser la décomposition du mot pour la traduction, je pense l'avoir déjà fait et c'est vraiment l'élément le plus difficile à saisir. "Quand l'humain ne peut changer les choses, il change les mots", je ne peux rien faire contre ça donc je le "mets sur papier", le commente, le partage.
Thème secondaire : Accident de voiture.
- Un voisin noir attend que je lève les yeux au moment de partir en voiture afin que je le voie mettre sa ceinture (noir = deuil, ceinture = attache ta ceinture, voiture blanche : tjs l'impunité totale), avec bien évidemment une absence de bonjour pour montrer qu'à ce moment précis, ce n'est pas lui (grum grum) ;
- Des voitures rouges aux carrefours ou aux endroits les plus improbables, vous en voulez ? ;
- Des personnes aux pseudos en rapport avec ce thème se manifestent bien plus que d'habitude (road...) ;
- Gros pincements aux genoux durant une nuit vu que c'est souvent les jambes qui prennent en premier dans les accidents frontaux ;
Cela commence le lundi avec une sortie de quelques heures sur Toulon pour s'inscrire au RSA (...) et aller au rendez-vous (inutile) de l'organisme extérieur au Pôle-emploi chargé de m'aider pour mon projet professionnel (grum). Je vous passe les détails de la journée qui ne sont pas en rapport avec le thème principal de la tachycardie, mis à part celui du rendez-vous de l'organisme extérieur à Pôle-emploi censé m'aider dans mon projet professionnel (...). La personne chargée de m'aider reçoit un appel téléphonique, agrémenté de coups de klaxon permettant de me prévenir qu'il n'a rien d'hasardeux et que tout ou partie des informations qui vont être données pourront m'être adressées, au cours duquel elle répète qu'elle ne peut "plus revenir en arrière", "qu'il est trop tard", avec en plus un ton qui semble faire s'échapper les mots du combiné comme si nous étions trois en conférence... Rien de bien méchant, que du réchauffé mais c'est juste chiant d'être obligé de contempler la déchéance de l'intelligence humaine au service du néant. Après être rentré, je me trouve alors devant mon ordinateur tranquille après le repas, je me tape trois heures de tachycardie. Celle-ci m'avait été annoncée par le croisement en voiture d'un voisin dont ma mère m'avait dit qu'il prenait des bêtabloquants, ainsi que juste derrière une voiture blanche dont seule la couleur étant importante dans ce cas (toujours la même, blanc = je suis blanc comme neige sur ce coup-là). Ce passage coordonné n'a rien d'une coïncidence mais qui pour l'avouer ? De toute façon je m'en balance je ne risque pas de me médicamenter même au risque de souffrir le martyre, faut rester fidèle à soi-même. Panser des plaies sans cesse assénées de coups n'a jamais permis quelconque guérison. Quel intérêt d'agir sur un mal si la cause ne peut être atteinte ?
Je passe deux relatives bonnes nuits le dimanche et le lundi et, le mardi soir alors que je suis en train de jouer à un jeux-vidéo pour me vider un peu l'esprit, je reçois, pendant que je suis en train de trouver que mon rythme cardiaque était légèrement élevé par rapport à l'activité, un bon coup de rayon au c½ur suivi de près par deux coups aux fesses. Le pincement a eu pour effet de bien relancer mon myocarde qui s'emballe facilement vu le niveau de destruction atteint. Cet emballement durera jusque tard dans la nuit alors qu'en ce moment j'essaie de me coucher de plus en plus tôt afin de retrouver un semblant de rythme de veille-sommeil plus proche de la normale. Mais je n'y suis visiblement toujours pas autorisé.
S'en est suivi toutes les journées et nuits en tachycardie jusqu'à ce matin où je mangeais un morceau de pastèque au lever avec un 110 battements/min... Sachant qu'à chaque fois durant ces derniers jours où je me débrouillais, toujours naturellement, pour m'en défaire un temps soit peu, je reçus très rapidement des attaques extérieures le relançant de plus belle (coups directs au c½ur, privation de sommeil, coup monté pour me faire sursauter avec des chiens, des gros bruits divers ou la TV/PC etc.). Du coup, la contraction musculaire la plus récurrente cette semaine fut le mollet. Cela signifie dans leur langage et le mode ede com qu'ils ont instauré avec moi qu'ils continuent à me détruire lentement jusqu'à ce que je ne puis plus remonter la pente seul et qu'il ne me reste plus qu'à me putréfier sur place. Et inutile de vous préciser la décomposition du mot pour la traduction, je pense l'avoir déjà fait et c'est vraiment l'élément le plus difficile à saisir. "Quand l'humain ne peut changer les choses, il change les mots", je ne peux rien faire contre ça donc je le "mets sur papier", le commente, le partage.
Thème secondaire : Accident de voiture.
- Un voisin noir attend que je lève les yeux au moment de partir en voiture afin que je le voie mettre sa ceinture (noir = deuil, ceinture = attache ta ceinture, voiture blanche : tjs l'impunité totale), avec bien évidemment une absence de bonjour pour montrer qu'à ce moment précis, ce n'est pas lui (grum grum) ;
- Des voitures rouges aux carrefours ou aux endroits les plus improbables, vous en voulez ? ;
- Des personnes aux pseudos en rapport avec ce thème se manifestent bien plus que d'habitude (road...) ;
- Gros pincements aux genoux durant une nuit vu que c'est souvent les jambes qui prennent en premier dans les accidents frontaux ;