Je vais finalement continuer ce blog sous la forme d'une liste d'évènements étonnants, étranges, extraordinaires, ou tout simplement marquants, quand je considèrerai que ça en vaudra la peine, en les datant, sachant que, évidemment, il y en aurait tous les jours une longue liste à relater, comme je le fis dans bon nombre d'articles, puisque je n'ai toujours PAS UNE SEULE MINUTE A MOI, mais cela est sans fin et n'a finalement qu'une portée très limitée.
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21/10/14
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21/10/14
- Je décide de me séparer de l'intégralité de mes caleçons moulants que je portais sporadiquement autour de la vingtaine et, alors que je lui ai interdit d'entrer dans ma chambre depuis le début en le grondant et qu'il n'y est entré que lors de brefs moments d'égarements (et ressorti aussi sec) le peu de fois où la porte est restée ouverte, cela fait deux jours d'affilée que je retrouve notre chat siamois, récupéré il y a deux ans et demi à l'âge de cinq ans, à dormir tranquillement dans la boîte dans laquelle je range mes sous-vêtements et chaussettes (de ce fait délestée d'une dizaine de caleçons).
29/10/14
29/10/14
- Alors que je suis au téléphone avec un contact de l'association Robin des Toits au sujet de mon cas personnel mais aussi des technologies et de ce monde/notre histoire en général, nous leur faisons un "petit coucou" en sachant qu'ils sont avec aucune chance de se tromper en train de nous écouter et, dans les minutes qui suivent, c'est tout mon village de Puget-Ville qui sera plongé dans le noir par une coupure générale d'électricité ! Peu à peu le courant a rapidement été rétabli sauf pour notre petit hameau de la Ruol, qui subira des coupures régulières durant toute la soirée (7 ou 8 de 19h30 à 1h environ). Je ne sais pas ce que cela signifie, car tout est message pour eux, mais cela n'a semble-t-il pas eu de conséquences fâcheuses. Petit élément d'information technologique mais non des moindres : Le fait de ne pas avoir d'électricité sur un rayon de 2km autour de vous ne vous prémunit pas contre leurs attaques (en tout cas pas les pincements et microcontractures puisque c'est ce que j'ai ressenti durant ces périodes de coupures qui ont chacune pu durer plus d'une dizaine de minutes).
- Lors de cette discussion je parle de mon adhésion à l'association que je souhaite réaliser sous peu et tente alors de le faire le soir même, dans la foulée. C'est alors qu'en tombant sur le site qui ne m'a jamais posé de problème...
- Lors de cette discussion je parle de mon adhésion à l'association que je souhaite réaliser sous peu et tente alors de le faire le soir même, dans la foulée. C'est alors qu'en tombant sur le site qui ne m'a jamais posé de problème...
S'ensuit, une heure plus tard alors que le site semble refonctionner, une erreur que je n'avais encore jamais vu en plusieurs années d'utilisation du service...

Il n'y aurait pas quelque chose qui serait en train d'essayer de me casser les pieds par hasard, oui, juste par hasard ! ;)
Fév-Mars 2015 : Objectif psy ! (Mais raté comme c'est pas permis... Quel bande de cons !)
Même en mode zombie, Frankenstein, larve humaine, ils n'auront encore pas réussi à atteindre leur objectif putride. Je m'explique rapidement (toujours pareil, en passant sur les détails qui sont innombrables).
