Retour des gros pincements au c½ur.
Quand vous allez vous endormir ou que vous allez vous réveiller, il y a une période de semi-inconscience durant laquelle les pensées fusent, on réfléchit et les idées s'enchaînent. Quand on vous interrompt, un petit sursaut ou un bruit, vous sortez de votre pensée mais votre mémoire vous permet en général d'y retourner facilement ainsi même que de remonter aux pensées qui vous y ont emmené. Ce n'est PLUS DU TOUT mon cas. Ils ont commencé à faire sauter ma mémoire à ce niveau-là en mai dernier et entre temps j'ai pris des décharges électriques dans la tête et des nuits blanches en veux-tu en voilà. Cependant, jusqu'à présent mes pensées étaient TOUTES sensées (en ce moment-même les cloportes que j'ai sur le dos et qui lisent tout en direct me disent "c'est à vie", "c'est à vie", "c'est à vie" ! Grâce à une de leurs sensations sur mon corps que j'ai déjà décrite). Et bien c'est une première pour moi dans cette vie : il y a des pensées que j'ai eu qui ne voulaient rien dire ! J'ai pensé n'importe quoi. Un cerveau ravagé en quelque sorte qui arrive visiblement en bout de course. Après la journée d'hier durant laquelle je me suis fait littéralement secouer l'esprit dans tous les sens, il ne fallait pas s'attendre à mieux.
S'ils gardent la persécution malgré le fait qu'elle ne serve plus à rien, c'est très certainement pour essayer de faire croire (à qui ?) que ma dégradation physique et mentale en serait une conséquence sachant que très peu de personnes sont au courant qu'ils peuvent griller n'importe quel physique ou cerveau ou que ce soit en France. Or il n'en est rien. Les trois premières années d'emmerdement nouvellement mondial n'ont été que du boycott et de la persécution, à très grande échelle certes, mais à aucun moment je n'ai perdu la raison. Je suis resté fort, seul face à toute cette haine humaine débile, qui a fini par n'avoir d'effet sur moi que des coups d'épée dans l'eau. C'est d'ailleurs bien pour cela que le 13 octobre 2010 il a pris une autre tournure avec la torture et destruction physique. Là oui, forcément, des décharges électriques imparables dans la tête telles que je vous les ai décrites plus en amont de ce blog, à un moment, ça finit par faire mal. Cependant rien de plus difficile à croire ces technologies de l'horreur.
A vrai dire, maintenant qu'ils ont réussi à obtenir sur mon dossier médical d'une médecin généraliste l'observation suivante : "Propos hallucinatoires", cela peut leur permettre aujourd'hui de me détruire lentement le cerveau jusqu'à me faire devenir débile. En effet, un de mes plus éminents contacts sur Facebook se faisant passer pour une victime, m'a affirmé que "je n'allais pas mourir" quelques 20 jours après ma consultation chez la médecin. Ils auraient donc fini par trouver comment se débarrasser de moi à petit feu grâce à cette conclusion d'entretien des plus collaboratives. En outre, je l'avais expliqué dans l'article qui détaille cette consultation (oct-nov dernier), j'ai été accueilli "en double", comme pour des entretiens d'embauche ou toute autre occasion.
L'essentiel pour moi, seule et unique défense, reste encore et toujours de le dire, écrire, décrire, détailler, argumenter à longueur de temps, plusieurs heures par jours s'il le faut, par articles de blog, audios, vidéos, messages sur les forums, rédactions papier, coms Facebook etc.
Sachez une chose bande de pourritures moisies : Que je l'ouvre par écrit ou oral, C'EST A VIE aussi !
Quand vous allez vous endormir ou que vous allez vous réveiller, il y a une période de semi-inconscience durant laquelle les pensées fusent, on réfléchit et les idées s'enchaînent. Quand on vous interrompt, un petit sursaut ou un bruit, vous sortez de votre pensée mais votre mémoire vous permet en général d'y retourner facilement ainsi même que de remonter aux pensées qui vous y ont emmené. Ce n'est PLUS DU TOUT mon cas. Ils ont commencé à faire sauter ma mémoire à ce niveau-là en mai dernier et entre temps j'ai pris des décharges électriques dans la tête et des nuits blanches en veux-tu en voilà. Cependant, jusqu'à présent mes pensées étaient TOUTES sensées (en ce moment-même les cloportes que j'ai sur le dos et qui lisent tout en direct me disent "c'est à vie", "c'est à vie", "c'est à vie" ! Grâce à une de leurs sensations sur mon corps que j'ai déjà décrite). Et bien c'est une première pour moi dans cette vie : il y a des pensées que j'ai eu qui ne voulaient rien dire ! J'ai pensé n'importe quoi. Un cerveau ravagé en quelque sorte qui arrive visiblement en bout de course. Après la journée d'hier durant laquelle je me suis fait littéralement secouer l'esprit dans tous les sens, il ne fallait pas s'attendre à mieux.
S'ils gardent la persécution malgré le fait qu'elle ne serve plus à rien, c'est très certainement pour essayer de faire croire (à qui ?) que ma dégradation physique et mentale en serait une conséquence sachant que très peu de personnes sont au courant qu'ils peuvent griller n'importe quel physique ou cerveau ou que ce soit en France. Or il n'en est rien. Les trois premières années d'emmerdement nouvellement mondial n'ont été que du boycott et de la persécution, à très grande échelle certes, mais à aucun moment je n'ai perdu la raison. Je suis resté fort, seul face à toute cette haine humaine débile, qui a fini par n'avoir d'effet sur moi que des coups d'épée dans l'eau. C'est d'ailleurs bien pour cela que le 13 octobre 2010 il a pris une autre tournure avec la torture et destruction physique. Là oui, forcément, des décharges électriques imparables dans la tête telles que je vous les ai décrites plus en amont de ce blog, à un moment, ça finit par faire mal. Cependant rien de plus difficile à croire ces technologies de l'horreur.
A vrai dire, maintenant qu'ils ont réussi à obtenir sur mon dossier médical d'une médecin généraliste l'observation suivante : "Propos hallucinatoires", cela peut leur permettre aujourd'hui de me détruire lentement le cerveau jusqu'à me faire devenir débile. En effet, un de mes plus éminents contacts sur Facebook se faisant passer pour une victime, m'a affirmé que "je n'allais pas mourir" quelques 20 jours après ma consultation chez la médecin. Ils auraient donc fini par trouver comment se débarrasser de moi à petit feu grâce à cette conclusion d'entretien des plus collaboratives. En outre, je l'avais expliqué dans l'article qui détaille cette consultation (oct-nov dernier), j'ai été accueilli "en double", comme pour des entretiens d'embauche ou toute autre occasion.
L'essentiel pour moi, seule et unique défense, reste encore et toujours de le dire, écrire, décrire, détailler, argumenter à longueur de temps, plusieurs heures par jours s'il le faut, par articles de blog, audios, vidéos, messages sur les forums, rédactions papier, coms Facebook etc.
Sachez une chose bande de pourritures moisies : Que je l'ouvre par écrit ou oral, C'EST A VIE aussi !