Thèmes de ces derniers jours sous forme de messages divers et variés :
- Je vais aller en prison ;
- Pincements récurrents au c½ur plus ou moins forts ;
- Je n'aurai pas le RSA ;
- On me laisse dormir entre 5 et 7 heures en moyenne d'affilée ;
- Ils me fatiguent le c½ur par des genres des spasmes provoqués de toute pièce ;
Hier j'ai donc eu rendez-vous à un centre du Conseil Général dans le cadre de ma demande de RSA. En arrivant dans le couloir du bâtiment je suis accueilli par une dame qui me dit de patienter, avant de passer la porte, la refermer et la rouvrir de suite pour me faire entrer. Cela peut s'apparenter à au fait de faire les choses en double, mais rien n'est moins sûr car elle a pu durant ce court instant demander à sa collègue d'un signe de la tête ou d'un membre si elle était prête. Cela ressemblerait alors à ce que l'on m'a fait à l'entretien que j'avais eu à la fac au mois d'avril ou mai dernier pour un poste d'assistant qualité en me serrant la main par deux fois sans raison. Au cours de l'entretien, juste après que je prononce la phrase "s'il y a des droits" (en parlant du RSA), j'ai pu entendre crier à l'extérieur "il y en a PAS !", avec le "pas" plus fort que le début. Au même moment j'ai une toute petite contraction d'un muscle fessier qui me confirme que c'était bien pour moi et non hasardeux. L'entretien se termine et, quand je sors, faut voir le nombre de personnes au portable dans ce tout petit village afin que les messages soient donnés pile au bon moment pour que je les entende. C'est alors que quelques centaines de mètres après ma sortie j'entends très fort et surtout en double : "N'appelle pas ya plus personne, je ne serai plus là, je reviens à 6 heures !". La première partie fait référence au fait qu'à la fin de l'entretien la psychologue m'a dit que je pouvais appeler tel numéro si j'avais un souci. Ils me disent donc que ce n'est pas la peine d'appeler car personne ne m'aidera, ce qui n'est pas forcément vrai mais le but est toujours de vous décourager un max. La deuxième laisse penser que mes tyrans vont se retirer pendant quelques temps où je serai sans RSA et donc avec zéro ressources et, la troisième me stipule qu'ils reviendront à "6 heures" (6 = 666 et heures => son "eur" => meurs) autrement dit au moment de me descendre qu'ils décideront en temps utile.
Je vous épargne encore une fois un grand nombre d'autres bêtises "gang stalkinguiennes" pour cette petite sortie de deux heures dont d'autres messages dans un magasin, des personnes réalisant des signes ne me croisant en voiture, des klaxons, des coups de rayon dans le corps (oui oui, même en roulant) etc.
- Je vais aller en prison ;
- Pincements récurrents au c½ur plus ou moins forts ;
- Je n'aurai pas le RSA ;
- On me laisse dormir entre 5 et 7 heures en moyenne d'affilée ;
- Ils me fatiguent le c½ur par des genres des spasmes provoqués de toute pièce ;
Hier j'ai donc eu rendez-vous à un centre du Conseil Général dans le cadre de ma demande de RSA. En arrivant dans le couloir du bâtiment je suis accueilli par une dame qui me dit de patienter, avant de passer la porte, la refermer et la rouvrir de suite pour me faire entrer. Cela peut s'apparenter à au fait de faire les choses en double, mais rien n'est moins sûr car elle a pu durant ce court instant demander à sa collègue d'un signe de la tête ou d'un membre si elle était prête. Cela ressemblerait alors à ce que l'on m'a fait à l'entretien que j'avais eu à la fac au mois d'avril ou mai dernier pour un poste d'assistant qualité en me serrant la main par deux fois sans raison. Au cours de l'entretien, juste après que je prononce la phrase "s'il y a des droits" (en parlant du RSA), j'ai pu entendre crier à l'extérieur "il y en a PAS !", avec le "pas" plus fort que le début. Au même moment j'ai une toute petite contraction d'un muscle fessier qui me confirme que c'était bien pour moi et non hasardeux. L'entretien se termine et, quand je sors, faut voir le nombre de personnes au portable dans ce tout petit village afin que les messages soient donnés pile au bon moment pour que je les entende. C'est alors que quelques centaines de mètres après ma sortie j'entends très fort et surtout en double : "N'appelle pas ya plus personne, je ne serai plus là, je reviens à 6 heures !". La première partie fait référence au fait qu'à la fin de l'entretien la psychologue m'a dit que je pouvais appeler tel numéro si j'avais un souci. Ils me disent donc que ce n'est pas la peine d'appeler car personne ne m'aidera, ce qui n'est pas forcément vrai mais le but est toujours de vous décourager un max. La deuxième laisse penser que mes tyrans vont se retirer pendant quelques temps où je serai sans RSA et donc avec zéro ressources et, la troisième me stipule qu'ils reviendront à "6 heures" (6 = 666 et heures => son "eur" => meurs) autrement dit au moment de me descendre qu'ils décideront en temps utile.
Je vous épargne encore une fois un grand nombre d'autres bêtises "gang stalkinguiennes" pour cette petite sortie de deux heures dont d'autres messages dans un magasin, des personnes réalisant des signes ne me croisant en voiture, des klaxons, des coups de rayon dans le corps (oui oui, même en roulant) etc.