Alors que je suis en invalidité physique des plus singulières mais aussi des plus indubitables sans que qui ce soit ne vienne le constater sur place, je recherche via le médical (si vous avez d'autres idées faites m'en part mais lorsqu'on est en maladie je ne vois pas bien vers qui ou quoi me tourner d'autre, même si la cause ne l'est pas) à me faire reconnaître tel que je suis et ainsi me faire indemniser pour ce handicap haut en couleurs. C'est ainsi que le cardiologue ne trouve rien, janvier 2015, électrocardiogramme parfait. J'enchaîne alors vers le neurologue que m'a conseillé mon médecin traitant qui me connait depuis tout petit. Cela fait presque un an que j'ai l'ordonnance en ma possession mais sachant le résultat je ne suis pas pressé de m'y rendre. Une année (2014) se termine encore dans un état déplorable sans aucune aide, soutien, reconnaissance d'aucune sorte etc. il faut bien faire quelque chose. Donc j'y vais. Et fort de mon électroencéphalogramme parfait datant de juste quelques mois avant le début de mon invalidité, je suis persuadé de pouvoir réussir à constater des dégâts, tant mon intellect est atteint. Ce sera sans compter sur la réponse du neuro lorsque je lui sortirais les résultats : « J'en n'ai rien à foutre ». Texto, faut le vivre. Aurais-je dû l'enregistrer ? Pour en faire quoi ? Le faire écouter à qui ? Le faire valoir auprès de qui ? Il conclura à l'issu d'un entretien expéditif au cours duquel il ne chercha pas à comprendre (allez essayer de dégoter ne serait-ce qu'un gramme d'empathie chez ce personnage...) mais plutôt à récupérer dans vos dires ce qui l'intéresse pour établir un diagnostic déjà tout prêt, que cela ne sert à rien de dépenser de l'argent en examens inutiles dans lesquels on ne trouvera rien de significatif et qu'il faudra envisager une prise en charge en psy après avoir écarté le terrain infectieux. Un électroencéphalogramme tous les 5 ans, on peut tout de même supposer qu'il existe de plus grands consommateurs de soins gaspillés. Mais passons. Il appelle même mon médecin pour lui dire. A partir de là, cela va sans dire, vous pouvez tirer un trait sur la médecine. En effet, si j'étais atteint d'une infection, vu le nombre d'années que cela dure sans aucun traitement deux solutions : Soit je serais déjà mort soit déjà guéri. Donc ce n'est pas ça et il ne me sera rien trouvé dans ce domaine. Conclusion : Retourner faire ces tests serait un billet direct pour la psy.
Soit dit en passant, ce type a une page Google+ sur laquelle mes commentaires ne s'affichent jamais... Mais il y en a déjà un de négatif.
Ceci dit, dès le lendemain de cette journée du, et malgré mon cerveau sans mémoire j'arrive tout de même à m'en souvenir tellement c'est exceptionnel, mardi 17 février 2015 (!), retour de la possibilité de me lever plus tôt et de ne rester allongé qu'une huitaine d'heures pour réussir à traverser des journées entières debout ! EXCEPTIONNEL. Évidemment, bête de somme oblige, pas une minute à perdre, je reprends la route du boulot. Je commande 5000 flyers pour l'entreprise, en poste 2000, reprends le tennis de table, décaisse 30m2 de garages sur 50cm, élague et débroussaille 1500m2 de terrain sur lesquels j'y apporte 3m3 de pierres rouges de Provence récupérées lors du décaissement grâce à ma petite Saxo 1l, rapporte 3 stères de vignes que je découpe et stocke pour l'hiver prochain, fais finir les 12m2 de murs côté jardin et fais rénover les 40m2 de la cage d'escaliers, rénove un portail de garage, achète de nombreux outils pour pouvoir travailler (ponceuse, débroussailleuse/élagueuse, perceuse, outil multifonction...), me réinscris sur Meetic pour 6 mois etc. etc. etc. M'enfin là n'est pas la question.
C'est alors que se pointe une fille de mon enfance souhaitant garder le contact avec moi et qui, de fil en aiguille, réussi à se rapprocher de moi. Malgré le fait qu'elle soit dans une situation qui ne me convient pas, il faut dire que parallèlement à cela en deux mois de Meetic et de Badoo je n'ai pas reçu ne serait-ce qu'un "bonjour" de la part d'une fille quelle qu'elle soit (!), je craque et me laisse aller. Sauf qu'au bout d'un moment, le mardi 07/04/15 elle me fait la proposition de m'échanger « quelque chose » que je tairai, contre le fait d'aller faire un test de séropositivité histoire de passer outre le latex... Étonnant, je dois en principe réaliser des tests infectieux que je ne ferai JAMAIS et en même temps une fille finit par me demander d'aller en faire ! On aurait presque l'impression que cela arrangerait du monde si j'allais de nouveau consulter... Même déchiré en tous points, j'ai encore suffisamment de lucidité pour leur faire le plus beau de mes doigts en déclarant sur Facebook dans la foulée de cette « proposition » :
« Le médical en France
- Je parle vrai de mes ennuis aux médecins = Psy
- Je décris mes symptômes, maux et sensations et mon état de santé = Psy
- J'expose uniquement les symptômes connus, courants, non extraordinaires = Psy
- La médecine ne m'a quasiment jamais apporté de solutions à mes ennuis de santé.
Résultat : A partir d'aujourd'hui, pour moi, la médecine n'existe plus. »
Assorti de cette vidéo d'un médecin qui décrit en partie ce que je peux vivre, et qui lui aussi va de déboires en déboires avec cette médecine bidon, me demandant au passage s'il ne serait pas lui aussi victime des mêmes sans s'en rendre compte...
Et le lendemain même (et oui... ceux qui me lisent depuis longtemps ont déjà compris, c'est ma vie, et faut vraiment la vivre), après à peine plus d'un mois et demi de, non pas mieux physiquement mais moins pire, retour de l'invalidité physique ! Souffles dans les oreilles, levé en fin de matinée pour être exténué après le repas de midi sans activité physique et être obligé de me recoucher comme toujours sans aucune possibilité de m'endormir (micro... chutes... pincements... blablabli blablabla), couché pendant 11 heures pour une énergie minimale etc. etc. etc. C'est reparti pour un tour !
Le médical ne m'apportera jamais rien d'autres que des ennuis, c'est une certitude, le caducée et son serpent, Hippocrate tellement proche d'hypocrite... Peut-être que j'irai faire des examens ou contrôles particuliers (dentaire, oculaires...), mais les médicaments ne prendront pas le relais des ondes, moi aussi j'en fais le serment, et non pas le serpent.
Fév-Mars 2015 : Objectif psy ! (Mais raté comme c'est pas permis... Quel bande de cons !)
Même en mode zombie, Frankenstein, larve humaine, ils n'auront encore pas réussi à atteindre leur objectif putride. Je m'explique rapidement (toujours pareil, en passant sur les détails qui sont innombrables).
Alors que je suis en invalidité physique des plus singulières mais aussi des plus indubitables sans que qui ce soit ne vienne le constater sur place, je recherche via le médical (si vous avez d'autres idées faites m'en part mais lorsqu'on est en maladie je ne vois pas bien vers qui ou quoi me tourner d'autre, même si la cause ne l'est pas) à me faire reconnaître tel que je suis et ainsi me faire indemniser pour ce handicap haut en couleurs. C'est ainsi que le cardiologue ne trouve rien, janvier 2015, électrocardiogramme parfait. J'enchaîne alors vers le neurologue que m'a conseillé mon médecin traitant qui me connait depuis tout petit. Cela fait presque un an que j'ai l'ordonnance en ma possession mais sachant le résultat je ne suis pas pressé de m'y rendre. Une année (2014) se termine encore dans un état déplorable sans aucune aide, soutien, reconnaissance d'aucune sorte etc. il faut bien faire quelque chose. Donc j'y vais. Et fort de mon électroencéphalogramme parfait datant de juste quelques mois avant le début de mon invalidité, je suis persuadé de pouvoir réussir à constater des dégâts, tant mon intellect est atteint. Ce sera sans compter sur la réponse du neuro lorsque je lui sortirais les résultats : « J'en n'ai rien à foutre ». Texto, faut le vivre. Aurais-je dû l'enregistrer ? Pour en faire quoi ? Le faire écouter à qui ? Le faire valoir auprès de qui ? Il conclura à l'issu d'un entretien expéditif au cours duquel il ne chercha pas à comprendre (allez essayer de dégoter ne serait-ce qu'un gramme d'empathie chez ce personnage...) mais plutôt à récupérer dans vos dires ce qui l'intéresse pour établir un diagnostic déjà tout prêt, que cela ne sert à rien de dépenser de l'argent en examens inutiles dans lesquels on ne trouvera rien de significatif et qu'il faudra envisager une prise en charge en psy après avoir écarté le terrain infectieux. Un électroencéphalogramme tous les 5 ans, on peut tout de même supposer qu'il existe de plus grands consommateurs de soins gaspillés. Mais passons. Il appelle même mon médecin pour lui dire. A partir de là, cela va sans dire, vous pouvez tirer un trait sur la médecine. En effet, si j'étais atteint d'une infection, vu le nombre d'années que cela dure sans aucun traitement deux solutions : Soit je serais déjà mort soit déjà guéri. Donc ce n'est pas ça et il ne me sera rien trouvé dans ce domaine. Conclusion : Retourner faire ces tests serait un billet direct pour la psy.
Soit dit en passant, ce type a une page Google+ sur laquelle mes commentaires ne s'affichent jamais... Mais il y en a déjà un de négatif.
Ceci dit, dès le lendemain de cette journée du, et malgré mon cerveau sans mémoire j'arrive tout de même à m'en souvenir tellement c'est exceptionnel, mardi 17 février 2015 (!), retour de la possibilité de me lever plus tôt et de ne rester allongé qu'une huitaine d'heures pour réussir à traverser des journées entières debout ! EXCEPTIONNEL. Évidemment, bête de somme oblige, pas une minute à perdre, je reprends la route du boulot. Je commande 5000 flyers pour l'entreprise, en poste 2000, reprends le tennis de table, décaisse 30m2 de garages sur 50cm, élague et débroussaille 1500m2 de terrain sur lesquels j'y apporte 3m3 de pierres rouges de Provence récupérées lors du décaissement grâce à ma petite Saxo 1l, rapporte 3 stères de vignes que je découpe et stocke pour l'hiver prochain, fais finir les 12m2 de murs côté jardin et fais rénover les 40m2 de la cage d'escaliers, rénove un portail de garage, achète de nombreux outils pour pouvoir travailler (ponceuse, débroussailleuse/élagueuse, perceuse, outil multifonction...), me réinscris sur Meetic pour 6 mois etc. etc. etc. M'enfin là n'est pas la question.
C'est alors que se pointe une fille de mon enfance souhaitant garder le contact avec moi et qui, de fil en aiguille, réussi à se rapprocher de moi. Malgré le fait qu'elle soit dans une situation qui ne me convient pas, il faut dire que parallèlement à cela en deux mois de Meetic et de Badoo je n'ai pas reçu ne serait-ce qu'un "bonjour" de la part d'une fille quelle qu'elle soit (!), je craque et me laisse aller. Sauf qu'au bout d'un moment, le mardi 07/04/15 elle me fait la proposition de m'échanger « quelque chose » que je tairai, contre le fait d'aller faire un test de séropositivité histoire de passer outre le latex... Étonnant, je dois en principe réaliser des tests infectieux que je ne ferai JAMAIS et en même temps une fille finit par me demander d'aller en faire ! On aurait presque l'impression que cela arrangerait du monde si j'allais de nouveau consulter... Même déchiré en tous points, j'ai encore suffisamment de lucidité pour leur faire le plus beau de mes doigts en déclarant sur Facebook dans la foulée de cette « proposition » :
« Le médical en France
- Je parle vrai de mes ennuis aux médecins = Psy
- Je décris mes symptômes, maux et sensations et mon état de santé = Psy
- J'expose uniquement les symptômes connus, courants, non extraordinaires = Psy
- La médecine ne m'a quasiment jamais apporté de solutions à mes ennuis de santé.
Résultat : A partir d'aujourd'hui, pour moi, la médecine n'existe plus. »
Assorti de cette vidéo d'un médecin qui décrit en partie ce que je peux vivre, et qui lui aussi va de déboires en déboires avec cette médecine bidon, me demandant au passage s'il ne serait pas lui aussi victime des mêmes sans s'en rendre compte...
Et le lendemain même (et oui... ceux qui me lisent depuis longtemps ont déjà compris, c'est ma vie, et faut vraiment la vivre), après à peine plus d'un mois et demi de, non pas mieux physiquement mais moins pire, retour de l'invalidité physique ! Souffles dans les oreilles, levé en fin de matinée pour être exténué après le repas de midi sans activité physique et être obligé de me recoucher comme toujours sans aucune possibilité de m'endormir (micro... chutes... pincements... blablabli blablabla), couché pendant 11 heures pour une énergie minimale etc. etc. etc. C'est reparti pour un tour !
Le médical ne m'apportera jamais rien d'autres que des ennuis, c'est une certitude, le caducée et son serpent, Hippocrate tellement proche d'hypocrite... Peut-être que j'irai faire des examens ou contrôles particuliers (dentaire, oculaires...), mais les médicaments ne prendront pas le relais des ondes, moi aussi j'en fais le serment, et non pas le serpent.